PHOTOS – Darina, la fille de Sylvie Vartan, fière de ses formes en maillot de bain

La lumière va très à Darina Scotti-Vartan, la fille de Sylvie Vartan. La jeune femme de 19 ans le prouve en publiant régulièrement des photos de sa silhouette de pin-up sur son compte Instagram.

Elle à l’œil Darina Scotti-Vartan ! Apanage d’étudier le cinéma et très certainement d’avoir été biberonnée aux clips de sa mère, Sylvie Vartan, icône yéyé qui a su également incarner glorieusement les années disco ; époque des mini-shorts et jupes fendues qui lui allaient si bien. Toute une imagerie qui a sans nul doute impacté la jeune Darina quand, enfant, pointait l’envie de devenir rapidement une jeune femme et d’exister en dehors de l’ombre où l’a placée des années durant sa mère pour la protéger des flashs malveillants.

Mais à 19 ans c’est à présent des bains de lumière que prend la jeune femme adoptée en 1998, à l’âge de 7 mois, en Bulgarie, pays natal de sa mère ; ceux que lui offrent le soleil de Californie et l’exposition de sa personne sur Instagram. Car la demi-sœur de David Hallyday est comme bon nombre de jeunes femmes de sa génération, gouvernée par le besoin d’apparaître sur la Toile pour y promouvoir sa beauté.

Une beauté que d’aucuns jugeraient californienne à savoir blonde et sexy. Mais Darina Scotti-Vartan sait aussi apparaître mutine et sauvage ; une nuance d’esprit pour incarner un glamour que ses nièces (Emma et Ilona Smet) de la même génération ont également fait leur.

Une relation entre les trois jeunes femmes sur laquelle Sylvie Vartan était revenue dans les colonnes de Gala l’année dernière : « Elles sont unies et j’espère qu’elles le seront de plus en plus en devenant femmes », expliquait-elle alors. Rédactrice en chef d’un numéro de Gala au printemps 2016, l’interprète de La Maritza, avait aussi fait part de sa circonspection quant à l’utilisation intense des réseaux sociaux par sa fille : « Maintenant, c’est une ado, avec tous les tourments de son âge, notamment cette complète addiction au portable, toujours là, à portée de main, même quand on déjeune.Ce monde du virtuel où tout est désincarné, nivelé, où il est quasi impossible d’avoir une discussion sans que l’attention ne soit détournée toutes les deux secondes par un SMS, ou autre, m’effraie. Les enfants nés avec Internet sont d’une autre race. On ne peut rien y faire. Si on interdit, on les marginalise. » Un monde virtuel où le sex-appeal de Darina Scotti-Vartan apparaît cependant bien réel comme vous pouvez le constater ci-dessous.

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Daniel Day-Lewis: Comment Leonardo DiCaprio l’a dissuadé de prendre sa retraite

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Ce n’est pas la première fois que Daniel Day Lewis décide d’arrêter le cinéma. En 1997, juste après Le Boxeur, de Jim Sheridan, il s’était déjà retiré des plateaux, jusqu’à ce que Leonardo DiCaprio s’en mêle.

Il ne pouvait se résoudre à voir “le meilleur acteur de sa génération” quitter le cinéma. À l’époque de Gangs of New York, réalisé par Martin Scorsese, Leonardo DiCaprio a tout fait pour convaincre Daniel Day Lewis de revenir.

Day-Lewis, qui venait de tourner Le Boxeur de Jim Sheridan avait en effet souhaité arrêter de tourner et était parti en Italie pour apprendre le métier de cordonnier. Il travaillait chez le Stefano Bemer, un artisan fabricant de chaussures de luxe, s’adonnant à cette activité huit heures par jour. Il menait une vie pratiquement monacale, entre son petit café du matin, les réparations de semelles et la balade avec son fils d’un an à l’époque, fruit de son union avec sa deuxième femme Rebecca Miller, la fille du dramaturge Arthur Miller.

