Exclu – Hapsatou Sy et Vincent Cerutti bientôt parents

Ils ont 35 ans tous les deux et leur bébé naîtra en septembre. Neuf mois après leur rencontre, l’animateur de TF1 et la chroniqueuse de D8 ont souhaité devenir parents. Un coup de foudre assumé.

C’est un couple détonnant, singulier que nous rencontrons. Un duo de fortes personnalités. Hapsatou Sy, la chroniqueuse du Grand 8, l’émission de Laurence Ferrari, est enceinte de quatre mois de l’animateur de TF1 Vincent Cerutti, actuellement aux commandes de la matinale de Chérie FM. Leur relation avait été révélée sans leur accord par la presse people, ce qu’ils ont mal vécu, tant eux que leur proches. Ces amoureux à haut potentiel audiovisuel et émotionnel ont décidé de s’exprimer eux-mêmes sur leur histoire pour reprendre en main ce qui leur avait été volé et faire taire ceux qui sont choqués par leur couple. Ils racontent leur amour fulgurant et cette envie d’enfant qui les lie désormais… avant le mariage.

(…)

Gala: À quel moment avez-vous parlé enfant?

Hapsatou: Je ne pensais pas tomber enceinte, mais avec Vincent, on voulait un bébé. Au sein de ma famille sénégalo-mauritanienne, ne pas être mère et mariée à trente-cinq ans équivaut à être une irrécupérable vieille fille. (Rires.)

Vincent: J’ai très vite vu en Hapsatou, son énergie, son organisation, sa tendresse et sa peau d’une douceur incroyable (Il rit.) une femme qui serait la maman idéale. J’ai envie de rentrer le soir, de prendre ma femme et mon bébé dans mes bras. En ce moment, j’ai grossi, je fais même une petite couvade.

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Gala: Du coup, comptez-vous franchir le seuil de la mairie?
Hapsatou: Bien sûr, c’est un rêve de petite fille…
Vincent : Oui, nous nous marierons.

>Découvrez l’intégralité de cette interview exclusive dans les pages de votre Gala, en kiosque le mercredi 27 avril.

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Fauve Hautot, star du disco dans « Saturday Night Fever »

La fièvre du samedi soir revient ! Une comédie musicale tirée de Saturday Night Fever est prévue en février 2017, pour les 40 ans du film. Avec, dans l’un des deux rôles principaux, la danseuse et jurée de Danse avec les stars Fauve Hautot.

Elle nous confiait en octobre dernier prendre « des cours de théâtre pour être prête » le jour où on lui proposerait des projets. Fauve Hautot a bien fait : elle a en effet été sélectionnée pour incarner le premier rôle dans une comédie musicale tirée du film Saturday Night Fever.

« Il n’y a pas beaucoup de danseuses populaires comme elle. Avec ce spectacle, on veut fédérer comme Danse avec les stars », a confié Roberto Ciurleo, l’un des producteurs du show, au Parisien. Et le thème de cette comédie musicale n’a pas été choisi au hasard : « En France, une chanson du film signée des Bee Gees passe toutes les 2h40 chaque jour à la radio, que ce soit How Deep Is Your Love, Stayin’ Alive, Night Fever. Toute la jeune génération s’y retrouve ! » De quoi attirer les fans de Danse avec les stars, émission qui n’a cessé de rajeunir son public grâce à la participation de personnalités comme Priscilla Betti ou même EnjoyPhoenix l’année dernière.

Fauve Hautot, de son côté, s’est montrée très enthousiaste à l’idée d’incarner sur scène Stephanie Mangano – rôle originellement tenu par Karen Lynn Gorney. « J’ai dit oui en 5 minutes, raconte la danseuse. C’est ma toute première comédie musicale, mon premier gros show ! » Reste une inconnue concernant cette version comédie musicale de Saturday Night Fever, qui sera jouée dès le 9 février 2017 au Palais des Sports à Paris : Tony Manero, le personnage rendu célèbre par John Travolta, n’a pas encore trouvé son interprète.

Crédits photos : STEPH / VISUAL Press Agency

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Les tragédies de la vie d’Hubert Mounier

Hubert Mounier, chanteur de l’Affaire Louis Trio, est décédé lundi 2 mai. L’interprète de Chic Planète, dont Benjamin Biolay était fan, n’avait que 53 ans. Sa vie fut émaillée de drames – de l’assassinat brutal de son père à Lyon, à la dépression et l’alcoolisme.

