Catherine Deneuve: ses pygmalions

L’une des plus grandes actrices de sa génération, Catherine Deneuve, est comme elle l’avoue elle-même, une fervente amoureuse. Retour sur son histoire avec les hommes qui ont marqué sa vie.

“Pour Catherine, j’ai été un accélérateur de particules. Elle a réussi plus vite, mais elle aurait été Deneuve d’une façon ou d’une autre”. Quand en 1996, Roger Vadim, réalisateur phare des années 60, parle de son ex-compagne, ils sont déjà séparés depuis plus de trente ans. C’est lui qui lui donne son premier grand rôle dans Le vice et la vertu, peu de temps avant qu’elle ne tombe enceinte de leur premier enfant à tous les deux, Christian Vadim, né en 1963. Icône du cinéma français, de ses débuts – encouragés par sa défunte sœur François Dorléac – à sa récente treizième nomination aux César pour La Tête Haute d’Emmanuelle Bercot, Catherine Deneuve a bâti une carrière indissociable des hommes qui ont partagé sa vie.

Elle le dit elle-même dans un entretien au long cours accordé au magazine Sofilm, l’amour a toujours été l’un de ses moteurs. “ J’étais une grande amoureuse très jeune. Cela prenait beaucoup de place dans ma vie. Amoureuse, ce n’est pas synonyme de romantique. Cela veut juste dire que j’étais toujours prête à faire en sorte que la vie autour s’arrête au moment où je rencontrais quelqu’un qui me plaisait”. C’est ce qui se passe un soir du début des sixties à l’Épi Club, premier club de Jean Castel. Situé boulevard du Montparnasse, il a vu James Brown et Otis Redding y produire leur musique soul devant des clients comme Eddie Barclay et Sacha Distel entre autres. Quand ses yeux se posent sur Roger Vadim, elle tombe immédiatement sous le charme. “Ce fut un coup de foudre”, se souvient-elle. Ils emménagent rapidement ensemble, collaborent et font un bébé.

C’est intense. “Vadim m’a appris à devenir une femme, à me faire une personnalité et à vivre dans le bonheur”, raconte t-elle à Ciné Télé Revue. L’idylle s’achève au bout de deux ans et quelques mois. En 1964, sur le tournage de son film La Ronde avec Helmut Berger et Anna Karina, il succombe au magnétisme de Jane Fonda qu’il épouse quelques temps après. De son histoire avec le père de son fils, Catherine Deneuve garde des souvenirs en demi-teinte. “Je n’ai pas de regrets mais la frustration de m’être trompée, confie t-elle au magazine Actuel en 1987. Ce n’était pas un homme de mon genre.”

Catherine, Roger et leur fils Christian

Dès 1965, elle se console dans les bras du photograhe de mode anglais David Bailey. Il incarne alors le “Swinging London”, fameuse époque où la capitale britannique est l’épicentre de la culture pop et de la mode, moment de gloire pour le mannequin Twiggy et son fameux regard de baby doll. Sa rencontre avec le faiseur d’images est insolite. Fraîchement célibataire, la jolie Catherine se voit proposer un sujet par le sulfureux magazine Playboy. Elle accepte sur un coup de tête: “Je me demande encore comment je me suis laissée convaincre de faire ça, glisse t-elle à la presse. C’est peut-être la seule chose que je regrette dans toute ma vie.” Les photos doivent être “très sexy” selon la ligne éditoriale de la publication. Elle peut choisir le photographe et opte pour Bailey : “J’avais vu des photos qu’il avait faites que je trouvais extraordinaires.”

