Month: January 2020

A 47 ans, Eric Judor se serait marié avec la femme qui partage sa vie depuis plusieurs années. Une inconnue dont on ne connaît même pas le prénom et avec laquelle il a déjà eu trois enfants.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, à l’heure de la surmédiatisation, des réseaux sociaux et de l’information en continu, on ne connaît pas le nom de la femme qui partage la vie d’Eric Judor depuis plusieurs années. L’acteur s’affiche parfois avec sa belle lors de soirées ou au tournoi de tennis de Roland Garros, tout juste sait-on qu’ils ont eu ensemble trois enfants, deux filles et un garçon, mais c’est bien tout.

Grâce à France Dimanche, on apprend cette semaine qu’Eric Judor s’est marié avec sa belle inconnue. L’événement a eu lieu le week-end du 29 octobre, sur la terre de son père, la Guadeloupe. A Terre-de-Haut très précisément. L’humoriste a réussi l’exploit de ne laisser filtrer aucune information ni aucune photo.

Lorsqu’Eric Judor se confie dans la presse sur son couple et les problèmes qu’il a pu rencontrer, c’est pour parler de Ramzy Bédia avec lequel il a formé un tandem qui, après avoir cartonné sur scène, a fait les riches heures de Canal+ et joué dans quelques films devenus cultes, comme La tour Montparnasse infernale. Après des années de succès, les deux amis s’étaient brouillés. Un silence radio qui a duré près de cinq années et qui s’est terminé par leurs retrouvailles pour La tour de contrôle infernale, sorti début 2016.

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L’acteur iconique d’Hollywood aime passer du temps au bord du terrain des Los Angeles Lakers, l’occasion de supporter son équipe de cœur mais aussi de figurer aux côtés de quelqu’un qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau, son fils Ray.

Connu pour son incapacité à “se fixer“, Jack Nicholson a eu cinq enfants de quatre femmes différentes. Et c’est semble-t-il avec son dernier, né en 1992, que la légende hollywoodienne aime à partager du bon temps.

Il faut dire que le jeune Raymond (Ray) est en plus d’être le sosie de son père, fan absolu de l’équipe de basket des Los Angeles Lakers dont le héros de Vol au dessus d’un nid de coucou est l’un des plus fervents supporters.

Comme beaucoup d’enfants d’Hollywood, ce grand brun âgé aujourd’hui de 24 ans a choisi une carrière dans le cinéma. Assistant réalisateur pour deux films en 2013 et 2014, respectivement Boots et A Reunion qui a contrario de ceux de son père, n’ont pas marqué l’histoire du cinéma.

Ray est également passé devant la caméra tout jeunot en 2006 dans le film La revanche des losers. Il habite aujourd’hui à Los Angeles et nul doute que son potentiel séduction ne va rester dans l’ombre bien longtemps.

En attendant, rendez-vous est pris avec son père au Staples Center de Los Angeles où à chaque rencontre des Lakers, Jack Nicholson peut se revoir quand il avait 20 ans.

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Crédits photos : Noel Vasquez

La nuit où son Donald Trump est devenu président des États-Unis, son fils Barron est monté sur scène pour le rejoindre dans la victoire. Le monde a alors découvert le cinquième et dernier enfant de la dynastie Trump.

C’est sa mère Melania Trump qui a surnommé Barron, l’unique fils qu’elle a eu avec le quarante-cinquième président américain, « Petit Donald ». “Barron est physiquement un mélange de nous deux, mais pour le reste il ressemble beaucoup, beaucoup à son père. À l’âge de cinq ans il disait déjà qu’il voulait faire comme son papa : homme d’affaires et jouer au golf“, confiait en 2012, au magazine Parenting, la future First Lady.

Le mini-moi de Donald Trump a aujourd’hui 10 ans et la presse a déjà remarqué qu’il ne portait pas de sweats ou de jeans. Barron préfère manifestement les blazers-pantalons comme papa dont il partage aussi une autre passion : celle des beaux jets. Dans sa chambre, confiait sa mère lors de cette même interview, il n’y a aucun poster, les murs sont blancs, tout est bien rangé. En revanche, dans sa salle de jeu (le petit garçon a son propre étage dans le penthouse new-yorkais de ses parents), il y a partout des photos et de dessins qu’il a fait d’avions.

