Month: January 2020

Dis moi quel voiture tu as et je te dirai quel film tu es ! L’artiste Jesus Prudencio a imaginé une série d’affiches de films dont le point commun est la mise en avant de leur voiture !

Des voitures et des films… L’idée est toute simple, mais très ingénieuse : le graphiste Jesus Prudencio a mis au point une série d’affiches avec pour même motif leur voiture ! De Retour vers le futur à Drive, retrouvez 5 exemples d’affiches et autant d’hommage à ces films. Pour découvrir toute la galerie, rendez-vous sur le site CarsAndFilms…

 

 

 

 

 

 

 

Notre Top 5 consacré aux voitures volantes :

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Harry Potter et la chambre des secrets

La demoiselle fera “son entrée dans le monde” ce samedi soir aux côtés de ses parents, Karine Silla et Vincent Pérez, à l’occasion du Bal des débutantes. Rencontre.
(Par Sandrine Mouchet)

Son regard de jeune biche pétille sous ses longs cils soyeux. “Je suis tellement heureuse de pouvoir participer à cet événement. Et plus encore, de le vivre avec ma meilleure amie !” Dans les salons couture de la maison Jean Paul Gaultier, Iman Pérez, seize ans, soulève le tissu lustré d’une robe de princesse tout droit sortie d’un conte de fées. Elle semble fascinée. Sa silhouette de brindille se reflète dans les miroirs. Karine Silla, ex-mannequin aujourd’hui comédienne et réalisatrice, laisse Iman profiter pleinement de cet instant de grâce.

“Avant l’été, elle nous a annoncé que son amie d’enfance Sonia (Ben Ammar, chanteuse, comédienne et fille du producteur de cinéma tunisien renommé, ndlr) était invitée au Bal des débutantes, raconte Karine, mais sans vraiment nous faire part de son envie d’être de la fête. Aussi, lorsqu’avec Vincent, nous avons reçu une invitation en septembre, on a failli la jeter. Puis Vincent a pensé qu’il fallait quand même lui en parler. Elle a crié : “Mais tu rigoles, bien sûr que je veux y assister !” Le regard de Karine se tourne de nouveau vers sa fille. “Iman est fan de mode depuis toute petite. Comme elle a toujours été dans les premières de sa classe, nous l’avons autorisé en juin dernier à s’inscrire chez Next, une agence de mannequins renommée. C’est drôle, jeune, je ne m’étais jamais projetée mannequin et c’est le hasard qui a fait que… Alors qu’Iman est, elle, déterminée à faire carrière, aussi sérieusement que tout ce qu’elle entreprend !”

La jeune liane d’1,74 mètre avance doucement vers l’objectif de notre photographe. Iman sourit quoiqu’un peu intimidée par l’atmosphère des lieux et par toute l’attention qu’elle engendre. “Pourtant, j’ai déjà fait des photos et des défilés plus jeune, mais à l’époque, j’avais tellement d’activités que cela passait au second plan, souligne-t-elle. J’ai suivi un cursus sport études danse classique, je pratique toujours l’équitation et le saut d’obstacles en compétition. J’ai également fait de la natation, du patinage artistique, du hip-hop, de la boxe, et je m’astreins à la salle de sports quasi quotidiennement désormais.”

Tout en restant une élève studieuse de 1ère, section artistique, elle se constitue un book. “J’ai déjà été retenue pour un magazine britannique et dernièrement, j’ai fait la couverture d’une publication à Taïwan. Franchement, ça fait un drôle d’effet !”, s’amuse-t-elle. Avant de poursuivre : “Je sais qu’il me faudra beaucoup travailler mais mon objectif est de réussir comme Tyra Banks et Jourdan Dunn, deux top métissés aux parcours militants.”