Attraction instantanée. “J’ai vraiment eu le coup de foudre pour lui, se remémore-t-elle dans les pages d’Un Jour. On s’est marié en moins de quinze jours.” La cérémonie a lieu à Londresn: Mick Jagger et François Dorléac sont les témoins. Le couple s’installe à Primrose Hill, dans le district de Camdem, à l’époque “un peu craignos, très populaire”, et aujourd’hui celui où vivent de nombreux artistes. Ils travaillent tous les deux sur des clichés qui restent notoires, à l’instar de celui où l’envoûtante blonde pose avec un flamand rose. Ils contribuent à la renommée internationale et à la stature d’icône d’élégance de Deneuve. L’artiste et sa muse font des étincelles, mais les amants s’éloignent au fur et à mesure. L’actrice se sent exilée: “C’était bien, mais ce n’est pas non plus un souvenir aussi joyeux qu’on peut l’imaginer”, explique t-elle à Sofilm. Est-ce l’éloignement de la terre natale qui a nui à son mariage ? Elle n’en est pas sûre. Catherine et David ne passent pas non plus le cap des deux ans de vie commune. “Je ne renie pas Dave, lâche t-elle plus tard à Jours de France. Un amour aussi fervent ne s’oublie pas, même si nous l’avons inconsciemment détruit : peut-être par excès de jeunesse, par manque de maturité ? L’amour s’apprend, souvent au détriment de ceux qui l’éprouvent ensemble.” David Bailey est le seul homme avec qui elle convole en noces. Le mariage, elle n’en a plus voulu après.

Catherine Deneuve et David Bailey au Festival de Cannes en 1966

À l’exception près du cinéma, sa relation amoureuse la plus longue. Elle doit cette vocation à sa sœur Françoise, mais aussi à Jacques Demy. “Si je n’avais pas connu Jacques Demy, je ne crois pas que je ferais du cinéma aujourd’hui”, dit-elle dans les pages de Télérama en 2000. Il lui donne sa chance dans Les Parapluies de Cherbourg, Palme d’Or à Cannes, en 1963. Il attend d’ailleurs le terme de sa grossesse au lieu de proposer le rôle à une autre jeune première. C’est un tournant dans sa trajectoire d’actrice. Ils enchaînent avec le cultissime Les Demoiselles de Rochefort, Peau d’âne et L’évènement le plus important depuis que l’homme a marché sur la Lune. “Il m’as appris, le premier, à accepter de jouer sans trop de réserve ni de timidité, et m’a donné confiance dans l’idée que le cinéma pourrait m’apporter. À ce moment-là, je trouvais cela amusant, mais je n’étais pas sûre que ce soit assez important pour qu’on y consacre tout son temps, sa vie”, continue-t-elle.

Début 1970, le coeur de Catherine Deneuve bat à nouveau à mille kilomètres par heure. Roman Polanski, qui l’a dirigée sur son long-métrage Répulsion, l’invite pour un dîner. Marcello Mastroianni est également convié. Entre le monstre du cinéma italien, deux fois lauréat du prix d’interprétation à Cannes, et elle, l’alchimie opère. Leur union débute définitivement lorsqu’ils tournent dans Ça n’arrive qu’aux autres de Nadine Trintignant. Et encore une fois, elle ne perd pas de temps. En 1972 naît leur fille Chiara. Marcello et Catherine s’aiment follement pendant quatre ans. “Lorsque je vivais avec le père de ma fille et que nous avons rompu, j’ai été en pleine dépression, relate t-elle dans Paris Match. J’ai eu le sentiment que c’était pire que de briser un mariage de dix ans. J’aime beaucoup les hommes, j’aime beaucoup les enfants, mais je me suis rendu compte que je n’étais pas faite pour cet impossible triangle. J’ai compris après la naissance de Chiara que quelque chose était changé. Sans doute était-ce moi qui avais changé ? Je pensais qu’il valait mieux être franche et reconnaître que je n’étais plus assez amoureuse de lui pour pour poursuivre notre existence ensemble.

Depuis, Catherine Deneuve est restée très discrète sur les détails intimes de sa vie. Ses dernières histoires d’amour connues remontent aux années 80. Une avec l’agent Bertrand de Labbey et l’autre avec Pierre Lescure, journaliste et aujourd’hui président du Festival de Cannes. Désormais, elle vit ses passions en priorité devant la caméra.

Marcello Mastroianni et Catherine Deneuve

Crédits photos : HUFFSCHMITT/SIPA

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Paul Walker : Porsche jugé non coupable de sa mort

Deux ans et demi après le tragique accident qui a coûté la vie à Paul Walker et son ami Roger Rodas, les familles des deux victimes mènent un combat sans relâche contre Porsche, le constructeur de la voiture que conduisaient les deux hommes. Un premier procès vient de disculper la marque.