Le petit garçon blond comme son père est décrit par sa mère comme « indépendant », “qui sait ce qu’il veut avec des avis très tranchés« , et »créatif » : « avec ses Lego, Barron adore construire d’impressionnantes maquettes d’immeubles qu’il détruit une fois terminées pour en reconstruire d’autres, nouvelles et différentes ».

Durant toute la campagne, le couple Trump a préféré laissé leur fils dans l’ombre. Scolarisé dans une « private school » près du domicile familial, Barron va changer d’école en janvier pour intégrer un autre établissement près de la résidence présidentielle à Washington. Lui qui grandit en enfant unique (sa demie-sœur la plus proche en âge, Tiffany, a 22 ans) devra se faire de nouveaux copains.

Melania Trump continuera-t-elle à lui préparer son petit déjeuner et sa « lunch box »,à l’accompagner le matin et à la ramener le soir de l’école ? Une chose est sure, la vie de « little Donald » ne sera plus vraiment comme avant à la Maison Blanche.

Crédit photo : Abaca

Malik Obama, demi-frère du dirigeant sortant des États-Unis, a fait part de sa joie après le triomphe de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine. Il a chanté sur Twitter les louanges de celui qui “parle avec le cœur“.

“Mes félicitations président Trump! Dieu est grand!“, a lancé sur Twitter Malik Obama, demi-frère de Barack Obama. Avant de déclarer dans un second temps toujours sur le réseau social : “Mes deux enfants sont morts alors que mon frère était Président; ce n’est pas une simple coïncidence. Humilié et désavoué. Que Dieu bénisse l’Amérique!“

Originaire d’un petit village de l’ouest du Kenya, Malik Obama avait récemment rallié la cause de Donald Trump après avoir à maintes reprises accusé son cadet de malhonnêteté, d’arrogance, et de ne pas avoir fait plus pour le Kenya et sa famille kényan

Malgré son adhésion au Parti démocrate depuis de nombreuses années, Malik Obama a donc comme prévu voter pour le candidat républicain. “J’aime Donald Trump parce qu’il parle avec le cœur“, avait-il expliqué il y a quelques mois dans les colonnes du NY Post.

Il y attaquait également Hillary Clinton, à qui il reproche d’être responsable, avec l’administration Obama, de la mort du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, “un de ses meilleurs amis“.

Malik Obama, qui aurait selon la presse américaine engrangé plusieurs milliers de dollars en vendant des lettres de jeunesse de Barack Obama, a la double citoyenneté kényane et américaine et vote depuis 1985 aux élections américaines. Il s’est essayé à la vie politique kenyane en 2003 en briguant le poste de gouverneur du comté de Siyaya, dans l’ouest du Kenya mais n’a pas rencontré le succès.

Depuis fort d’un peu plus de 65 000 abonnés à son compte Twitter, l’homme se fait commentateur de la vie politique du pays que dirige son demi-frère jusqu’au 20 janvier prochain, date à laquelle sera officiellement intronisé Donald Trump.

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Agé de 58 ans, Malik Obama est le fils aîné de Barack Obama Sr et de sa première femme Kezia. Selon The Post, Barack Obama Sr a laissé au Kenya Malik alors qu’il était âgé de 1 an et sa mère en 1959 pour aller vivre à Hawaii, où il a rencontré la mère du 44ème président des Etats-Unis. Barack Obama et son demi-frère Malik ne se sont rencontrés pour la première fois qu’en 1985 lorsqu’ils avaient respectivement 24 et 27 ans.

CONGRATULATIONS PRESIDENT TRUMP! GOD IS GREAT!

— Malik Obama (@ObamaMalik) November 9, 2016

My two children died while my brother was President; not even simple condolence. Humiliated and demeaned. God Bless!

— Malik Obama (@ObamaMalik) November 9, 2016

God bless Mr.Trump!

— Malik Obama (@ObamaMalik) November 9, 2016

Crédits photos : KAREL PRINSLOO/AP/SIPA

Ce samedi 12 novembre, en toute discrétion, l’ancien maire de Nice, Christian Estrosi, a épousé Laura Tenoudji. La chroniqueuse de Télématin depuis seize ans est de nature fonceuse. La preuve, en moins d’un an, elle passe de « Laura du web », à Madame Estrosi.

