De retour à New York après s’être fait remarquer ces derniers jours dans les allées de Roland-Garros, Bella Hadid vient d’apparaître, à la fenêtre de chez elle, les fesses à l’air en belle compagnie.
Nul doute qu’espiègle comme elle est, Bella Hadid a joué avec le paparazzi en bas de chez elle en feignant de savoir qu’il était là. Car l’occasion était trop belle de faire croire ou d’officialiser sa relation avec le mannequin Jordan Barrett, le nouvel it-boy du moment que d’aucuns surnomment le « jeune Leonardo DiCaprio » pour ses yeux bleu azur et ses mèches blondes. Un mannequin avec lequel elle s’est montrée extrêmement complice, hier à New York, au point d’abattre ensemble la pudeur pour s’afficher, lui torse nu et elle fesses et jambes à l’air, au balcon d’une chambre d’hôtel.
Ce n’est pas la première fois que l’ange de la marque Victoria’s Secret se montre pleine d’allant avec ce jeune Australien, fils d’un baron de la drogue. Les deux mannequins avaient déjà par le passé tout fait pour faire croire à qui veut (The Weeknd en ligne de mire) qu’ils entretiennent une relation amoureuse ; c’était au mois de mai dernier sur un yacht de luxe tout près de Cannes. La France par laquelle Bella Hadid vient d’ailleurs tout juste de repasser afin d’y promouvoir, pendant le tournoi de Roland-Garros, la sortie de la réédition d’une basket culte de la marque à la virgule.
PARIS!! My @Nike Cortez launch tomorrow at the Nike Store Forum Des Halles! See you there ??????
Vous ne savez pas quoi regarder ce soir ? Les membres de notre rédaction vous indiquent les films à voir ou ne pas voir. Au programme : une famille adopte un chien envahissant, des adolescents aux super-pouvoirs et le sixième opus de “Fast & Furious
« Permis de mater »
Chaque soir, la rédaction d’Allociné vous indique les trois incontournables à ne pas rater.
Le film de la soirée est :
Chronicle de Josh Trank avec Dane DeHaan, Michael B. Jordan (Ciné + Frisson, 20h45) : “A l’heure des superproductions hollywoodiennes, qu’il est rafraîchissant de constater qu’on peut tout à fait signer un film de super-héros low-cost réussi. Avec un budget rikiki et des acteurs inconnus, mais avec beaucoup de foi et de talent, Chronicle parvient à surprendre, à émouvoir, à enthousiasmer. Impressionnant.” Clément Cuyer
Chronicle Bande-annonce VO
Chronicle Bande-annonce VO
Egalement à la télé ce soir :
Fast & Furious 6 de Justin Lin avec Vin Diesel, Paul Walker (Canal +, 20h55) : “Avec ce sixième opus pachidermique, la célèbre franchise d’action semble n’avoir plus de limites. Les morceaux de bravoure sont légion – on retiendra notamment la scène de poursuite avec le char d’assaut – le rythme est d’enfer et le casting toujours plus bad ass, mention spéciale aux « couillues » Michelle Rodriguez et Gina Carano.” Guillaume Martin
Fast & Furious 6 Bande-annonce VO
Fast & Furious 6 Bande-annonce VO
Beethoven de Brian Levant avec Charles Grodin, Bonnie Hunt (RTL9, 20h45) : “Très bon film pour la famille dans la lignée de Chérie, j’ai rétréci les gosses et Maman j’ai raté l’avion. Le chien est irrésistible et les gags sont nombreux ! A (re)découvrir !” Laurent Schenck
« Permis de zapper »
Chaque soir, un de nos rédacteurs vous déconseille un film de son choix.
Voyage au centre de la Terre 2 de Brad Peyton avec Dwayne Johnson, Vanessa Hudgens (OCS Max, 20h40) : “Si le film remplit son but premier qui est de divertir les spectateurs (surtout les plus jeunes), l’histoire invraisemblable (comme le casting), nous perd complétement. Le comble du ridicule : les blagues de The Rock…” Laetitia Forhan
Voyage au centre de la Terre Bande-annonce VO
« Permis de parler »
Et sinon, parmi tous les films qui passent ce soir, quel est votre favori ?