C’était le 30 novembre 2013. Paul Walker, 40 ans, et son ami Roger Rodas, 38 ans, percutaient un pylône à une vitesse de 160 km/heure. La mort des deux hommes avait provoqué une vague de tristesse dans le monde entier, mais aussi la colère de leurs familles. La veuve de Roger Rodas, puis la fille de Paul Walker, Meadow, et enfin son père, ont depuis décidé de porter plainte contre le constructeur Porsche.

Depuis l’accident, un seul procès s’est tenu contre la marque lundi 4 avril. Pour les proches des victimes, c’est un échec. Pendant ce premier procès intenté par la veuve de Roger Rodas, le tribunal a rejeté d’un revers de la main toutes les accusations contre Porsche. Elle affirmait que la voiture de sport conduite ce jour-là par les deux hommes ne disposait pas de protection anticollision correcte ainsi qu’un “dispositif de sécurité du réservoir d’essence.”

Le tribunal de Los Angeles a coupé court au débat lundi 4 avril, selon les informations de E!News. Les juges ont en effet estimé que Kristine Rodas n’avait pas été “en mesure d’apporter des preuves valables selon lesquelles la mort de Roger Rodas a résulté d’un manquement” de la part de Porsche. La plainte de la veuve de Roger Rodas concernait la mort de son mari, et le tribunal a estimé que son décès n’aurait pas pu être évité puisque c’est l’écrasement de son corps contre celui de Paul Walker qui l’aurait tué et non l’impact de la voiture, selon les juges.

Malgré ce verdict décevant pour les proches de Paul Walker et Roger Rodas, rien n’est perdu pour eux. Les plaintes de Meadow Walker et son grand-père ont été déposées et pourraient déboucher sur de nouveaux procès contre le constructeur Porsche.

Crédits photos : Mauricio Santana/CON/Getty

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Zoe Kravitz, toutes gambettes dehors

Sous la chaleur de New York, Zoe Kravitz se balade léger, non sans un sens solide du style.

Aucune envie de trop vous couvrir avec les très chaudes températures de ce mois de juillet ? Mais, néanmoins garder une allure de fashionista sans trop en faire ? Les deux sont possibles, à la manière de Zoe Kravitz. En virée shopping dans les rues de New York, la fille de Lenny Kravitz a réussi, en un rien, à faire honneur à son statut de it-girl.

La base ? Un long t-shirt blanc uni porté sur un mini-short en denim de couleur. Ce simple look est ensuite rehaussé d’un petit sac en bandoulière signé Yves Saint Laurent, et de lunettes à motif damier Yves Saint Laurent également. Efficace jusqu’à ses brogues vernies.

Elle arbore un look facile, casual, facile à s’approprier mais pour autant dans l’air du temps. Avec ses longues tresses, elle est quelque part entre le rock glam et le bohème urbain. En rupture avec son style de diva grunge sur les tapis rouges et lors des grands évènements.

> Découvrez le look de Zoe Kravitz dans le diaporama ci-dessus.

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Crédits photos : © Splashnews / KCS PRESSE

Ex-Arsenal scout questions pursuit of ‘lacking’ €23m target

Arsenal have been criticised for pursuing Layvin Kurzawa by a former club scout.

David Ornstein confirmed earlier this week that Arsenal were in ‘advanced talks’ over signing the left-back from PSG for €23m.

Those hopes were soon dashed by PSG manager Thomas Tuchel, who stated in no uncertain terms that his club “need him”.

Former Arsenal scout and current Nice sporting director Grimandi suggests that could be a blessing in disguise, as Kurzawa “is lacking in certain areas”.

“Would I have signed Kurzawa? No,” he told Late Football Club.

“I watched him at Monaco, I think that he is a boy who has quality, a boy who certainly has the potential to be one of the best in his position, but sadly he is lacking in certain areas.

“I don’t see him improving, I don’t see him as a boy who has the hunger to attain the highest level.

“For Arsenal, he does not have the profile that matches the club’s project. There are youngsters who are coming up; he is already a certain age.

“I don’t see the point in Arsenal getting Kurzawa.”