C’est à Leonardo DiCaprio qu’est revenue la lourde tâche de le faire sortir de sa vie d’ermite. En 2002, alors revenu à New York, l’acteur se laisse emmener à Central Park pour “discuter”. DiCaprio raconte en fait qu’ils ont fait une longue marche avant que Day Lewis ne prononce le moindre mot. Les deux hommes s’installent sur un banc, mais Day-Lewis ne semble pas convaincu de l’opportunité de faire un come-back. DiCaprio appelle alors son ami Tobey Maguire à la rescousse. Au cours d’un dîner, ce dernier insiste sur la “responsabilité” qu’a Day Lewis envers son public. “Un grand talent implique une grande responsabilité”, lui avait-il alors dit, plagiant la devise de son personnage de Spiderman. Après plusieurs semaines de travail au corps, Day-Lewis accepte: il jouera bien le personnage du Boucher dans le nouveau Scorsese.

Leonardo DiCaprio ne s’est pas arrêté là. C’est lui aussi qui aurait poussé le Britannique à endosser le rôle de Lincoln dans le film de Spielberg dix ans plus tard. Un véritable ange-gardien ce Léo, si l’on considère le nombre de récompenses glanées par Day Lewis pour ces deux films.

Mais à 60 ans, Daniel Day-Lewis aurait décidé de se consacrer à sa famille, à ses trois enfants, Cashel Blake, Ronan Cal, qu’il a eus avec Rebecca Miller, ainsi que le mannequin Gabriel Kane Day-Lewis, fils qu’il a eu avec Isabelle Adjani.

L’acteur remercie son public et ses collaborateurs et n’entend pas commenter la décision qu’il a prise. Leonardo DiCaprio va avoir beaucoupo de mal à le faire (re)revenir…

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Omar Sy bientôt dans le Star Wars sur Han Solo ?

Choisi pour réalisé le Star Wars consacré à Han Solo, Ron Howard a reçu les félicitations d’Omar Sy, qu’il a déjà dirigé dans Inferno. Un appel du pied déguisé de l’acteur français ? Le voir jouer dans la saga la plus célèbre du cinéma serait un coup énorme pour lui.

X-Men, Jurassic World, Transformers… en jouant dans toutes ces franchises à succès, la carrière d’Omar Sy à Hollywood ressemble à un rêve de gosse. Impression que l’acteur a confirmée en postant sur Twitter un message dans lequel il se félicite d’apparaître au générique du dernier Transformers, The Last Night. L’acteur français prête en effet sa voix à l’un des robots du film de Michael Bay.

Mais dans un autre tweet, quelques instants plus tard, Omar Sy a félicité Ron Howard, le réalisateur qui a été choisi par Disney pour réaliser le spin off de la saga Star Wars consacré à Han Solo. « Je te souhaite le meilleur Ron sur cette unique / incroyable expérience » a écrit le Français en répondant au message du cinéaste qui se réjouissait d’avoir été choisi. « J’espère honorer le formidable travail déjà effectué et essaierait d’être la hauteur d’un film sur Han Solo ». Ron Howard a d’ailleurs répondu : «Merci beaucoup Omar. J’espère te voir bientôt».

De là à voir un appel du pied d’Omar Sy pour jouer lui aussi dans Star Wars ? Et pourquoi pas ? Ron Howard a déjà dirigé l’acteur d’Intouchables dans Inferno, adaptation du roman de Dan Brown avec Tom Hanks et Felicity Jones. Les deux hommes se sont parfaitement entendus pendant le tournage et ont conservé de très bons rapports. Le casting du Star Wars sur Han Solo est quasiment bouclé puisque Ron Howard arrive sur un projet déjà bien avancé, mais qui sait ? Pour tourner à Hollywood, Omar Sy n’a pas d’orgueil mal placé et accepte tous les rôles, même s’ils ne durent que 5 secondes ou se limitent à une doublure voix.

Crédits photos : Stephane Cardinale – Corbis

Le prince Harry confie avoir eu envie de « sortir » de la famille royale

Le magazine Newsweek consacre un long portrait-entretien au prince Harry ; il y développe sa pensée sans filtre et sans masque.