Le Président de la région PACA, et ancien Maire de Nice, Christian Estrosi, s’est marié pour la seconde fois, dans sa ville, avec la chroniqueuse de l’émission Télématin, Laura Tenoudji. Qui est cette femme de 40 ans, mère d’un petit garçon de 7 ans, et passionnée par son travail?

Laura Tenoudji est une matinale, cela, on s’en doute. Depuis seize ans, elle anime une chronique dans l’émission de William Leymergie, sur France 2. Un travail de journaliste, et une véritable passion pour cette femme, qui a décroché ce poste en fonceuse. Pour obtenir un simple stage dans l’émission, après des études d’Histoire, et une incursion dans le monde du théâtre pendant deux ans au Cours Florent à Paris, elle a appris par cœur son fonctionnement, les enchaînements de rubrique, et tous les codes, avant même de postuler. Résultat, elle a su se rendre indispensable, et a même obtenu le surnom de « Laura du Web ».

Elle avait expliqué cet épisode de sa vie au micro de David Abiker, pour le Figaro.

Laura du web, journaliste geek de Télématin :”J…par Mariée à Nice par l’adjointe au maire Denise Fabre à sa demande, “parce que Laura la connaît depuis qu’elle est toute petite” selon la ville de Nice, Laura Tenoudji devient une niçoise de coeur, mais elle est avant tout une parisienne. Fille d’éditeur d’Art contemporain, petite-fille d’Edmond Tenoudji, un producteur de cinéma, avant de rencontrer Christian Estrosi, elle a eu un petit Milan, âgé aujourd’hui de 7 ans.

Christian Estrosi est quant à lui divorcé de la sénatrice des Alpes-Maritimes Dominique Sassone, et a eu deux filles avec elle: Laetitia, 31 ans, et Laura, 28 ans. Sa rencontre avec Laura Tenoudji n’est officielle que depuis le printemps dernier, où les deux amoureux avaient monté les marches du Festival de Cannes ensemble.

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Experte du monde de la télévision et de l’internet, Laura Tenoudji pourrait être un atout pour l’ancien ministre. Elle a soutenu celui qui n’était encore que son compagnon après les attentats de Nice cet été, selon nos confrères de Paris Match, et pourrait coacher son désormais mari pour ses prochaines interviews.

Crédits Photos: SIPA – Bestimage

Mardi 15 novembre, Yann Barthès a souhaité mettre les choses au clair concernant la polémique liée à une récente déclaration de Jean-Pierre Pernaut lors du journal télévisé de TF1. Pour l’occasion, le présentateur de Quotidien a répondu aux attaques des chroniqueurs de Touche pas à mon poste.

Il a réglé ses comptes. Durant la quotidienne diffusée mardi 15 novembre, Yann Barthès est revenu sur la polémique concernant Jean-Pierre Pernaut. Pour rappel, le présentateur avait déclaré lors de son journal télévisé de 13 heures : « Voilà, plus de place pour les sans-abri, mais en même temps les centres pour migrants continuent à ouvrir partout en France. »

Une phrase qui avait suscité la colère de nombreux téléspectateurs, mais aussi celle des chroniqueurs de Touche pas à mon poste. Lors de l’émission, Caroline Ithurbide, Thierry Moreau ou encore Benjamin Castaldi avaient fermement dénoncé cette intervention et souligné le silence de Yann Barthès au lendemain du journal télévisé. Cyril Hanouna avait alors évoqué des éventuelles pressions de la part de TF1.

Accusé d’avoir volontairement omis d’en parler, Yann Barthès a souhaité régler ses comptes avec une lettre ouverte – des plus ironiques – lue lors de l’émission : « Ceci est un message rédigé par la rédaction de Quotidien pour Baba et son équipe : veuillez accepter nos excuses si notre ligne éditoriale ne vous a pas convaincus. Vous nous avez percés à jour : nous n’avons pas évoqué la phrase maladroite de Jean-Pierre Pernaut, et vous nous avez sacrément épinglés ! (…) Vous avez rétabli la vérité et nous ne serons plus jamais pris la main dans le sac. » Yann Barthès a également souligné avoir privilégié deux sujets importants : l’élection américaine et l’hommage des attentats du 13 novembre 2015, et non la récente déclaration de Jean-Pierre Pernaut : « Il est parti en live et vraiment, il n’y avait rien de plus à dire », a-t-il ajouté, avant de mettre un terme au débat.