Qu’allez-vous regarder ce vendredi 23 mai ?
Pour retrouver l’ensemble des programmes, accédez directement à la grille en cliquant ici.
Cannes 2014, c’est terminé ! Montée des marches, cérémonie de clôture, palmarès, conférence des lauréats… Retour en images sur cette dernière soirée de festival !
1. Xavier Dolan (prix du Jury) et son équipe pour "Mommy"
+
Suzanne Clément, Xavier Dolan, Anne Dorval et Antoine Olivier Pilon
Lire la suite
Extraits choisis des conférences de presse post palmarès
Nuri Bilge Ceylan, Winter Sleep – Palme d’Or du 67ème Festival de Cannes
Nuri Bilge Ceylan, réalisateur de Winter Sleep : Je me sens un peu bizarre. C’est très agréable bien entendu. J’ai reçu beaucoup de prix avant mais la Palme d’or, c’est extraordinaire. Que dire de plus ? C’est un moment merveilleux.
Quad j’ai écrit le scénario, je ne pensais pas à l’aspect commercial. J’étais comme un écrivain, en ne me préoccupant pas de la longueur. Le premier montage durait 4h30. Je l’ai ensuite raccourci. Nous avons écrit le scénario avec ma femme et à cause du récit, des personnages, nous avons opté pour un film long.
Que dire de plus ? C’est un moment merveilleux.
Ce qui me motive en général, c’est l’aspect sombre de la nature humaine et de mon âme (…) Tout est écrit dans le générique. Ce film est inspiré de plusieurs nouvelles de Tchekhov. J’avais gardé une de ses nouvelles depuis une quinzaine d’années en tête. Mais je n’avais pas assez confiance en moi pour en faire un film. Après mon dernier film, j’ai eu assez de confiance en moi pour faire le film que vous venez de voir. Cela faisait 5 ou 6 ans que j’en parlais avec ma femme et tout à coup on s’est mis à écrire sans pouvoir s’arrêter. Le scénario a changé maintes fois, le dénouement est différent mais cela reste inspiré par Tchekhov.
Le Jury : « A propos de Winter Sleep – Palme d’Or… »
Si j’avais les tripes d’être aussi honnête que Ceylan, je serais fière de moi.
Jane Campion, Présidente du Jury : Winter Sleep m’a un peu apeuré. Quand j’ai vu la durée et le résumé… On avait tous un peu peur. Mais je me suis assise, le rythme était tellement merveilleux, j’ai été embarquée par le film… J’aurais pu rester encore 2 heures. Je me suis reconnue dans tous ces personnages. C’est un film maîtrisé, autour de Tchekhov, avec beaucoup de sophistication. C’est une des nombreuses raisons de lui décerner la Palme d’Or (…) J’aime beaucoup les personnages féminins de Winter Sleep. Le personnage de la sœur, par exemple, est très complexe. Lorsqu’on décrit un idéal, on trahit la réalité. L’intérêt de ce film, c’est son honnêteté brute, sans pitié. Si j’avais les tripes d’être aussi honnête que Ceylan, je serais fière de moi.
Xavier Dolan, Mommy – Prix du Jury
Xavier Dolan, réalisateur de Mommy : Ce qu’il y a de beau de le partager avec Godard c’est que, à une époque, il a tenté de réinventer le cinéma. J’aime croire que nous sommes dans une époque où le cinéma prend un virage. Et je voudrais en faire partie (…) Le cinéma s’exprime à travers toutes les générations. On me rappelle constamment mon âge. Tout à coup, ces interrogations sont pulvérisées par le témoignage reçu par le jury.
On me rappelle constamment mon âge. Tout à coup, ces interrogations sont pulvérisées par le témoignage reçu par le jury.
Je viens du Québec, toute mon enfance j’ai entendu : redescends sur Terre, arrête de rêver en couleurs… Je pense à toutes les stars qui viennent chercher leurs prix. Moi quand j’étais petit, j’ai réalisé que je viens d’un grand endroit où on rêvait petit. Je vois dans ma génération un rêve de grandeur. Si ce prix peut inspirer les gens de chez moi à rêver, tant mieux !