Né pour souffrir ! Le prince Harry l’a longtemps pensé. Apanage d’avoir suivi à 12 ans, de trop longues minutes, le cercueil de sa mère devant des millions de personnes. Mais le temps qui passe soigne les blessures, cautérisent les plaies de l’âme qu’il s’est longtemps infligé à coups d’alcools, de drogues, et d’excès en tous genres et à présent le prince Harry parle, dit tout des démons qui l’ont habité, de cette envie de tout plaquer qui longtemps l’a gouverné.

Car de l’enfant prostrée dans sa sidération à l’homme aux larges épaules, désireux à présent de construire sa vie calmement avec Meghan Markle, 20 années se sont écoulées, deux décennies de questionnements durant lesquelles il a trouvé des réponses en allant notamment servir dans les rangs de l’armée britannique.

Diplômé de la célèbre académie militaire de Sandhurst, Harry servira en effet deux fois en Afghanistan, d’abord en 2007–2008 comme éclaireur chargé de guider au sol les frappes aériennes, puis en 2012–2013 comme copilote-artilleur sur hélicoptère de combat. Une carrière à laquelle il mettra un terme en 2015 après dix années de service, reconnaissant à l’Armée le rôle central qu’elle aura incarné dans son évolution. Un sens il cherchait, un sens il a trouvé au côté de ses frères d’armes.

Mais Harry est promis à un autre destin, et le voilà à nouveau devant revêtir le costume et non plus le treillis. Alors le jeune prince se remet à penser, à tourner en rond dans sa tête. Son frère, le prince William, se refuse à le voir ainsi replonger dans ses tourments et le convainc de suivre une thérapie, de libérer à un tiers sa parole et ainsi faire le ménage dans son esprit. Harry s’exécute conscient qu’il est grand temps de remonter à la surface.

Une période charnière sur laquelle le compagnon de Meghan Markle vient de revenir devant la journaliste Angela Levin ; cette dernière qui consacre un long portrait, dans le dernier numéro de Newsweek, à celui qui figure en cinquième place dans l’ordre de succession au trône britannique. Famille royale dans laquelle le prince Harry ne s’est un moment plus du tout reconnu : « Il y a eu une période où je voulais en sortir, puis j’ai décidé d’y rester et de m’y créer un rôle », a-t-il ainsi confié à la journaliste.

Avant d’expliquer que de se placer dans les pas de sa mère en embrassant l’engagement l’humanitaire, l’a mis au centre d’une énergie ô combien positive…enfin ! : « Nous ne voulons pas être une bande de célébrités, nous voulons jouer un rôle réellement utile. William et moi sommes incroyablement passionnés par les causes que nous soutenons, et elles ont été choisies parce qu’elles se trouvent sur le chemin que nous a montré notre mère. »

Un entretien dans lequel il a également analysé l’importance que revêt la monarchie britannique dans un monde en proie à de si grands et soudains changements : « Nous croyons que les Britanniques et le monde ont besoin de telles institutions. Nous voulons nous assurer qu’elle perdure et sommes passionnés par ce qu’elle représente. Mais cela ne pourra pas continuer comme cela a été avec la reine. Il y aura des changements, et de la pression pour les réaliser. Les choses évoluent si rapidement, surtout avec les médias sociaux, alors nous nous impliquons dans la modernisation de la monarchie. On ne le fait pas pour nous, mais pour le bien du peuple et de la monarchie que nous représentons. Il y a tellement de choses négatives dans le monde ; nous essayons, en tant que famille, d’apporter quelque chose de positif. »

EXCLUSIVE in #Newsweek this week: How Prince Harry Made His Peace With The World. On Newsstands Now.

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VIDEO – L’étrange première interview de Melania Trump, qui raconte sa vie à la Maison Blanche

Cinq mois après l’investiture de son mari, Melania Trump vient d’accorder sa première interview à la chaîne Fox News. L’occasion d’évoquer sa nouvelle vie en tant que First Lady.

