Rétro – Maureen O’Hara, la rouquine d’Hollywood

Impossible de passer à côté de sa chevelure incendiaire. Maureen O’Hara, était à l’image de son patronyme, une Irlandaise au tempérament bien trempé. Une figure phare des fifties qui a su faire rimer féminité et féminisme.

Elle prend la pose fièrement, attitude académique de rigueur, bras pliés sur les hanches, visage de ¾ et sourire figé made in Hollywood. Maureen O’Hara, l’Irlandaise plébiscitée par les Etats-Unis, s’impose en figure iconique des années 1950. Et pour cause. L’actrice révélée en 1939 dans La Taverne de La Jamaïque d’Alfred Hitchcock (s’il-vous-plait!) saura se distinguer dans le vivier de célébrités de l’époque avec sa chevelure de feu. Une rousseur cuivrée parmi les boucles blondes des muses en vogue, à l’instar d’une Marilyn.

Click Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

Mais ne vous fiez pas à son visage d’ange. Derrière ses pommettes hautes et affûtées, ces atours féminins comme ses pendants d’oreilles XXL, se cache une actrice intrépide qui bouleverse très vite les codes du 7e art. Maureen est une sportive, et si elle brille dans le rôle de la jolie poupée lovée dans sa robe typique des fifties, elle manie comme ses homologues masculins le fleuret, réalise ses propres cascades, devient l’actrice fétiche de John Ford qui l’érige héroïne de western.

Surnommée la reine du Technicolor, celle qui a vécu la transition du noir et blanc à la couleur, explosera littéralement sur grand et petit écran. Sa chevelure carminée lui vaudra nombre de témoignages ennamourés, comme celui d’un photographe qui confiera à son attention que «photographiée en technicolor, Maureen O’Hara est plus éblouissante qu’un coucher de soleil».

Une égérie dont la rousseur irlandaise achèvera de fédérer autour d’elle: «l’idée d’une actrice Irlandaise présente à Hollywood était tellement glamour dans l’esprit des gens, confiait Sé Merry Doyle, un réalisateur irlandais qui l’a rencontrée à plusieurs reprises. C’était très important pour nous de savoir qu’il s’agissait de l’une des nôtres qui faisait son chemin aux Etats-Unis. Elle s’est toujours souciée de l’Irlande, venait souvent.» Une actrice culte qui a 95 ans, laisse la planète cinéma orpheline de son iconique rouquine.

Huty1585272

Crédits photos : Silver Screen Collection

Nicolas Bedos balance: les stars qui ont peur d'”On n’est pas couché”

Qui a peur du grand méchant Laurent Ruquier ? Dans le magazine Society, Nicolas Bedos raconte que certains acteurs, notamment, sont effrayés à l’idée de se retrouver dans l’émission On n’est pas couché. Rien d’anormal selon l’humoriste : il faut être très courageux pour affronter le talk-show de France 2 et ses snipers.

« J’ai des amis comme Dujardin, Canet et Mélanie Laurent qui ne veulent pas y aller. » Dans Society, Nicolas Bedos raconte que certaines stars du cinéma refusent de participer à l’émission On n’est pas couché. Et l’ancien chroniqueur de Laurent Ruquier n’est pas surpris : à ses yeux, le talk-show peut faire peur, à cause notamment de ses snipers qui viennent s’attaquer aux invités.

« Je les comprends, explique le compagnon de Doria Tillier. Ils n’ont pas envie de risquer leur peau ou la peau d’un film qui a coûté une fortune. Cette émission fait peur aux artistes, c’est l’une de ses limites. Ceux qui y vont sont soit très nécessiteux, soit très courageux ou très armés face à la répartie. Ça coupe l’herbe sous le pied de pas mal de monde. »

Pourtant, l’émission reste un incontournable de la télévision française : la venue d’un acteur ou d’un chanteur fait parfois progresser pour quelques jours les ventes de tickets de cinéma ou de disques à hauteur de 60%. Ce qui n’est pas forcément suffisant, selon Laurent Ruquier lui-même : « Gad Elmaleh, je le connais dans la vie, je l’aime bien, mais il me dit souvent : ‘J’ai la trouille de venir’. »

Toutefois, les chroniqueurs d’On n’est pas couché feraient bien de se méfier. Leurs invités sont en effet désormais mieux préparés, et remportent parfois les joutes verbales qu’ils leurs opposent – début octobre, Marina Kaye avait par exemple mis Yann Moix KO.