Ophélie Renouard s’approche. Elle met un peu d’ordre dans la chevelure bouclée de sa jeune protégée. L’organisatrice du célèbre rendez-vous mondain(considéré par Forbes Magazine comme l’une des soirées les plus prestigieuses au monde) peaufine sa 23e édition qui se déroulera, cette année, sous les ors du palais de Chaillot. Vingt-deux jeunes filles bien nées, enfants de stars, princesses, héritières mais aussi bloggeuses ou gagnantes (Olivia Hallisey, du concours Google Science Fair, par exemple), seront habillées en haute couture et valseront pour deux bonnes causes : celle d’Enfants d’Asie et de Seleni, associations soutenant des enfants défavorisés et des mères adolescentes.

“Le Bal invite des demoiselles du monde entier dont l’avenir paraît sérieux et prometteur. Je ne me suis pas privée de refuser celles qui insistaient pour venir mais qui se seraient servies de l’événement comme ‘d’un coup de pub’, telles Paris Hilton ou l’aînée des sœurs Kardashian !”, assure Ophélie Renouard. Une porte s’ouvre brusquement. “Magnifique !”, s’exclame Jean Paul Gaultier, sautant au cou de l’adolescente et de sa maman qui a défilé pour lui, il y a vingt ans. “Cette robe te va à ravir, Iman, s’enthousiasme le couturier. Je veux absolument te voir défiler pour moi en janvier prochain!” La carrière d’Iman vient peut-être de prendre son envol…

Crédits photos : JACOVIDES-MOREAU / BESTIMAGE

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A l’occasion de la sortie du “Grand Méchant Loup”, retrouvez notre reportage côté coulisses. AlloCiné s’était rendu sur le tournage l’été dernier. Ambiance garantie en compagnie de Benoit Poelvoorde, Kad Merad et Fred Testot !

Le Grand Méchant Loup

Reportage réalisé le 31 juillet 2012, au Vésinet. Journaliste : Brigitte Baronnet / Cadre et montage : Fred Heusse

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Alain Juppé a battu le pavé parisien cette semaine, aux côtés de Pierre-Yves Bournazel, tête de liste aux régionales dans la capitale. Reportage.

« Je ressens un peu d’émotion ». Alain Juppé revient sur les lieux où tout a commencé ou presque. En cette brumeuse matinée de décembre, l’ancien Premier ministre fait campagne à Paris dans le 18ème arrondissement. Il pose devant son ancien QG d’élu de l’arrondissement. C’était il y a 30 ans. L’homme a connu tant de succès et de tempêtes depuis. Il a finalement choisi de s’amarrer à Bordeaux.

Le local parisien devant lequel il échange avec les habitants du pied de la butte de Montmartre n’a plus rien à voir avec ce qu’il était. Il accueille aujourd’hui les Ateliers Francoeur. Des cours de danse ou de théâtre y sont prodigués aux enfants du quartier. Alain Juppé ne se lasse pas, lui, de la grande scène politique. A quatre jours du premier tour des élections régionales, il entre dans chaque commerce de la rue Caulaincourt, serre toutes les mains, a un petit mot pour chacun. Du monsieur qui fait la manche sur le trottoir à la fromagère qu’il reconnaît. Il revit l’époque où il était élu de cette circonscription. A chacun, il affirme son soutien à Pierre-Yves Bournazel, tête de liste à Paris pour les Républicains, l’UDI, le Modem et PCD.

Cet élu du 18ème arrondissement, valeur montante de la droite parisienne, tente au côté de Valérie Pécresse de ravir la région Ile-de-France au PS et à ses alliés. « Il sera un jour ministre », lance d’ailleurs l’un des partisans du jeune homme à Alain Juppé. «Pour qu’il soit ministre, il faut que je devienne président!», rétorque le ténor des Républicains, sourire aux lèvres. Bien dans ses bottes en campagne, l’ancien premier ministre taquine les photographes qui l’immortalisent devant l’affiche du Beaujolais nouveau de l’un des cavistes du quartier. «Vous n’êtes venus que pour cela!», lance-t-il.