Il n’avait « pas grand-chose d’autre à quoi s’accrocher ». Hubert Mounier vivait par et pour son art. Le chanteur de l’Affaire Louis Trio, décédé lundi 2 mai, voyait en la musique et la bande dessinée des bouées de sauvetage lui permettant d’échapper au pire. Une rupture aortique foudroyante aura eu raison de lui, à seulement 53 ans – après une vie émaillée de drames.

Ses tragédies, Hubert Mounier avait pris l’habitude de les exorciser une guitare à la main, ou un crayon entre les doigts. En 1990, sur le morceau Balle perdue tiré de l’album Sans légende, il évoquait ainsi le meurtre violent et inexpliqué de son père, 14 ans plus tôt, dans un bar de Lyon. Sa dépression, ses tendances à l’autodestruction et ses problèmes d’alcool, il les évacuait surtout dans ses BD – une deuxième carrière qui l’avait fait renaître, comme auteur et dessinateur, chez Dupuis.

Sur scène, quand il faisait encore partie de l’Affaire Louis Trio et que le succès était au rendez-vous, Hubert Mounier jouait au maximum les représentants d’un « rock rigolo tendance cha cha ». Mais au fond, le cœur n’y était pas. « C’est une période qui m’a tourneboulé, expliquait-il à l’AFP il y a quelques années. Je me suis efforcé d’être quelqu’un d’avenant alors que je suis quelqu’un de timide. J’étais camouflé derrière un décor, dans des costumes. J’étais à peine humain ». Hubert Mounier avait depuis retrouvé goût à la vie ; à sa mort, il travaillait sur une BD pour Dupuis. Une histoire éloignée de la sienne et de ses tragédies personnelles, ayant comme personnage principal Tarzan – son héros de toujours. L’album devait paraître cette année.

Crédits photos : CORTO/SIPA

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Muriel Robin et Jacques Chirac sont dans un bateau…

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Invitée dans l’émission de Laurent Ruquier pour promouvoir Les malheurs de Sophie en salles depuis le 20 avril, Muriel Robin est revenue sur une anecdote embarrassante avec Jacques Chirac.

Dans la vie il y a des moments de solitude, souvent drôles a posteriori, particulièrement gênants sur l’instant. C’est l’un d’eux qu’a raconté Muriel Robin samedi soir dans On n’est pas couché. Pressée par son complice de toujoursPierre Palmade, elle est revenue sur sa blague ratée auprès de l’ancien président Jacques Chirac.

Invitée par son amie Line Renaud à fêter l’anniversaire du président sur un bateau, elle vient à peine d’arriver que l’un des convives, Patrick Sébastien, la présente à Jacques Chirac et la somme de raconter une devinette salace qu’il lui connaissait. A peine le temps de dire bonjour que Muriel Robin est mise dans une situation inconfortable. Elle tente bien de botter en touche mais l’animateur insiste.

Consciente de l’inconvenance de la blague, elle cède à la pression et à contre-coeur bafouille sa blague à demi-mots: “Quelle est la différence entre une pastille de menthe et un trou-du-hmhmhm?” A peine amusé et ne voyant pas de solution à cette cocasse énigme, Jacques Chirac demande la réponse. “Le goût.” lâche Muriel Robin pas très sûre de son effet. Ce à quoi le président impassible et dur de la feuille a réagi de la pire manière qui soit pour l’humoriste: “Comment?”

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Susan Sarandon s’en prend à Kris Jenner

À Cannes, Susan Sarandon n’a pas la langue dans sa poche. Donald Trump, Kris Jenner et Woody Allen en prennent pour leur grade.

Susan Sarandon n’a jamais été du genre se débiner. Dimanche 15 mai, elle donnait avec Geena Davis, sa partenaire dans le culte Thelma et Louise de Ridley Scott, une conférence sur la place des femmes dans le cinéma. C’était le talk Women in Motion, une iniatitive de Kering lancée à Cannes l’année dernière par Salma Hayek. Entre deux propos sur la misogynie dans l’industrie, l’actrice oscarisée ne s’est pas privée d’une pique bien sentie à l’égard de la famille Kardashian. “Cette mère est incroyable”, dit-elle au sujet de Kris Jenner, la matriarche du clan. “Elle a commencé dans le porno et peut maintenant s’acheter l’Amérique”. Une remarque qui n’a pas manqué d’amuser le public.