Crédits photos : Jean-Marc HAEDRICH / VISUAL Press Agency

Click Here: Real bape hoodie

Monica Bellucci brûlante sur Lui

Encore quelques jours et tous les fans pourront profiter du dernier volet de la saga James Bond avec la sortie française de Spectre. Monica Bellucci, 51 ans, et en pleine promotion, a répondu aux questions du magazine masculin Lui, après avoir pris la pose.

Alors que le sexisme hollywoodien ne cesse d’être dénoncé, tout autant que la discrimination de l’âge, Monica Bellucci fait un pied-de-nez à ceux pour qui il faudrait arrêter d’être sexy passés 30 ans. L’ex de Vincent Cassel en a 51, et ce mois-ci, elle pose en une de Lui, on ne peut plus légèrement vêtue. Sublime.

En couverture de ce numéro spécial 007, coiffée façon sauvageonne sexy en diable par le talentueux John Nollet, elle porte une combinaison de dentelle fine signée Maison Margiela. Un cliché qui ne laisse que peu de place à l’imagination. Les autres photos shootées par Rankin qui les a lui-même partagées sur son compte Twitter, la mettent en scène tantôt dans une combinaison en résille de chez Cadolle, tantôt complètement nue, nimbée d’un voile irisé.

Monica Bellucci confirme par ces photos ce dont on se doutait et qu’elle revendique dans les quelques lignes d’interview: elle assume pleinement son âge. Dans Spectre, elle incarne Lucia Sciarra, une veuve à peine plus vieille qu’elle qui tombe sous le charme de l’agent secret. “Un jeu” pour la maman de Deva, 11 ans, et Léonie, 5 ans, qui se dit “fière d’avoir 51 ans”. Et c’est sans culpabilité qu’elle prendra une pause bien méritée une fois le remue-ménage de la promotion terminé.

Avant ça, rendez-vous le 11 novembre pour la découvrir en James Bond Girl, la plus âgée de l’histoire, auprès de Daniel Craig et Léa Seydoux.

Mylène Farmer: Gala a écouté son album en avant-première

Mis en ligne sur i-Tunes ce jeudi 5 novembre dès minuit, dans les bacs des disquaires le lendemain, il signe son renouveau artistique. Elle a choisi de l’intituler Interstellaires. Découvrez toutes les bonnes surprises que réserve le dixième album de l’icône Farmer.

Sa bonne étoile s’est mise à briller un peu plus fort, comme un signal lui rappelant qu’elle n’avait pas encore tout dit, qu’il était temps de dessiner un nouveau ciel au-dessus de sa tête, à l’automne dernier.

Elle venait alors de terminer le shooting du livre Fragile, première extraction de l’imagerie romantique et gothique qui a fait sa légende. Devant l’objectif de Sylvie Lancrenon, Mylène Farmer s’était mise quasiment à nu, tout juste habillée d’un voile de mousseline, de talc ou d’argile. Mue et renaissance d’une artiste dans sa façon de se présenter à l’autre.

Restait à trouver le son qui correspondrait à cette envie d’épure, de recommencement, sans reniement de celle qu’elle fut. Etre différent et fidèle à soi-même, pour un artiste, c’est… tout un art !

Ecrit et enregistré sous le ciel de Californie, l’album Anamorphosée, plus rock, voire plus sensitif, plus organique, fut une première surprise, il y a vingt ans. Nouvelle pulsation de vie, au-delà des ecchymoses, avec Bleu Noir, disque aux sonorités électro travaillées par Moby, RedOne et Archive, en 2010.

Projetée dans ses rêveries depuis la fin de sa tournée Timeless, il y a deux ans, Mylène a fait une rencontre du troisième type : Martin Kirszenbaum.

Fils de scientifiques argentins, ce natif de La Jolla, en Californie, ne connaît qu’une limite : le ciel ! Dénicheur de talents (les lolitas russes de t.A.T.u, la Canadienne Feist, Lady Gaga…) pour Interscope, label d’Universal, il a fondé sa propre division, CherryTree Records, spécialisée dans l’édition, le développement et le management d’artistes (Tokio Hotel, Robyn, Ellie Goulding, LMFAO…), sans délaisser la composition musicale.