Il y a 3 ans, j’ai déclaré un bon matin, imaginant que ça n’aurait aucun impact, avoir été deçu d’être retenu dans une sélection parallèle de Cannes. Je ne pourrais pas vous dire que je suis deçu ce soir (ndlr : de ne pas avoir reçu la Palme d’or). A travers son prix, le jury a reconnu ce film, l’a aimé, a voulu le célébrer. Cette récompense me touche, me flatte. Mais de manière compatible avec la démesure de mes rêves, oui, je rêve à tout. Il faut voir grand, rêver à tout. Sinon on rêve de plus en plus petit. On avait rêvé à tout et on a un prix formidable, qu’on ramène à la maison avec fierté.
Le Jury : « A propos de Mommy – Prix du Jury… »
Nicolas Winding Refn, membre du Jury : Il faut comprendre que la révolution technologique permet à tout un chacun de devenir réalisateur. Il n’y a plus de limites.
Jane Campion : Nous avons été nombreux à aimer de nombreux films. Nous avons tous aimé Mommy mais nous n’avions pas suffisamment de prix à remettre. Nous en avons donc débattu.
Jia Zhangke, membre du Jury : Ça a été une expérience agréable et douce. En tant que spectateur j’ai été très heureux de voir tous ces films. En tant que réalisateur ça a été une grande inspiration. Ce qu’il y a eu de plus passionnant a été le Prix du Jury partagé entre Xavier Dolan et Jean-Luc Godard. Ces deux metteurs en scène travaillent avec un telle passion. On la perçoit dans leurs films.
Il sait qu’il a eu un prix… mais cela ne va pas révolutionner sa vie !
Alain Sarde, Adieu au langage – Prix du Jury
Alain Sarde, producteur de Jean-Luc Godard : Il sait qu’il a eu un prix… mais cela ne va pas révolutionner sa vie ! Ni la mienne. Il faut le prendre comme un prix remis par des jeunes. Ce sont des encouragements, il faut le prendre comme ça !
Andrey Zviaguintsev, Leviathan – Prix du scénario
Andrey Zviaguintsev, réalisateur de Léviathan : La panique ! Elle arrive toujours quand on s’apprête à parler… C’est une grande joie pour moi. Il n’y a qu’une chose qui me manque ici, c’est le co-scénariste. Son absence me coûte. Je suis convaincu que lui et moi allons nous remettre au travail ensemble très vite.
Le Jury : « A propos de Leviathan – Prix du scénario… »
Jane Campion : Les membres du jury ont été très impressionnés par le style de narration de Léviathan, qui a quelque chose d’une dimension biblique. On a beaucoup aimé le scénario du film et les performances des acteurs.
Bennett Miller, Foxcatcher – Prix de la mise en scène
Bennett Miller, réalisateur de Foxcatcher : J’étais en train de déjeuner avec mon ex. Elle était au milieu d’une histoire intense. Le téléphone a sonné… A partir du moment où j’ai pensé à cette histoire jusqu’à maintenant, il s’est passé 8 ans. Et nous avons terminé le film il y a à peine 2 semaines.
Je ne veux pas faire d’autres films sans Mark Ruffalo.
J’ai d’abord contacté Steve Carell. Je savais qu’il pouvait le faire. On ne l’attend pas forcément voir tuer quelqu’un. Et c’était la même chose pour John Du Pont. Je suis allé le voir pour lui en parler. Il est resté silencieux. Et il a accepté. Cela demande du courage d’accepter un tel rôle, sachant ce qu’il va se passer, que la famille va être présente, examiner le film de près… Et ce mélange est inattendu. Et je dois aussi ajouter que je ne veux pas faire d’autres films sans Mark Ruffalo, un acteur, un homme remarquable. Steve, Channing et Mark sont 3 acteurs différents, des personnalités et des rôles différents. Les trois ensemble c’est une alchimie.
Le Jury : « A propos des Merveilles – Grand Prix du Jury… »
Jane Campion : Nous n’avons jamais débattu du genre du metteur en scène. Nous avons réagi sur la base du film.
Leila Hatami, membre du Jury : il y a eu des discussions mais jamais d’opposition. On mettait un film en question. On en parlait. On s’informait entre nous, on s’aidait à s’orienter.