Melania Trump adore sa nouvelle vie à la Maison Blanche. Interviewée pour la première fois par la chaîne Fox News, la première dame des Etats-Unis s’est dit ravie d’avoir quitté son luxueux triplex de la Trump Tower pour rejoindre son cher et tendre mari à Washington. « Nous apprécions beaucoup vivre ici. Barron adore cet endroit, il s’est installé. Je suis très occupée, nous faisons beaucoup de choses ici. C’est un lieu très spécial », a-t-elle déclaré.

Si elle semble de plus en plus à l’aise lors de ses apparitions officielles, Melania Trump éprouve en revanche beaucoup de difficulté à répondre aux questions des journalistes et à trouver ses mots. Visiblement stressée, elle n’a finalement pris la parole que trente secondes. Présent à ses côtés, Donald Trump l’a rapidement relayée et s’est quant à lui exprimé pendant plus de six minutes.

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Quels sont les livres sur la photo officielle d’Emmanuel Macron ?

Le président de la République a personnalisé son portrait officiel d’un détail de taille : trois livres de sa collection.

Dans la photo officielle dévoilée ce midi par le président de la République figurent trois livres sur le bureau : Le rouge et le noir de Stendhal, Les nourritures terrestres d’Andre Gide et Mémoires de guerre de Charles de Gaulle. Ces deux premiers choix semblent être des choix du coeur puisqu’Emmanuel Macron, encore en campagne, confessait au JDD en mars dernier « J’aime autant Stendhal que Camus, Gide que Rimbaud ». Une affirmation qui avait été largement commentée et avait valu au candidat un article de Titou Lecoq dans Slate « Macron n’a jamais fait partie de notre génération ».

Celui qui a écrit un roman picaresque se déroulant dans l’Amérique précolombienne sur 150 à 200 pages à l’âge de 17 ans et qui ne l’a pas fait publié faute d’en être satisfait, est en effet un passionné de littérature. Une passion partagée avec son épouse Brigitte Macron, titulaire d’un CAPES de lettres classiques et professeure de lettres en lycée pendant de nombreuses années.

Sur la vidéo making of de la photo publiée sur le réseau social Twitter par Sibeth Ndiaye, on peut voir le président de la République, comme un amoureux des livres, choisir soigneusement les pages de Mémoires de guerre de Charles de Gaulle ouvert sur le bureau derrière lui.

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Brigitte Macron reçoit plus de 150 lettres par jour : c’est cinq fois plus que Carla Bruni

La première dame est en pleine installation au palais de l’Elysée et tout se passe pour le mieux. Son directeur de cabinet croule sur le courrier pour Brigitte Macron qui a semble-t-il plus de succès que ses prédécesseures.

Brigitte Macron a la cote. Depuis qu’elle a commencé à soutenir son mari Emmanuel Macron, l’ancienne professeure ne laisse personne indifférent. À l’étranger comme dans son pays, on admire sa classe, son engagement. Il faut dire que Brigitte Macron s’implique beaucoup au côté du président de la République. En ce moment, le couple présidentiel s’installe rue du faubourg Saint Honoré. La première dame a son propre bureau au palais de l’Elysée, son propre directeur de cabinet et nous apprenions récemment qu’elle s’est même entourée d’un conseiller en communication. Les Français sont très curieux de connaître celle qui partage la vie de leur président.

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Nos confrères du Parisien ont rencontré Pierre-Olivier Costa, son directeur de cabinet, qui gère le courrier qui lui est destiné : « Le volume du courrier est une petite surprise. A titre de comparaison, Carla [Bruni, NDLR] en recevait quotidiennement une trentaine et Valérie [Trierweiler, NDLR], entre quinze et vingt. » Brigitte Macron devance ses prédecesseures, avec environ 200 lettres et emails reçus chaque jour. Il faut dire qu’elle innove en tant que première dame. Contrairement à Carla Bruni et Valérie Trierweiler, elle a réinvesti le « château », et va pouvoir agir dans le cadre légal qu’a mis en place son mari. La première dame sera donc désormais en mesure de s’investir au-delà de la figuration au côté du chef de l’Etat.