L’homme est déjà en pré-campagne pour la primaire de son parti. Il profite de cette balade parisienne en compagnie de journalistes pour marquer sa différence avec Nicolas Sarkozy. «Apaisons les choses, évitons les bisbilles inutiles, plaide-t-il. Etre excessif ne fait pas partie de mon tempérament. Quand on rassemble, on fait bouger les lignes». Il reconnaît que si le Front national remportait une seule région ce serait un échec. «Cela prouverait que nous n’avons pas intérêt à hausser le ton de plus en plus». Pour l’heure, il se veut pédagogique et explique aux commerçants: «vous, qui vivez du tourisme, ne vous fiez pas à un parti qui veut fermer nos frontières.» L’homme promet de lutter sans relâche. «Je ne suis pas du genre à me décourager», assure-t-il. L’émotion s’estompe, le combat gronde.

Crédits photos : EREZ LICHTFELD/SIPA

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Bonne nouvelle pour les amateurs de nanars : non seulement “Sharknado” sera diffusé en France en octobre, sur la chaîne SyFy, mais la suite est déjà en chantier et vous pouvez proposer vos idées de titre sur Twitter.

Des requins volants qui attaquent les Etats-Unis, aidés par une tornade : il n’en fallait pas plus pour que les fans de nanars se jettent sur Sharknado, dernière production Asylum qui affole la toile depuis sa diffusion américaine. A tel point qu’une suite est d’ores et déjà en chantier. Un épisode 2 situé à New York, et auquel vous pouvez participer, en postant vos idées de titre sur la page Twitter de la chaîne SyFy, qui choisira ensuite la meilleure. Nous, on leur proposerait bien un bon “Sharknado 2 : Ça va sharkler à New York”, mais pas dit que chaque pays ait sa propre version. En attendant, vous pourrez découvrir le premier volet en France au mois d’octobre, sur la chaîne SyFy.

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Bientôt de retour dans The Voice au début du mois de janvier, puis en tournée au mois de février, Zazie soutient son neuvième album, Encore heureux, sorti le 30 octobre. A 51 ans, elle est en paix avec elle-même.

Il y a quelques semaines, peu avant la sortie de son neuvième album, Encore heureux, Zazie se souvenait de la torpeur inquiète dans laquelle elle avait sombré lorsqu’elle préparait Cyclo, en 2013. “Je me posais beaucoup de questions sur mon âge, comme tous les gens qui ont entre 40 et 50 ans.” Aujourd’hui à 51 ans, elle est redevenue la Zazie zen et apaisée que l’on connaît depuis ses débuts, et vit très bien son âge.

Décomplexée, dans Version Femina, elle raconte n’avoir pas fait de chirurgie esthétique “j’ai des rides mais ça me va. Alors oui, la jupe est moins courte mais le pantalon, c’est chouette aussi!” Dans ces propos pourtant sereins, à peine audible, on devine une pointe d’agacement, la lassitude des pressions imposées par la société: “Un homme de 55 ans qui a plein de rides, c’est hyper sexy paraît-il, alors qu’une femme, il faudrait qu’elle défie la pesanteur, qu’elle reste éternellement jeune.”

Mais fidèle à elle-même, Zazie se moque bien de ça. Elle a sa parade. “On séduit autrement, on est beaucoup plus libre. On n’est plus dans le format.” Bien que fraîchement séparée de Philipe Paradis, son compagnon, la chanteuse ne broie pas du noir, elle ne vit pas la cinquantaine comme une crise ou un traumatisme. “J’ai l’impression d’être plus proche encore de ce que je suis maintenant. On pourrait se dire que lorsqu’on vieillit, on se sent moins bien, mais moi, je suis de mieux en mieux dans ma peau.”

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Paul Thomas Anderson vient de dévoiler une nouvelle réalisation, un clip très esthétique pour la chanteuse Fiona Apple.