Jane Campion : On vote certes. On peut en parler, débattre mais au final on ne sait pas qui a voté pour quoi. Cela se fait à bulletin secret. Et il nous faut une majorité de 5 voix pour la remise d’un prix.
Nous avons tous pensé que “Les Merveilles”’ était un film magnifique, spirituel, avec des acteurs incroyables. A la fin, j’ai pleuré.
Nicolas Winding Refn : Nous avons tous pensé qu’il s’agissait d’un film magnifique, spirituel, avec des acteurs incroyables. A la fin, j’ai pleuré. Ce film a tellement d’éléments différents que je ne peux pas dire exactement de quoi il en retourne. La fin du film est tout à fait incroyable. Une fin incroyable à laquelle je ne m’attendais pas.
Sofia Coppola, membre du Jury : C’était un film poétique. Avec des acteurs excellents. Une superbe photographie. C’était touchant. Il faudrait le revoir. Nous avons également beaucoup aimé le jeune fille. C’est la vie elle-même ! Elle nous fait vivre une expérience. Au bout d’un moment j’ai peru que ce film créait son » monde. Et j’avais l’impression d’en faire partie. L’histoire elle-même est moderne. C’est une sorte de souvenir… et j’aime le chameau ! (rires)
Timothy Spall, Mr. Turner – Meilleure interpretation masculine
Timothy Spall, l’interprète de Mr. Turner : On peut m’accuser d’être faux dans ce que je dis. Mais je suis vraiment touché par cette récompense. Merci beaucoup. Il se trouve que j’obtiens cette récompense pour Mr. Turner, mis en scène par le réalisateur pour lequel j’ai le plus de respect. Ce prix est autant pour Mike Leigh, que pour l’équipe et moi. Cette collaboration entre nous tous est la création de Mike Leigh. C’est formidable. Je suis très heureux. Très fier de ce prix.
Le Jury : « A propos du travail du jury… »
Sofia Coppola : Nous avons pensé à chaque film selon ses propres mérites, sans regarder le nom du réalisateur.
Jane Campion : Il n’y a eu aucune restriction ou limite imposée pour notre palmarès.
Gael Garcia Bernal, membre du Jury : Chaque film a une complexité, qu’elle soit politique ou sexuelle, qui touche à un aspect du spectre humain. On a débattu de tous ces aspects. On abordait ces films sous de nombreux angles, sans jamais l’isoler pour sa dimension politique.
Carole Bouquet, membre du Jury : Jane Campion cherchait toujours la « liberté » dans les films. C’est le mot clé qu’elle a insufflé au jury.
Jia Zhangke, membre du Jury : Chaque prix a été difficile pour nous.
Notre interview de Nuri Bilge Ceylan, réalisateur de “Winter Sleep”, Palme d’Or à Cannes :
Après son élimination des élections législatives, Henri Guaino avait déclaré que les électeurs, de la circonscription qu’il convoitait, étaient « à vomir » et avait décidé de quitter la politique. Invité dans C à vous, l’ancienne plume de Nicolas Sarkozy a été confronté aux réponses des électeurs. Et ils n’y vont pas de main morte.
On n’arrête plus Henri Guaino. Depuis sa défaite aux législatives le 11 juin dernier, sa parole est libre, au point de déclarer que les électeurs de sa circonscription étaient « à vomir » et avait décidé de quitter la politique. Invité sur les plateaux de télévision, l’ex-élu continue l’explication de ses propos sans se démonter et sans présenter de mea culpea. Présent sur le plateau de C à vous, face à Patrick Cohen, Henri Guaino a été confronté aux réponses de ces électeurs très remontés contre l’homme de droite.”Je ne suis pas une bobo, je suis une femme de droite et je ne suis pas du tout pétainiste. Je suis catho, je suis chrétienne. Ce n’est pas parce que les gens n’ont pas voté pour vous qu’ils sont à vomir« , a commencé une électrice. D’autres passants de la circonscription qui ont été interrogés, ont été beaucoup moins tendre avec Henri Guaino. »Il ne supporte pas que les gens le critique ou même gentiment et il a la gueule de l’emploi du salaud« , ou « C’est lui qui est à gerber, de toute façon c’est un fou furieux. Un fou furieux déjà après Fillon il a était odieux, c’est vraiment un malade » ou encore plus direct : »je dirais qu’il aille se faire en***** Henri Guaino“.