Crédit Photo : BestImage

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Ce soir, France 3 diffuse Patricia Kaas, mademoiselle chante… . Un documentaire dans lequel la chanteuse revient avec émotion et sincérité sur trente ans de carrière. Actuellement en pleine promotion de son nouvel album, celle qui monta sur scène à l’âge de 8 ans pour ne plus jamais en descendre dresse actuellement un bilan de sa vie. Une existence entre ombre et lumière qui ne lui aura pas fait connaître les joies de la maternité.

Des histoires d’amour jamais assez sérieuses pour envisager de faire un enfant puis le temps passe et la sanction tombe : « Je ne peux plus tomber enceinte ». Cette confession, Patricia Kaas l’avait faite dans les colonnes de Gala en 2013, où elle était notamment revenue sur ses nombreux avortements et le fait qu’elle était désormais stérile.

Sortie d’un silence médiatique de plus de 24 mois, la chanteuse vient de faire part – toujours dans nos pages – de la dépression qui l’a clouée au lit pendant des mois à se répéter « que la vie ne sert à rien ».

Un burn-out déclenché par la mort de sa chienne Téquila, « plus qu’un animal de compagnie, l’enfant que je n’ai jamais eu ». Tout est alors remonté : la mort de ses parents, de son frère, sa rupture avec le chef étoilé Yannick Alléno… À force de le chanter, Mademoiselle a vraiment eu le blues.

Aujourd’hui, après trente ans de carrière, la chanteuse se dit “enfin sereine« : »Pendant des années, j’ai traîné plusieurs deuils. J’ai longtemps vécu en parallèle, entre des choses difficiles et des moments joyeux sans en profiter, mais j’ai plutôt un caractère constructif et pas destructeur. J’ai compris que ça n’allait pas et je me suis fait aider. Aujourd’hui, j’ai un meilleur regard sur moi ».

Un regard qui lui permet aussi de mieux accepter le fait qu’elle ne sera jamais mère. En effet, cet « enfant qu’elle n’a jamais eu”, Patricia Kaas vient de l’évoquer plus concrètement auprès de nos confrères de Télé Star. »Je ne peux pas vraiment parler de regret, souligne la chanteuse. C’était mon choix de ne pas avoir d’enfant. Toutefois, lorsqu’on comprend qu’il est trop tard, on prend un coup dans la gueule!“

Et de conclure sans s’apitoyer sur son sort : « Mais je vous dirai qu’étant enfin en paix avec moi-même, j’ai juste envie, égoïstement, de vivre… ». Mademoiselle chante toujours !

Crédit photo Visual

Pour Antoine Griezmann, il n’y a pas que le ballon rond qui compte. Le nouveau chouchou des supporters et supportrices tricolores a décidé de s’impliquer pour une bonne et belle cause : celle des violences faites aux femmes.

Antoine Griezmann prête sa voix à la 5ème édition de la campagne White Ribbon for Women. Il s’agit d’une campagne annuelle qui se tient du 18 au 27 novembre et dont le but est de lutter contre les violences faites aux femmes.

Afin de briser le silence autour des violences faites aux femmes #BeHerVoice http://www.kering.com/en/press-releases/prominent_male_figures_lend_their_voices_to_the_kering_foundations_white_ribbon_for

Posted by Antoine Griezmann onFriday, November 18, 2016

La campagne White Ribbon for Women a été lancée par la Fondation Kering en 2012, avec Stella McCartney. La styliste a d’ailleurs conçu un badge White Ribbon for Women en série limitée.

Pour cette nouvelle édition, deux autres ambassadeurs masculins seront aux côtés du champion français : le surfeur américain Kelly Slater, ce dernier avait également joué dans la série Alerte à Malibu, et l’acteur chinois Yang Yang.

Leur but sera de montrer que le combat contre les violences faites aux femmes se doit d’être universel et d’encourager chacun à briser le silence, autour de ce sujet souvent tabou.

230.000 badges et stickers White Ribbon for Women créés par Stella McCartney, seront distribués dans plus de 800 boutiques et 51 pays à travers le monde, aux clients des Maisons de luxe de Kering : Gucci, Alexander McQueen, Balenciaga, Brioni, Stella McCartney, McQ, Boucheron, Qeelin, Pomellato et Dodo.