Comment Lady Diana a tout fait pour protéger ses fils des photographes

Lady Diana était une mère attentive et attentionnée avec ses deux garçons William et Harry. Aussi le jour où des photographes ont piégé Harry sur le chemin de l’école, la princesse a bondi. C’est l’un de ses frères, Charles Edward Spencer, qui raconte l’événement à Good Morning America.

Lorsqu’il s’agissait du bien être de ses enfants et de la préservation de leur intimité, Lady Diana ne laissait rien au hasard. Aujourd’hui, 20 ans après sa disparition sur le pont de l’Alma à Paris, l’un de ses frères qui lui rend hommage, Charles Spencer, raconte à l’aube d’un documentaire sur la jeune femme sur la chaîne ABC , The Story of Diana, comment elle s’est énervée lorsqu’on a voulu piéger Harry dans la presse. Comme le relate également le DailyMail, « rien dans sa vie ne pouvait égaler l’amour » qu’elle leur portait, au point de piquer une crise face à des photographes intrusifs.

Un jour en effet, décrit Charles Spencer, le petit Harry est immortalisé en train de tirer la langue sur le chemin de l’école, un comportement qui le fait passer pour un petit garnement « insolent » et mal élevé. En réalité, le fils de la princesse n’y est pour rien : on l’a provoqué pour créer le cliché du parfait polisson. Il s’amuse simplement, sans arrières pensées. « C’était de la pure malhonnêteté que de vouloir le faire passer pour un petit garçon complètement impoli alors qu’ils l’avaient en réalité provoqué sciemment. Diana était furieuse», explique-t-il.

Et comme tous les enfants, Harry avait ses moments d’indiscipline. Ce n’est pas Kate Middleton qui dira le contraire… Avec le prince George, la duchesse a du fil à retordre.

Crédit photo: Bestimage

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Philippe Conticini (Le meilleur pâtissier) : « Enfant, je grossissais du manque de mes parents »

La finale du Meilleur Pâtissier Spécial Célébrités va départager ce soir sur M6 qui de l’humoriste et comédienne Ariane Brodier, de la Miss Camille Cerf ou encore du juré de Danse avec les stars Jean-Marc Généreux sera désigné comme le Meilleur Pâtissier. Parmi les épreuves, la confection d’un gâteau de mariage à réaliser sous l’oeil avisé et les conseils très précieux du chef pâtissier Philippe Conticini qui a su inscrire sa signature si particulière dans chacune de ses créations. L’occasion de revenir sur son parcours unique et sa quête pour devenir l’homme d’exception connu de tous.

“Je suis né à Choisy-le-Roi, en 1963. Mes parents, Roger et Christiane, se sont battus pour sortir de leur condition. Ils n’avaient que des petits pois et des sardines pour unique repas de noces. Mon père a commencé comme plongeur dans un bar de La Varenne. Comme il « dépotait », il a vite gagné du galon et compris l’intérêt d’avoir un restaurant. Avec ma mère, ils ont d’abord pris la gérance d’un Viniprix, un magasin d’alimentation. Puis, dès qu’ils ont pu, au début des années 60, ils ont acheté Le Rocher, un routier à Vitry. En 1969, ils ont acquis un établissement bien plus grand, qui est devenu, deux ans plus tard, après d’énormes travaux et au prix de grands sacrifices, Le restaurant du Parc, un étoilé au guide Michelin.