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OGS uses Liverpool trio to show what he wants to emulate

Ole Gunnar Solskjaer says Manchester United have “a great starting point and foundation” as they look to emulate Liverpool’s success.

United travel to Liverpool on Sunday afternoon hoping to maintain their status as the only side to take points off the current Premier League leaders.

The 1-1 draw at Old Trafford in October, as well as a 0-0 stalemate last season, showed that United can compete with the European champions in one-off games.

Solskjaer is eager to point out that both he and Jurgen Klopp “started almost from scratch”, with the German benefiting from time and patience.

His development of Liverpool’s attacking trio, in particular, has Solskjaer envious.

“The spirit is there, the players are humble and they want to improve,” he told the Daily Telegraph. “That is a great starting point and foundation. We know we need to sign a few but we understand that.

“We look at when Jurgen took over at Liverpool and he finished eighth in his first season, so this is our first season together.

“We want to build step by step, and layer by layer, and in the end you can just send them out without having to wait until Saturday to do the last preparations because you know what they are able to do.

“If you look at Liverpool now with Firmino, Salah and Mane, they all understand each other when he moves there and him there, they drop and rotate. That’s where we want to get to but that takes time.”

In an interview with the United website, Solskjaer expanded on the comparison between his and Klopp’s early stages in charge.

“He’s a great manager and he’s done a great job,” he said. “He did a rebuilding job and he started almost from scratch. We’ve started something, we want to get back to challenging for the league. They are now challenging for the league, so well done.

“He’s a very nice man, as well. He’s a good manager and, of course, we do respect them. They have proven with their results and performances that they do deserve that respect.

“I think we’ve shown them in the games that I’ve been here that we do prepare very well.”

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F365’s early winner: John Fleck, Sheff Utd’s Scottish hero

Sheffield United‘s Scottish hero John Fleck continues to be a shining light in the club’s possible assault on the Premier League’s European positions after scoring their equalising goal in a 1-1 draw at Arsenal.

Not even the most ardent Blades supporter would have expected the club to be where they are 23 matches into the season. Chris Wilder’s side sit on 33 points, seven away from 40 points – an amount that would surely see them avoid relegation this season – and now United can afford to look up after picking up another point on the road. With over half the season gone, seventh-placed Blades are just a point behind Manchester United and Wolves, who occupy the two positions above them.

Wilder has understandably and deservedly taken a lot of credit for the position the Blades find themselves in, taking an outfit floundering in League One to seventh in the Premier League in three and a half seasons. Not much has been made of the players themselves, though, who continue to meet the high standards set by Wilder and assistant boss Alan Knill. The former Halifax Town manager has assembled a squad of men that believe wholly in his philosophy and tactics, while showing they have the talent to move up the divisions. A number of the current starting XI were in League One when Wilder began his journey, with players like Fleck showing they are not just professional and hard-working – they can play a bit too.

As a teenager, a lot was expected of Fleck, not only on Football Manager but also in real life Scottish football. He rose through the youth ranks at Glasgow Rangers, making his debut at the age of 16 before becoming the youngest ever player to play in a senior British cup final as Rangers beat Queen of the South in the 2008 Scottish Cup showpiece.

Fleck was lauded as the next big thing in Scottish football with some hailing him as ‘Scotland’s Wayne Rooney’. Reported issues with coaching staff and a serious injury scuppered his progress at Rangers and he was allowed to join League One Coventry City in 2012. During his time with the Sky Blues Tony Mowbray described Fleck as “the oil in our machine” before he left in 2016 to join Wilder at United.

Looking at his performance against Arsenal, Fleck has now become the oil in a Sheffield United machine that shows no sign of spluttering. Following a promising opening 15 minutes from the Blades, the Gunners came into the match and found the net via a close-range finish from Gabriel Martinelli on the stroke of half-time. Despite some loose passing from Wilder’s men, Fleck continued to try and drive his side forward, showing his lovely ability to drop his shoulder and beat a man on a number of occasions.

For the Blades only Enda Stevens – who was also brilliant at the Emirates Stadium – matched or bettered the 28-year-old for successful tackles and dribbles. And it was Fleck who popped up in the 83rd minute with the equaliser. His strike into the deck bounced up and over Bernd Leno and into the net to give United a deserved share of the spoils, even if Wilder wasn’t happy with their performance. That took Fleck’s tally to a career-best five goals in a season while he has provided two assists for team-mates too.