Face à ces réponses aussi vindicatives, Patrick Cohen a demandé une réaction au haut fonctionnaire. Alors qu’en février 2014, il avait quitté le plateau de l’émission dans un débat sur la loi familles du gouvernement, il ne s’est pas défilé cette fois-ci.”Mais non on a rien à faire ensemble. Moi de toute façon, je ne suis plus un homme politique, donc ils peuvent m’insulter autant qu’ils veulent”. Le journaliste a tenté alors la question :”Donc ni excuses, ni regrets ce soir Henri Guaino?« Et la réponse est sans appel : »Ah non ! Certainement pas des excuses, mais ils peuvent m’insulter, ils ont le droit, c’est la démocratie“.
L’émission C à vous connaît souvent des tensions sur le plateau lorsque l’équipe reçoit un politique. Le rapport entre politique et journaliste est toujours délicat. Récemment, c’est Anne-Sophie Lapix qui s’était accrochée avec le bras droit de Marine Le PenFlorian Philippot qui l’accusait de ne pas préparer ses fiches elle-même.
Elle a confié ne pas avoir voté lors de la dernière présidentielle, mais la chanteuse, habitant juste en face de l’Elysée et donc voisine du couple Macron, se révèle très curieuse de ce qui s’y passe à l’intérieur du palais républicain…
Les hommes qui passent. Elle en a fait un tube, en 1990. Si la chanson s’inspirait de ses amours infortunées, elle pourrait aujourd’hui faire référence à son illustre voisinage. Depuis une vingtaine d’années, Patricia Kaas est en effet domiciliée rue du Faubourg Saint-Honoré, dans le 8eme arrondissement, juste en face de… l’Elysée, palais de la république.
Des présidents, la chanteuse en aura ainsi connu quatre, depuis son installation dans le quartier.
Réputé pour son contact facile, mais plus probablement sous le charme de la chanteuse, le premier, Jacques Chirac, lui proposa de laisser leurs bichons – Sumo et Tequila – s’accoupler. Jamais la chienne de Patricia ne donna naissance à une portée présidentielle, cependant.
Avec le second locataire du 55 rue du Faubourg Saint-Honoré, Nicolas Sarkozy, le rapprochement fut plus stratégique. Grand amateur de variété française, mais animal politique avant tout, l’ex-leader de l’UMP préféra inviter la chanteuse, véritable star de l’autre côté de l’Oural, à un dîner d’état avec le président russe Dmitri Medvedev, en mars 2010.
Pas d’affinité particulière avec son troisième voisin présidentiel, lecachottier François Hollande. Début 2017, alors que l’état d’urgence venait d’être prolongé, Patricia rouspétait même auprès de nos confrères de VSD : «C’est le bordel. C’est horrible, on ne peut plus rien faire, on ne peut plus bouger, on est parqués derrière des barrières, je suis surprotégée depuis qu’ils ont fermé la rue du Faubourg-Saint-Honoré. Les taxis ne passent pas. Bon, je peux encore porter ma valise mais c’est quand même pénible. Et, à partir de 20 heures, lorsqu’ils ferment les barrières, même les piétons ne passent plus. Donc, quand tu invites quelqu’un à boire un verre, si tu ne laisses pas les noms en bas, personne ne passe. Et je suis désolée, mais c’est ton intimité. T’as pas envie que tout le monde sache qui vient et part de chez toi. Comme en plus je suis une personnalité, les gens jasent. Parfois, je discute avec les policiers, je leur demande : « Mais qu’est-ce qu’il peut arriver ? » C’est devenu invivable.»
Meilleur feeling avec Brigitte et Emmanuel Macron,aimables locataires de l’Elysée ? Le couple connaît la chanson française, apprécie plus particulièrement Johnny Hallyday et Line Renaud, a déjà conversé avec Vanessa Paradis. Patricia, de son côté, savoure les histoires romanesques. Un seul couac à déplorer jusqu’à présent : le 4 mars dernier, le président, alors en campagne, a dû déplacer un meeting au Parc des expositions de Caen, après avoir réalisé que le zénith de la ville était déjà réservé par l’interprète de Mademoiselle chante le blues.