A travers une série de portraits, les trois ambassadeurs incarneront les témoignages de femmes victimes. Une bien belle initiative pour celui qui a été élu « homme de l’Euro » en juin dernier.

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La danseuse malvoyante Fabienne Haustant a su toucher le jury au coeur, mardi 22 novembre sur le plateau de La France a un incroyable talent. Sa prestation émouvante et courageuse a créé un véritable buzz.

Un moment d’une grande intensité s’est déroulé mardi 22 novembre sur le plateau de La France a un incroyable talent, sur M6. La candidate Fabienne Haustant, malvoyante, a bouleversé le jury, grâce à une performance pleine d’émotion. Cette danseuse de 43 a offert une chorégraphie certes par moment un peu brouillonne, mais très habitée, qui a su séduire Gilbert Rozon, Eric Antoine, Kamel Ouali et Hélène Ségara. Il y a un mois, une jeune chanteuse aveugle avait aussi bluffé les quatre membres du jury.

Vêtue d’une simple robe blanche, Fabienne Haustant s’est élancée sans peur sur scène, portée par la mélodie sombre et entêtante de Take Me To Church, chantée par Hozier. Avec un tel courage, et une telle force, la belle danseuse, qui a gardé les yeux clos pour se protéger de la violente lumière du plateau, n’a pas tardé à recevoir trois « oui » pour sa prestation. Seul Gilbert Rozon a regretté le côté trop « improvisé » de la chorégraphie de Fabienne, et a donc vote « non », mais « à contre-cœur ».

Dans une interview accordée au Parisien, la candidate s’est dite ravie de son passage dans l’émission. « Ce sont des amis et une prof de danse qui m’ont poussée à m’inscrire. J’aimais bien l’idée qu’au moment même où je danse, personne ne sache vraiment si je vois ou pas. (…) J’ai aimé être jugée sur mes qualités de danseuse, et pas sur le reste » a-t-elle confié.

Après sa performance, elle a avoué au jury qu’elle avait du mal à trouver des partenaires de danse. Ce à quoi le chorégraphe Kamel Ouali a répondu en montant immédiatement sur scène pour danser aux côtés de Fabienne, sous les applaudissements du public.

Depuis que Shakira s’était rangée, on se lassait de revoir ses déhanchements. Elle se rattrape dans son nouveau clip Shantaje.

Ca commençait à bien faire. Depuis quelques années, Shakira n’était plus vraiment Shakira. Celle qui, au début des années 2000, avait déferlé sur le monde entier en bombe sexy avec son tube Whenever Whatever, et les déhanchements qui vont avec. Avaient alors suivi d’autres tubes comme La Tortura, Hip’s Don’t Lie ou encore Beautiful Liar, en duo avec Beyoncé.

C’était fait : Shakira Isabel Mebarak Ripoli avait rejoint le club fermé des divas du RnB contemporain, avec des touches latinos et orientales bien à elle. Hymne de la Coupe du monde de football en Afrique du Sud en 2010, Waka Waka devient même la troisième vidéo la plus vue de tous les temps sur YouTube. En France, sa popularité est alors décuplée par sa reprise de Je l’aime à mourir de Francis Cabrel.

Un boulevard s’offrait à Shakira, mais elle a décliné la proposition de continuer sur sa lancée. A l’été 2010, elle rencontre le footballeur espagnol Gerard Piqué, justement sur le tournage du clip de Waka Waka. Coup de foudre et, en septembre 2012, elle donne naissance à leur garçon Milan. Elle s’installe à Barcelone et, le 29 janvier 2015 nait leur second, Sasha.

Forcément, pendant tout ce temps là, Shakira a rangé ses strass, ses mini shorts moulants et ses talons pour pouponner. Ce temps-là est révolu. Avec son nouveau single Chantaje en duo avec le chanteur colombien Maluma, elle revient enfin à ses fondamentaux. A 39 ans, elle se tortille en poom poom short en jean dans les toilettes d’une boîte de nuit avant de s’allonger sur un canapé pour s’y faire arroser par deux statues.

Un retour en force à vérifier sur pièces dans la vidéo ci dessous :