Mis au piano par sa mère dès ses huit ans, membre de divers groupes durant son adolescence, ce multi-instrumentiste comprend à ce point les envies de ses talents qu’il ne put refuser à Sting, proche depuis bientôt vingt ans, l’enregistrement de Songs from the labyrinth, collection de pièces pour luth, en 2006! Contre toute attente, sinon celle de Sting et de Kierszenbaum, l’album s’est vendu à plus de 270 000 exemplaires rien qu’aux Etats-Unis, le plus difficile des marchés.

« Cela ne m’intéresse pas d’exploiter ce qui est à la mode, je suis bien plus intéressé à l’idée de définir ce qui va plaire », aime à répéter ce mari et père de deux grands enfants, si enjoué qu’on en devine à peine les quarante-huit ans.

Compositeur de neuf titres inédits sur les onze inclus dans Interstellaires, ce nouvel album de Mylène que CherryTree Records va distribuer à l’international, Martin Kierszenbaum a très probablement réussi son pari avec l’icône Farmer.

Gala vous en offre un avant-goût…

1. Interstellaires : Choisi au dernier moment comme titre de l’album, ce premier morceau en définit l’ambiance. Retour d’une batterie et de guitares plus rock. Niveau texte, Mylène chante le voyage. Vers un ailleurs, une autre vie, l’éternité ? Le refrain laisse libre cours aux imaginaires : « Si c’était moi/ Pour nos rêves/ Mettre les voiles/ Le jour se lève/ On se prépare/ Au voyage/ Pour des ères interstellaires (…) ». La voix a gagné dans les graves. Les chœurs qui l’accompagnent vers la fin évoquent une incantation tribale. On pense à Vertige, chanson d’ouverture de l’album Anamorphosée. Et on imagine déjà une entrée de scène sur ce titre.

2. Stolen car : Premier single exploité, ce deuxième morceau, interprété avec Sting, est le seul duo de tout le disque. Déjà chantée par l’ex-leader de The Police en 2003, cette reprise, remixée et produite par le dj star The Avener, est aussi le seul titre d’Interstellaires aux distorsions électro. Choisi par Mylène pour ses qualités cinématographiques et sa construction invitant à un dialogue franco-anglais, cette ballade mid-tempo entre regrets et rêves, réalité et fantasme, pose la problématique très « farmerienne » du désir qui fait désordre.

3. A rebours : Si, avec ce troisième morceau, Mylène chante la tentation du retour en arrière, d’un erase and rewind, quand tout pèse, tout nous accable, le début parlé, à la limite du slam, n’est pas sans rappeler son tout premier talk-over sur Maman a tort, il y a trente ans. Musicalement, on est dans l’épure : piano, guitare et batterie sur la fin portent des paroles aussi simples que percutantes, finalement positives, librement inspirées d’un certain André Malraux. « La vie ne vaut rien mais / Mais… Rien ne vaut la vie / C’est epsilon plus que petit / C’est epsilon pourtant l’envie (…) ». Inspirant.

4. C’est pas moi : Ce quatrième morceau est peut-être l’une des meilleures surprises de l’album. Sur un texte abordant le refus du conformisme, de la tièdeur et de l’ennui (« Marcher sa vie entière à…/ Côté de soi/ Tant d’âmes se méprennent/ Un oui/ Un non/ Une ligne droite (…) »), Mylène s’essaie à… des sonorités funk ! La ligne de basse, relativement démente, en fera danser plus d’un, comme le fit – allez, osons la comparaison – le Thriller de Michael Jackson.

5. Insondables : Deuxième teaser de l’album dévoilé sur le net après Stolen car, ce cinquième morceau, qui débute avec un gimmick de métronome, voire de tic-tac, évoque la séparation, la perte de l’autre, l’absence d’un être aimé qui envahit parfois le quotidien et nourrit les regrets… Avec ce titre, Mylène prouve sa capacité à chanter sur le souffle, prouesse vocale qu’elle maîtrise désormais – grâce à sa coach Karen Acampora Nimereala – comme nulle autre. Impression d’entendre la plainte d’un fantôme, tout aussi incapable d’entrer en connexion avec l’être qui lui a survécu. Nous reviennent les images du film Ghost, avec Demi Moore et Patrick Swayze.