En 1972, avec mon frère, Christian, nous sommes passés d’un deux pièces au-dessus du restaurant à un immense appartement de 220 mètres carrés avec vidéoprojecteur, salle de bains en marbre et jardin privatif. Mes parents travaillaient six jours et demi sur sept, je ne les voyais presque jamais. Ma mère, qui avait fait de nombreux stages auprès de Jacques Manière, de Bernard Loiseau et de Michel Guérard, m’a biberonné à la nouvelle cuisine. Mon père, dur, me faisait très peur. Il nous éduquait comme il l’avait été lui-même. Sans savoir dire « je t’aime », sans me prendre dans ses bras. Ma mère, élevée par des parents terribles, nous aimait mais sans avoir jamais appris comment faire. J’ai commencé à grossir vers 2, 3 ans. A 7 ans; je faisais 42 kilos pour 1,42 mètre. Je me sentais déjà malheureux comme un chien attaché à sa laisse de graisse. Ma mère m’a emmené voir des nutritionnistes, sans succès. En fait, je grossissais du manque de mes parents. J’ai essayé de me mettre au sport mais à la piscine, j’étais l’objet de moqueries. L’entraîneur de foot ne voulait pas de moi. J’étais bon en tennis de table, j’ai même atteint les régionales. Je voulais absolument faire mon service militaire pour m’enfuir du cocon familial, mais l’armée, qui voulait me réformer P4 (pour psychiatrie, ndlr) – alors que le vrai problème était mon poids –, ne m’a pas accepté.

Durant toute mon enfance et mon adolescence, mon père, qui ne comprenait pas mon surpoids, m’assenait que c’était une tare, que je n’avais aucune volonté et que je n’arriverais jamais à rien dans la vie. Je l’ai cru jusqu’à 23 ou 24 ans. Jusqu’au jour où j’ai compris que je n’étais pas celui que je croyais être. A La Table d’Anvers, le restaurant que nous avions depuis 1986 avec mon frère, les clients me disaient souvent : « Philippe, vous m’avez touché l’âme. » J’ai pris conscience que, pour la première fois, on me parlait sans voir mes formes, que je pouvais communiquer avec les autres à travers le goût. Après, je n’ai eu de cesse d’en travailler les émotions pour laisser s’exprimer le gamin que j’étais vraiment et l’homme que je voulais devenir. Un homme heureux. Ma femme et ma fille me le rappellent tous les jours.”

PROPOS RECUEILLIS PAR VIRGINIE PICAT

Photo : STARFACE

VIDEO – Premier plongeon pour Manon, la fille de Laure Manaudou et Frédérick Bousquet

Tout juste âgée de sept ans, la petite Manon, fille des nageurs Laure Manaudou et Frédérick Bousquet, se montre déjà à l’aise dans l’eau. Sur Instagram, la petite fille a été immortalisée en plein plongeon.

Si elle file désormais le parfait amour au bras du chanteur Jérémy Frérot, Laure Manaudou a vécu par le passé un certain temps avec le nageur Frédérick Bousquet. De leur union est née la petite Manon. Aujourd’hui âgée de sept ans, l’enfant capable de faire fondre le cœur de Jérémy Frérot en un regard semble déjà prête à marcher dans les pas de ses illustres parents. Alors que Laure Manaudou et Frédérick Bousquet comptabilisent à eux deux plusieurs dizaines de médailles d’or et une belle poignée de titres mondiaux et olympiques, leur fille fait déjà ses preuves dans les bassins. La preuve sur Instagram où, grâce à sa maman, la petite Manon a été immortalisée en pleine action.

Sur la vidéo de quelques secondes partagée par Laure Manaudou avec ses plus de 100.000 abonnés, la fillette apparaît dans le jardin de la maison familiale, debout devant une piscine. Dos à l’objectif, vêtue d’un maillot de bain, l’enfant de sept ans a les yeux fixés sur le bassin. En un instant, elle s’accroupit puis bondit dans l’eau à l’image d’une grenouille. En commentaire, sa mère inscrit d’ailleurs ces quelques mots: « Crapaud d’amour ». Visiblement, Manon se prépare d’ores et déjà pour ses futures compétitions internationales. D’ici-là, la fille de Laure Manaudou va avoir une belle surprise. Dans quelques mois, elle va avoir la chance d’accueillir un petit frère au sein de sa famille. Laure Manaudou et Jérémy Frérot attendent en effet un heureux évènement. Manon, elle, un nouveau partenaire de jeu.

Crédits photos : BORDE-MOREAU / BESTIMAGE