Paul Thomas Anderson et Fiona Apple, les retrouvailles ! PTA qui avait réalisé plusieurs vidéos pour la chanteuse il y a une dizaine d’années (“Limp”, “Fast as you can”, “Paper Bag”…) refait équipe avec la chanteuse le temps d’un clip ! Un film très soigné, alternant splitscreen et gros plan.

Pour l’anecdote, rappelons qu’Anderson et Apple formait un couple il y a quelques années et avait même pour projet de tourner une comédie musicale ensemble.

Le clip “Hot Knife”, extrait de l’album “Idler Wheel” :

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La bande-annonce de “The Master”, dernier film de Paul Thomas Anderson :

The Master

BB

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Les stars s’effeuillent en une des magazines et sur Instagram. Vraie mise à nu ou tendance marketing?

Elles sont toutes à poils! Les tops, les stars… En une des magazines, sur les réseaux sociaux. « Sans doute sommes-nous dans une sur-sexualisation de notre société où l’on aime choquer et où le nu se banalise », explique Michèle Freud, psychothérapeute, auteure de Réconcilier l’âme et le corps (éditions Albin Michel).

Choquer, le nouveau mot d’ordre ? « Pour une star, quelle qu’elle soit, se montrer nu est un moyen de faire parler de soi, de faire carrière en quelque sorte, le corps dénudé semble dans ce contexte le vecteur de communication idéal, une vraie stratégie marketing ». Dont acte avec Miranda Kerr dont la photo en couverture du Harper’s Bazaar a déjà repoussé les frontières bien au-delà de l’Australie où elle est publiée. Mais si cet effeuillage intégral embrase la toile, nous n’avons finalement rien inventé depuis le magazine américain Playboy, lancé en 1953 par Hugh Hefner, ou encore le mensuel Lui de Daniel Filipacchi et Franck Ténot, en kiosque dès 1963, qui fait en cette fin d’année la part belle au nu dans un calendrier 2016 d’anthologie avec « Les douze plus belles filles du monde » dont Lara Stone, Isabeli Fontana, Jourdan Dunn…

Drôle de renversement de situation. C’est cette même presse qui faisait autrefois son beurre de ces corps offerts aux regards qui entame un rétropédalage. Fini depuis 2012 les seins nus de la « Bild Girl » en couverture du quotidien allemand. Bye bye les unes dévêtues de Play Boy dès mars prochain… Seul à résister, le quotidien britannique The Sun qui, après avoir retiré durant quelques semaines la photo tous seins dehors d’illustres inconnues de sa page 3, a renoncé au projet face au tollé déclenché.

Et s’il s’agissait d’une détox vestimentaire ? D’une envie de se livrer dans sa plus simple expression, dans le plus simple appareil. Sans faux-semblants. Doux rêve. « Un corps nu est émouvant. Il y a une sorte de franchise dans la nudité. Quand je suis nue dans La belle noiseuse ou en couverture de Elle, il n’y a rien de provocant. Je ne me suis jamais déshabillée avec n’importe qui. Avec Jacques Rivette et Sylvie Lancrenon, je l’ai fait en toute confiance, sans jamais penser aux conséquences. Une forme d’abandon des habits, à ce moment-là, comme s’ils n’étaient plus nécessaires », confiait Emmanuelle Béart, à Marie-Claire, en 2014. Se mettre à nu n’est jamais un acte anodin. « Cela met en jeu notre image de nous-mêmes et notre manière de vivre le regard de l’autre. Certains disent dépasser leurs complexes en se montrant nus… grâce au regard des autres », explique Michèle Freud.