6. Love song : Ponctué par un bruit de sonar, souligné lui aussi par des accords de guitare et la frappe d’une batterie, ce sixième morceau planant imposera à n’en pas douter l’allumage de briquets lors des prochains concerts de l’icône Farmer. A travers cette ballade envoûtante, Mylène la femme laisse surtout transparaître son empathie pour les cabossés de la vie et de l’amour. « Love song / Love song/ Love song des laissés pour compte/ Love song/ Une Love song/ Quand je vois l’ombre/ Nous séparer du monde (…) », scande-t-elle. Comme un baume réparateur.

7. Pas d’access : Recours au synthé, en complément d’une basse, sur ce septième morceau, mais dans un style plus proche des Daft Punk que des dernières compositions de Laurent Boutonnat. A nouveau, Mylène démontre toute l’étendue de ses capacités vocales, en oscillant entre registre bas et registre plus haut. Si le texte est l’un des plus sibyllins de l’album, réduisant le monde à une cage pour les free-spirits (« Il n’y a pas d’access/ Il n’y a pas d’access/ Pour être libre (…) »), il permet aussi à Mylène d’exploiter une nouvelle imagerie (« Rapace / Je m’évade/ Trouver son nid/ Cathédrale/ Au Kamtchatka/ Ou Sibérie (…) »). On aime, en outro, ce cri de faucon, aussi perché – dans tous les sens du terme – que déchirant. Nouvel animal totem ?

8. I want you to want me : Deuxième reprise de l’album, après Stolen car. Originellement chantée par le groupe de hard rock américain Cheap Trick en 1978, ce huitième morceau reprend en fait les arrangements choisis par un autre Américain, Gary Jules, proche de Mylène, lorsqu’il s’appropria lui-même ce titre en 2011. Moins rageuse, plus tendre, comme une confidence sur l’oreiller, cette version s’écoute comme une supplique amoureuse d’un genre nouveau pour la chanteuse. On l’y découvre en effet prête aux concessions les plus ordinaires, mais sans doute les plus fondamentales, de la vie de couple (« I’ll shine up my old brown shoes / I’ll put on a brand new shirt / I’ll get early from work / If you say you love me (…) »). Il n’y a pas d’amour, il n’y a que des preuves d’amour, en résumé et en version française.

9. Voie lactée : Jolie ballade, qui résume peut-être le mieux le nouvel état d’esprit de Mylène, sa volonté de vivre en suspension et en mouvement, entre spleen et idéal, de petites morts en renaissances, « Comme les flocons d’air / De neige en hiver / Qui fondent au printemps (…) ». « Pas le droit de m’en faire / Pas plus le droit de fuir (…) », « Pas le droit de me taire / Pas plus le droit d’en finir (…) » : sur ce neuvième morceau, l’ange roux entreprend son examen de conscience. Quand bien même son reflet est une toile inachevée, cet infini, cette « voie lactée » dont on n’aura jamais fini de mesurer les contours. Au début des années quatre-vingt-dix, l’artiste se disait d’une « génération désenchantée ». Avec ce titre, elle semble finalement refuser le renoncement, comme attirée par un ailleurs, la possibilité d’une autre fois. Lumineux dans son genre.

10. City of love : Notre coup de cœur, dès la première écoute. Piano, batterie, basse, chœurs, refrain imparable… Le meilleur de Mylène Farmer se concentre dans ce dixième morceau qui n’est pas sans nous rappeler l’étrange mais convaincante association des groupes U2 et Boyzone sur le titre Sweetest Thing datant de 1998. « Les mots au bout des lèvres / Un chemin vers la vie / Si je m’abandonne / Je batirai / The City of love (…) » : par ces quelques mots, la fragile et rétive Mylène révèle la force créative et protectrice que lui insuffle le sentiment amoureux. L’insoumise devient maître-d’œuvre et gardienne. Il ne s’agit plus de redouter ce qui pourrait corrompre l’amour, mais d’ériger plus haut les remparts qui sauront le préserver.