La célèbre rousse, égérie L’Oréal Paris, a également mentionné Woody Allen, et pas dans les meilleurs termes. Interrogée sur le réalisateur de Café Society, déjà attaqué par Laurent Lafitte, elle a déclaré : “Je pense qu’il a agressé sexuellement un enfant et je ne pense pas que ce soit bien. Je n’ai rien de bon à dire sur lui. Je ne veux pas m’étendre davantage.” Quant à Donald Trump : “Ce qu’il fait est terrible. Il légitimise le racisme et l’homophobie. Et maintenant les États-Unis d’Amérique ont l’air ridicules.”

Crédits photos : Mike Marsland

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Renaud, « bouleversé » par le succès de son disque

Il y a des succès que l’on n’attend pas. Interviewé par RTL, Renaud a confié combien les ventes de son dernier album Renaud, aussi appelé Toujours debout, l’ont surpris. Le chanteur se dit même « bouleversé » par l’accueil que ses fans lui ont réservé.

« J’étais plus que surpris. J’étais halluciné par ce succès phénoménal, historique paraît-il. » Renaud n’en revient pas. Selon les calculs de RTL, il a dépassé cette semaine les 500 000 exemplaires vendus de Renaud, son dernier album – aussi connu sous le nom de Toujours debout. « Ça ne m’est pas arrivé depuis 15 ans de vendre autant d’albums en si peu de temps, explique-t-il lors d’une interview accordée à la radio. Je suis bouleversé par tant d’amour. » Après de longues années faites de moments noirs, le chanteur avoue qu’il ne s’attendait pas à un tel succès. Pourtant, malgré tout, les fans ont été au rendez-vous. Ils attendaient un nouvel album depuis sept ans.

L’étonnement de Renaud est d’autant plus grand que l’économie de la musique a connu de nombreux bouleversement ces dernières années. « J’ai vendu du disque à l’époque où le disque se vendait encore, rappelle-t-il. Le marché du disque a perdu 65% de ses ventes en 10 ans à cause d’Internet et Twitter et compagnie et différents sites, réseaux sociaux qui diffusent ma musique gratuitement, mais j’ai vendu 20 millions d’albums en tout et celui-là est parti pour faire un bon petit million. » De quoi rendre jaloux Michel Polnareff, qui s’en est pris plusieurs fois à Renaud depuis la sortie de son dernier album.

Crédits photos : Orban Thierry

Cannes Backstage by Instax – Mignonne, Elle Fanning !

Chaque jour, l’équipe de Gala vous offre un instantané de la Croisette avec l’Instax de Fujifilm.

À l’affiche de The Neon Demon de Nicolas Winding Refn, Elle Fanning profite pleinement de son expérience à Cannes. Le Festival est magique pour l’adolescente américaine, pur talent, de 18 ans. Sur la Terrasse By Albane, au JW Marriott Cannes, elle a posé, mutine, avec un Instax de Fujifilm. Craquante.

Crédits photos : Non renseigné

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Marie Trintignant: ses amoureux ne l’oublient pas

Battue à mort par Bertrand Cantat, en 2003, l’actrice survit dans le coeur des pères de ses enfants. Emotion…Par Laurent Del Bono

Treize ans après le massacre, Samuel n’oublie pas. Sur son bras, malgré la vie qui continue, il a tatoué le prénom de Marie Trintignant à l’envers. Comme pour signifier que, depuis la tragédie de Vilnius, en 2003, la mère de Jules, leur fils de dix-huit ans (photo ci-dessous), continue de vivre dans sa peau. Sur le mode d’un lumineux reflet. Depuis le miroir d’un autre monde d’où elle continue de le visiter. Ses mots sont si beaux, si forts, si tendres et vivants, que Samuel Benchetrit a voulu leur donner forme dans un roman qu’il publiera cet été chez Plon. L’œuvre s’appelle La nuit avec ma femme. Elle est composée à la manière d’une fantasmagorie poétique. « Le temps d’une nuit, le narrateur est visité par sa femme disparue sous les coups d’un homme, explique-t-il. Il lui parle et l’emmène dans une déambulation dans les rues parisiennes. Sur les lieux de leur amour et de leurs déchirures, il s’adresse à elle et convoque, au fil de pages intenses, les blessures et les joies de leur destinée tragique, leurs souvenirs communs, leur fils merveilleux et la difficulté de vivre sans elle. »