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Many opposition supporters have described their own team’s performances against the Blades this season as an ‘off day’. Understandably, some fans of other Premier League clubs will have been expecting to beat a newly-promoted outfit. Soon though, with players like Fleck in their ranks, they may have to accept that Sheffield United are actually a bloody good group of players led by the manager of the season.

Joe Williams

Arteta ‘very disappointed’ with more dropped points for Arsenal

Mikel Arteta was left professing his disappointment after seeing his Arsenal side concede a late equaliser at home to Sheffield United.

Gabriel Martinelli’s goal on the stroke of half-time appeared to have the Gunners on course for a vital victory – only for John Fleck to strike with seven minutes remaining and secure a 1-1 draw.

The result leaves Arteta’s side four points adrift of the Blades as they continue to struggle for a run of form following the Spaniard’s appointment in December.

“I’m very disappointed today,” Arteta said after the game.

“I think the performance deserved three points and I think we lost two points.

“In the Premier League, if you don’t put the game to bed then in the last 10 or 15 minutes this type of team just need a long ball, a second ball, a set-piece, and you can give the points away. That’s it.”

Arteta was, however, full of praise for Martinelli after the 18-year-old hit his ninth Arsenal goal in what was just his 10th start for the club he joined last summer.

The Brazilian was chosen to replace suspended captain and top goalscorer Pierre-Emerick Aubameyang and missed a couple of chances before putting Arsenal ahead.

Aubameyang, watching from the stands, tweeted that Martinelli is destined to be a “superstar” and Arteta was also left impressed.

“He’s an 18-year-old kid with all the enthusiasm but as well, he’s so brave to make decisions, to threaten the opponent every time,” he added.

“He’s all the time in the middle of the goal, waiting for an opportunity to come.

“The fact he hasn’t played 90 minutes for a while – since an injury – but is still in the way he went about every single action is impressive.”

Arteta bemoaned a VAR decision not to award his side a second-half penalty but he will know his side need to improve if they are to win at London rivals Chelsea on Tuesday night.

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Reus hoping Haaland can replicate Aubameyang after Dortmund debut hat-trick

Dortmund, who sit fourth in the Bundesliga, trailed 3-1 early in the second half before Haaland was introduced triggering a memorable fightback

Marco Reus says he hopes new Borussia Dortmund signing Erling Haaland can replicate the success of Pierre-Emerick Aubameyang after the Norwegian scored a hat-trick on his debut.

Haaland, who signed from Red Bull Salzburg earlier in January, came on as a second-half substitute when his team were trailing 3-1 against Augsburg on Saturday, before turning the game on its head with a remarkable hat-trick to seal a 5-3 win.

Dortmund, who sit fourth in the Bundesliga seven points adrift of leaders RB Leipzig, trailed 3-1 early in the second half before Haaland was introduced, triggering the beginning of a memorable fightback.

And afterwards, club veteran Reus talked up the Norwegian’s chances of emulating ex-Dortmund striker Aubameyang, who made his name at Signal Iduna Park before leaving for Arsenal in 2018.

“He is very calm, but very ambitious,” said captain Reus of his new team-mate. “Erling trains incredibly hard. I think the last guy to make his debut in Augsburg was Aubameyang, and he scored three goals too.

“If it becomes the same kind of success story, I’d be all for that. Erling is making a good impression and he got off to a superb start today.”

There had been talk of Haaland leaving Salzburg for Manchester United earlier in the season, after he scored 28 goals in 22 games for the Austrian side, including five hat-tricks.

But instead he was snapped up by Dortmund, and had begun to leave his mark on the team within three minutes of his introduction, pegging Augsburg back to 3-2 before Jadon Sancho equalised moments later.

Haaland then put Dortmund ahead for the first time with 18 minutes left when he tapped home after Thorgan Hazard got in behind the Augsburg defence and completed his treble when captain Marco Reus played him into the area, slamming the ball home to make it 5-3.

“I am pretty relaxed about it, I don’t really know why,” the son of former Leeds, Nottingham Forest and Manchester City player Alf-Inge Haaland said of his stunning feat.