11. Un jour ou l’autre : Deuxième coup de cœur que ce onzième et dernier morceau. Débutée au piano, puis accompagnée d’un roulement de tambour, cette ballade évoque une bande-originale de film. Ce sont les images de La fille de Ryan, le romantisme de David Lean, ces vastes et sauvages paysages irlandais chahutés par les vents qui défilent à l’esprit, à mesure que la voix de Mylène monte de plus en plus haut. « Retrouver / Un jour ou l’autre/ Une étoile / S’endormir l’un contre l’autre (…) », et rester ainsi unis, malgré « Des questions sans réponses / Des hommes qui renoncent / Des océans qui se mettent à genoux (…) ». Difficile de clore plus joliment l’odyssée Interstellaires.

Crédits photos : Ralph Wenig

Click Here: NRL Telstra Premiership

Noomi Rapace est la prochaine Amy Winehouse

Noomi Rapace a été choisie pour incarner Amy Winehouse, dans un biopic consacrée à la chanteuse anglaise. Un nouveau défi pour l’actrice, qui est de tous les rôles.

C’est un drôle d’oiseau qui a été choisi pour interpréter une artiste tout aussi étrange. On vient de l’apprendre, c’est l’actrice suédoise Noomi Rapace qui a été désignée pour incarner Amy Winehouse dans un nouveau biopic.

Son nom est familier, mais difficile de mettre un visage sur cette actrice. Et c’est normal. Car la jeune femme de 35 ans est capable d’incarner tous les rôles et l’a déjà prouvé. Découverte dans l’adaptation (suédoise) de Millénium, réalisée par Niels Arden Oplev où elle enfile les boots et le blouson en cuir de Lisbeth Salander, la belle a depuis bourlingué de rôles en rôles. Belle et mystérieuse dans le rôle de Sim, une gitane révolutionnaire aux côtés de Jude Law et de Robert Downey Jr dans le deuxième volet de Sherlock Holmes.Brillante scientifique dans Prometheus de Ridley Scott. Ou encore dans la peau d’Isabelle, dans Passion de Brian de Palma, où elle joue à un jeu de séduction brin pervers avec Rachel McAdams.

Noomi Rapace devrait réussir sans problème à gommer son accent suédois pour prendre celui de la Britannique. Amy Winehouse, décédée il y a maintenant quatre ans, avait déjà fait l’objet d’un biopic, nourri de nombreuses images d’archives et sorti cet été. Le film, sobrement intitulé Amy et réalisé par Asif Kapadia, avait fait l’objet de violentes critiques de la part de Mitch, le père de la chanteuse au célèbre chignon. Et si aucune date n’a encore été fixée pour la sortie de ce long-métrage, c’est parce que la réalisatrice de ce second essai, Kristen Seridan (Dollhouse, August Rush), est en plein pour parler avec Mitch Winehouse, quant aux droits des chansons et de l’image de sa fille.

Crédits photos : Mike Marsland

Click Here: NRL Telstra Premiership

De nouveaux démêlés judiciaires pour Samy Naceri

Samy Naceri a été placé en garde à vue pour “dégradation et violence en état d’ivresse” après une rixe survenue ce dimanche soir à Paris.

Avec son retour au cinéma via Tip Top, film de Serge Bozon présenté au dernier Festival de Cannes, on pensait Samy Naceri assagi. Et pourtant… L’acteur a été placé en garde à vue dimanche soir après une rixe survenue près d’un bar à chicha, rue de Ponthieu dans le 8ème arrondissement de Paris. Rixe au cours de laquelle il a été blessé. Quelques dents cassées peuvent témoigner de l’échange de coups. Le chef d’accusation serait “dégradation et violence en état d’ivresse”. Lors de l’altercation, Samy Naceri aurait en effet fracassé une vitre de voiture. Sur les ondes de RTL, ce dernier a nié être ivre et a expliqué qu’il s’était énervé en voyant des individus vendre “de la cocaïne comme des Pakistanais vendent des fleurs à tout le monde”. La dernière fois que le comédien a fait parler de lui dans la rubrique faits divers remonte à sa condamnation à 10 000 euros d’amende pour exhibitionnisme et outrage à agent pendant l’édition 2011 du Festival de Cannes.

G.M.

 

Samy Naceri : “Ce n’est pas mon trip de frapper les femmes”

Click Here: Maori All Blacks Store

Attentats: Diams dénonce des « actes barbares »

Diams, alias Mélanie, très investie dans sa foi musulmane ces dernières années, témoigne aujourd’hui en solidarité aux familles des victimes.