Mais ne nous y trompons pas, trop de nu tue le nu. Jamais une star n’est plus éloignée de nous que lorsqu’elle s’offre sans artifice. « A vouloir se déshabiller, les stars ont trouvé la meilleure façon de cacher leur moi profond. Comme si elles étaient totalement dissociées de leur moi intime, comme s’il s’agissait d’une identité d’emprunt », poursuit la spécialiste. Lors de la diffusion du téléfilm A dix minutes des naturistes, en 2012, la comédienne Macha Méril qui s’était dénudée à 72 ans confiait à Téléstar : « Je suis très à l’aise avec mon corps (…). C’était un pari culotté (Rires.) Je l’ai pris comme un devoir de comédienne. On prête son corps et son visage, autant le faire totalement ».

Une mise à nu bien encadrée où les stars gardent leur part de mystère. Mais n’est-ce pas leur essence première ? Rester inaccessibles pour mieux nous aider à garder la tête dans les étoiles…

Par Virginie Picat avec Emilie Cuisset et Charlotte Mesnel

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Les Etats-Unis ont beau dominer le marché de la série télévisée, en France, l’actrice de série qui fait craquer les téléspectateurs est bien française. Selon un sondage Opinion Way pour TV magazine, Alexandra Lamy est considérée comme l’actrice la plus sexy du petit écran, grâce à son rôle dans la série Une chance de trop, diffusée sur TF1.

Applaudie pour son retour réussi à la télévision dans Une chance de trop, Alexandra Lamy n’a rien perdu de son talent et de sa fraîcheur qui ont fait d’elle une des actrices préférées de Français. Selon un sondage pour TV magazine, l’ex de Jean Dujardin n’est pas seulement admirée pour ses talents d’actrice : elle l’est aussi pour sa beauté. Les téléspectateurs interrogés l’ont en effet placée sur la première marche du podium des actrices de séries les plus sexy du moment. Notre jolie Française arrive juste devant l’actrice de Castle sur France 2, Stana Katic, et Audrey Fleurot, qui joue dans la série Un village français, diffusée sur France 3. Alexandra Lamy s’est réjouie de ce classement dans les pages de TV magazine: “ Cela veut dire qu’une femme de 44 ans peut encore être considérée comme sexy dans une société dominée par des critères de beauté souvent propres à la jeunesse.”

Côté masculin, les Français ne séduisent pas autant : L’Australien Simon Baker, acteur de 46 ans de la série Mentalist, diffusée sur Tf1, remporte 30% des voix et obtient la première place de l’actrice de série le plus sexy. Derrière lui, l’Américain Patrick Dempsey de la série Grey’s Anatomy se place en deuxième position, suivi finalement du Français Jean-Hugues Anglade pour son rôle dans Le Passager. Cette année, femmes comme hommes, ce sont en tout cas les quarantenaires qui ont la cote !

Crédits photos : Laurent Viteur

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Simone Veil arrive troisième du classement Ifop du JDD. Voici pourquoi.

Eternelle Simone Veil. L’ancienne ministre de la Santé est dans le top 3 des personnalités préférées de l’année selon le traditionnel sondage réalisé pour le JDD par l’Ifop. En tête chez les hommes et les femmes politiques, elle domine le classement de toute sa superbe. Et arrive même en tête chez les sympathisants de gauche. Voici pourquoi :

– Malgré les drames les plus dévastateurs de son existence, la déportation et la perte d’êtres chers, elle a toujours su avancer, sans changer de cap.

– L’ex-ministre de Jacques Chirac et Edouard Balladur a aussi su s’emparer de sujets de société sensibles comme l’Interruption Volontaire de Grossesse, le divorce ou la question des prisons.

– Elle a mené sans relâche le combat contre le Front national dès l’émergence de ce dernier.

– Elle a toujours été une européenne convaincue et fut la première femme présidente du Parlement européen élue au suffrage universel.

– Membre de l’Académie française, elle a fait graver sur son épée la devise française Liberté égalité fraternité. Ainsi que celle de l’Union européenne : “ unis dans la diversité”.

Des valeurs que plébiscitent les Français à quelques jours des commémorations des attentats de Charlie Hebdo.

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