“I’m at a fantastic club with great team-mates and good people around me. I came here to score goals and it was a good debut for me.”

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Bruno Fernandes deserves to play in Premier League, says Sporting boss Silas

The 25-year-old looks set to be on his way to Manchester United and his coach feels he is worthy of the move

Sporting manager Silas believes Bruno Fernandes is one of the best midfielders around and says he deserves to play in the Premier League.

The 25-year-old has been heavily linked to Manchester United, who are said to be determined to sign him from the Portuguese giants this month.

Sporting are reportedly demanding €65 million (£55m/$72m) for the former Udinese and Sampdoria man, though Silas says he is worth even more than is being talked about.

And while the 43-year-old does not know when the move will be wrapped up, he says he will not try to discourage Fernandes from leaving for Old Trafford at this point in the season.

When asked at a press conference if he can count on the star for Sporting’s upcoming Taca da Liga semi-final clash against Sporting Braga, Silas replied: “I don’t know. For now I think so. I will prepare for the game with Bruno in mind, but from here on out I don’t know what could happen.

“He’s a player who wants to play in a league superior to ours. What player wouldn’t want to play in the English league? It’s hard to tell him: ‘don’t go’.

“Bruno deserves to play in those kind of leagues and the best is that one. If he is one of the best he has to be there.”

But the coach is confident his side will be able to recover from the loss of their star man.

“In that situation, we have to look for other tactics,” he said when asked how they will cope without him. “There’s a lot of teams in Portugal that don’t have Bruno, don’t they? They look for other tactics. We will be missing out on some things and gaining in others.”

He added: “It becomes inevitable that we talk about [entering the transfer market]. We need people to help us, to make the squad more competitive.”

The Lisbon side are sitting fourth in the Primeira Liga after 17 games but sit 19 points behind Benfica after losing 2-0 at home to the leaders on Friday.

Paul McCartney : ça baigne pour lui !

Les Beatles ne sont plus que deux. Tandis que leur catalogue est dévoré sur Deezer et Spotify, Paul McCartney et Ringo Starr continuent de capitaliser sur leur glorieux passé. Quant Yoko Ono, la veuve de John Lennon, elle expose ses oeuvres partout autour du monde.

C’est ce qu’on appelle une opération réussie. Depuis la mise à disposition sur les plateformes de streaming du catalogue des Beatles le 24 décembre, les amateurs de musique s’y sont précipités. En moins d’une semaine, 70 millions de leurs chansons y ont été écoutées.

Détail amusant, le classement des titres les plus écoutés est différent selon les sites. Sur Spotify, par exemple, le plus prisé est « Come Together », suivi de « Let It Be » et de « Hey Jude ». En revanche, sur le français Deezer, « Twist and Shout » arrive en tête, devant « I Saw Her Standing There » et « Love Me Do ».

De quoi faire gamberger entre deux bains de mer Sir Paul McCartney, 73 ans, actuellement en vacances sur l’île de Saint Barthélemy avec sa femme Nancy Shevell, 56 ans.

Le batteur Ringo Starr, pour sa part, a toujours préféré l’ambiance enfumée des pubs aux paradis tropicaux. Récemment, il s’est débarrassé de quelques uns de ses objets lors d’une vente aux enchères à Los Angeles, dont l’exemplaire numéroté 0000001 du « White Album » des Beatles. Mis à prix à 20 000 euros, il s’est envolé à 183 000 euros. Egalement mise en vente, la batterie qu’il a utilisé pour les enregistrements de « Can’t Buy Me Love », « She Loves You » ou « I Want To Hold Your Hand » est partie pour 2 millions d’euros. De quoi lui assurer une chouette fin d’année, toujours au bras de sa femme l’ex James Bond girl Barbara Bach.

Quant à la veuve de John Lennon, Yoko Ono, elle continue de présenter partout autour du monde une rétrospective de ses oeuvres désormais installée à Pékin. Olivia Harrison, de son côté, poursuit depuis la mort de George en 2001 ses oeuvres en faveur de l’enseignement de la médiation transcendantale aux écoliers des quartiers difficiles, anciens combattants et autres sans-abris et détenus des prisons.

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