Depuis quelques années, Diams est plus connue sous le nom de Mélanie. La chanteuse, engagée pour le port du voile, a toujours rappelé que sa foi musulmane, et sa culture française, n’étaient pas incompatibles.

Click Here: All Blacks Rugby Jersey

Au lendemain des terribles attentats de Paris et Saint-Denis, elle publie sur les réseaux sociaux sa condamnation ferme des ces « actes criminels et barbares ».

Par ce court message, elle invite les français à ne pas faire d’amalgames, comme elle l’avait déjà indiqué lors des précédents attentats de Janvier dernier.

“Veronica Mars” est en tournage : la première photo !

Le tournage de “Veronica Mars”, le film, a débuté ce mois-ci. La preuve avec cette première photo officielle de Kristen Bell sur le plateau de tournage.

Lancé, côté financier et marketing, via le site de crowdfunding Kickstarter (qui a permis de récolter pas moins de… 5,7 millions de dollars auprès des fans, Warner n’ayant en somme accepté de mettre le film en chantier qu’à la condition que ces derniers mettent la main à la poche), Veronica Mars devrait sortir en début d’année prochaine, sans plus de précision, avant d’être rapidement mis à disposition en VOD. Il verra son héroïne jouer de nouveau les détectives, quelques années après la fin de ses études… Première photo du tournage parue dans Entertainment Weekly :

 

 

Veronica Mars, la série, c’était ça :

 

Veronica Mars

Click Here: All Blacks Rugby Jersey

Adele: à chaque jour sa nouvelle chanson

A quelques jours de la sortie très attendue du nouvel opus d’Adele, 25, focus sur la stratégie de communication de la chanteuse britannique.

Vendredi 20 Novembre, la planète toute entière découvrira le nouvel album d’Adele, sobrement appelé 25. C’est bel et bien l’évènement musical de cette fin 2015. Trois longues années après le monumental 21, meilleur album de tous les temps selon Billboard, qui s’était vendu à plus de 30 millions d’exemplaires dans le monde, la Londonienne distille chaque jour un nouvel extrait de son nouvel opus.

Il y a d’abord la chanson Hello, véritable carton planétaire: single le plus téléchargé légalement en l’espace d’une semaine avec 1,1 millions de ventes digitales, tandis que son clip, réalisé par Xavier Dolan, dépasse déjà les 400 millions de vues sur Youtube.

Ce mardi, la chanteuse mettait en ligne un second extrait, une ballade empreinte de nostalgie intitulée When we were young. Enregistrée dans une église transformée en studio d’enregistrement pour les besoins d’une spéciale de l’émission australienne 60 minutes entièrement dédiée à Adele, on retrouve la voix aussi puissante que fragile de la chanteuse au coeur brisé. Le clip a déjà été vu plus de 6 millions de fois en une journée.

Nouvel extrait dévoilé aujourd’hui

Adele poursuit sa stratégie de communication. Mercredi, elle sort un extrait d’un troisième titre, Water under the bridge. En une trentaine de secondes, on retrouve la jeune femme en live, une fois de plus dans le cadre d’une émission spéciale lui étant consacrée. 30 secondes glanées au Radio City Music Hall de New York, ce n’est pas assez pour se faire une idée sur la qualité de la chanson, mais suffisant pour rendre impatients ses fans du monde entier.

Le producteur d’Adele, l’américain Ryan Seacrest, s’amuse également de l’attente des fans. Sur Instagram, il a publié ce lundi la liste des chansons de l’album 25. On y découvre 11 titres, avec une légende sans équivoque.

« Faites en sorte de supprimer le numéro de votre ex avant d’écouter l’album d’Adele, car il va vous rendre nostalgique ».

Décidément, tout est fait pour que cet album figure en bonne place dans les listes de cadeaux de noël!

Click Here: Aston Villa Shop

UP Farmer’s Son Denied Ambulance By Hospital, Family Carries Body On Motorbike

Medical negligence has become one of the most notable problems in the country. From forgetting surgical tools inside a patient to denying them basic medical services, this is an issue that needs to be addressed.

Another incident of apathy towards the poor has come to the fore, where relatives of a boy, identified as Soorajpal, were forced to carry his body on a motorcycle after the government hospital of Sambhal denied anambulance, reported ANI.

Click Here: Aston Villa Shop