Est-ce l’hallucination d’un homme à la culpabilité indélébile ? Le jour du drame qui a coûté la vie à l’actrice, c’est un sms envoyé par Samuel à Marie – à la fin duquel il signait “Ma petite Janis” (du nom de l’héroïne rock qu’elle incarnait dans Janis et John, le dernier film qu’ils ont tourné ensemble) – qui a déclenché la fureur assassine de Bertrand Cantat. Pareil concours de circonstances n’a pu que l’idéaliser davantage encore à ses yeux. Benchetrit fut amoureux jusqu’à la fin de Marie qui l’avait pourtant quitté pour le chanteur de Noir Désir. Mais la vérité est plus riche : elle sait l’empreinte profonde dont l’amante à la voix sombre a marqué chacun des trois autres pères de ses enfants. De son union avec Richard Kolinka, ex-batteur du groupe Téléphone, est né Roman (vingt-neuf ans)… De celle avec le comédien François Cluzet, Paul (vingt-trois ans). De celle enfin avec Mathias Othnin-Girard, Léon (vingt ans).

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Si Richard, François, Mathias, Samuel ont reconstruit leur vie amoureuse avec succès, aucun n’oublie le temps heureux avec Marie. D’ordinaire si discret sur sa vie privée, François Cluzet n’a pas hésité à évoquer à plusieurs reprises quelle belle personne elle était. « En perdant Marie, j’ai perdu une femme dont j’avais été fou amoureux », a-t-il expliqué. C’était à la fin des années quatre-vingt. Voulant vivre leur passion sans entrave, le couple s’était installé en Provence. Malheureusement, après la naissance de Paul, en 1992, le chant des cigales s’était arrêté net. « Ces trois années ont été idylliques, s’est exclamé l’acteur dans l’émission Thé ou café, l’année dernière. Après sa mort, je me suis beaucoup investi dans les associations de femmes battues. Je ne pardonnerai jamais. » Le lien est resté si fort chez les amoureux de Marie qu’ils ont veillé à garder le contact. Chaque année, la famille se retrouve. Les fils de Marie sont devenus des jeunes hommes épanouis et entreprenants. Paul veut être écrivain. Jules a joué dans Asphalte, réalisé par son père. Roman donne la réplique à Isabelle Huppert dans L’Avenir de Mia Hansen-Love. L‘avenir, ce temps que Marie Trintignant effeuillait avec délice. Elle reste immortelle dans le cœur des hommes qui l’ont tellement aimée.

Crédits photos : Valerie HAGE / VISUAL Press Agency

Comment Marilyn Monroe a perdu son enfant

Une série documentaire revient sur la fausse couche de Marilyn Monroe.

Cinquante-quatre ans après sa mort, de nombreux aspects de la vie de Marilyn Monroe restent cachés. Fréquemment, de nombreuses enquêtes et fouilles dans les archives continuent pourtant de la dévoiler. C’est le cas d’une série documentaire à venir sur la chaîne câblée américaine REELZ samedi prochain. L’émission reviendra sur la tragédie de la vie de l’actrice mythique: la perte de l’enfant qu’elle attendait avec son époux, le dramaturge Arthur Miller.

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En août 1957, le couple s’envole alors pour une seconde lune de miel à Amagansett, village pittoresque dans l’état de New York. Là, la star de cinéma, enceinte, se plie en deux de douleur. Sans attendre, elle est conduite dans un hôpital à 160 kilomètres. Mais c’est déjà trop tard: elle finit par faire une fausse couche. La version officielle raconte que la grossesse de Marilyn était en réalité extra-utérine. Mais en coulisses, Marilyn et Arthur, pleins de tristesse, ont mis ce malheureux incident sur le dos du gouvernement américain et de la pression exercée sur eux afin de déterminer si oui ou non ils entretenaient des liens avec le communisme.

C’est la Guerre Froide, l’époque du Maccarthysme (connu également sous le nom de Peur Rouge), du nom d’un sénateur américain décidé à débusquer les citoyens américains affiliés de près ou de loin aux Soviétiques. Même à Hollywood. “Marilyn et Arthur n’hésitaient jamais à dire ce qu’ils pensaient de l’implication du gouvernement dans ce triste épisode, confie un ami du couple. Ils l’ont dit à tout le monde, y compris à certains membres du FBI.”