Patricia regretterait-elle de ne pas l’avoir croisé ? Le 7 juin dernier, elle postait sur son compte Instagram une vidéo de la vue directe qu’elle a sur la cour de l’Elysée, depuis son appartement. En attendant d’y être invitée par le couple Macron…
Interprète de la terrible Ava Lord dans “Sin City 2”, Eva Green a elle aussi eu droit à sa propre affiche. Sauf que la MPAA a peu apprécié sa “nudité”, et l’a rejeté aux Etats-Unis.
“J’ai été particulièrement méchante”, indique l’affiche de Sin City 2 centrée sur le personnage d’Ava Lord, incarné par Eva Green. S’il faudra attendre le 22 août aux Etats-Unis (et le 17 septembre en France) pour savoir à quel point, la Motion Pictures Association of America (MPAA) a déjà trouvé quelque chose à lui reprocher.
Le comité de classification américain a en effet rejeté le poster en raison de sa nudité. Ou plus précisément “la courbe du sein et l’aréole du téton” que l’on distingue à travers la robe de chambre très fine que porte la comédienne, selon le site Page Six. En attendant la version soft que devrait préparer Dimension Films, vous pouvez donc découvrir l’originale ci-dessous, ainsi que les affiches de Josh Brolin, Rosario Dawson, Jessica Alba, Mickey Rourke et Joseph Gordon-Levitt, dévoilées la semaine dernière.
Avec 70 millions de dollars de recettes pour son premier week-end d’exploitation, “Maléfique” permet à Angelina Jolie de réaliser son meilleur démarrage aux Etats-Unis. Mais qu’avaient rapporté “Kung Fu Panda”, “Mr. & Mrs. Smith” ou encore “Wanted” ?
1. Numéro 10 : "60 secondes chrono"
+
Démarrage US : 25,33 millions de dollars de recettes Fin de carrière US : 101,64 millions de dollars de recettes
Inconnu du grand public il y a quelques mois, le chanteur Gauvain Sers se hisse en tête du classement des meilleures ventes d’albums.
C’est sur la scène qu’il a fait ses classes : le jeune chanteur de 27 ans, Gauvain Sers, originaire de la Creuse, a passé les dernières années à faire les premières parties des artistes Tryo, Yves Jamais, Benoît Doremus, Manu Galure et surtout Renaud. Devenu le protégé du chanteur dès octobre 2016 Gauvain Sers assure la première partie de la tournée Phénix Tour de Renaud pour 75 dates. Il participe également à l’émission Merci Renaud sur France 2 aux côtés de Julien Clerc, Patrick Bruel et Benabar. En parallèle, le chanteur, qui a suivi des cours de composition musicale et d’écriture à Manufacture Chanson à Paris, prépare son premier album Pourvu, pour le label Fontana Records.
Le single Pourvu, qui a donné son nom à l’album, et dont le clip est réalisé par le très rare réalisateur Jean-Pierre Jeunet qui cite largement son succès Le fabuleux destin d’Amélie Poulain, voit aussi apparaître l’acteur Jean-Pierre Darroussin.
Contre toute attente, le premier album de Gauvain Sers se hisse, deux semaines après sa sortie, à la première place des classements des meilleures ventes de disques avec 14 600 ventes d’albums en France, devançant le groupe London Grammar et la chanteuse pop Katy Perry. Forts de ses illustres parrains, le disque Pourvu est sans nul doute destiné à un fabuleux destin.
It is often said that justice delayed is justice denied and this has come true for a minor boy who was raped almost five years ago by a taxi driver in Mumbai.
For him justice has come, but after a long wait and a lot of mental trauma and pressure.
According to a report by Hindustan Times, a 30-year-old cab driver has been sentenced to 10 years imprisonment for kidnapping and raping a Class 7 boy in Sanctacruz (East) way back in 2013. The convict abducted the boy and took him near a graveyard, where he sexually assaulted him.