La journée imaginaire du très très occupé J.J. Abrams !

Impossible de gérer quand on a une liste de projets longue comme les deux bras et une cuisse mis bout-à-bout ? Pas forcément. Il suffit juste de bien s’organiser, et voici à quoi doit sans doute ressembler l’emploi du temps (surchargé) de J.J. Abrams.

9h : vélo pour préparer le film sur Lance Armstrong

Il n’est pas encore sûr que ce soit lui qui le réalise, mais J.J. Abrams est bien, pour le moment, attaché à ce projet sur Lance Armstrong. Centré sur la période allant de sa rémission de cancer à sa déchéance, en passant par ses sept victoires sur le Tour de France, le long métrage est actuellement en stand-by, mais permettrait au metteur en scène de changer du registre espionnage-action-science-fiction dans lequel il s’est (bien illustré) jusqu’ici.

10h30 : visite du plateau de “Person of Interest”

Crée par Jonathan Nolan et produite par ses soins, la série entamera sa troisième saison le 24 septembre sur CBS. Jim Caviezel, Michael Emerson, Taraji P. Henson et Kevin Chapman seront toujours de la partie, pour enquêter sur les crimes à venir et la conspiration autour de la fameuse machine, en sachant que le final de la saison précédente a laissé la porte grande ouverte à quelques changements.

11h30 : réunion avec Jonathan Nolan autour de “Mondwest”

Le succès de Person of Interest a sans doute incité J.J. Abrams et le frère de Christopher Nolan à refaire équipe, et ce sera bientôt chose faite grâce à Mondwest, adapatation sérielle du roman de Michael Crichton. Déjà transposée sur Mondwest par son auteur en 1973, cette histoire d’automates détraqués pourrait débarquer à la rentrée 2014, si le pilote convainc Bad Robot, Warner Bros. Television et HBO.

12h30 : finaliser le pilote de “Believe” avec Alfonso Cuaron

Si l’association entre J.J. Abrams et Jonathan Nolan est prestigieuse, que dire de celle entre les réalisateurs de Star Trek et Les Fils de l’homme ? Alfonso Cuarón a en effet créé et réalisé le pilote de Believe, série de science-fiction autour d’une jeune fille dotée de super-pouvoir et traquée à travers les Etats-Unis. Attendu à la mi-saison sur CBS, le show part avec un avantage certain : le talent de son metteur en scène dans le genre. Reste à espérer que les audiences suivent.

13h30 : déjeuner avec Rupert Wyatt

Personne n’est officiellement attaché à la réalisation de Star Trek III, mais la rumeur veut que Rupert Wyatt soit le mieux placé pour piloter l’Enterprise et diriger Chris Pine et Zachary Quinto. D’où la nécessité, pour Abrams, de briefer son peut-être futur remplaçant, histoire de lui expliquer son approche et la meilleure façon de créer des lens flare, pour assurer la cohésion de la saga. Ceci dit, quand on voit comment Wyatt a repris La Planète des singes en main, il y a de quoi être rassurés vis-à-vis de Star Trek.

15h : castings de “Star Wars – Episode VII” chez Lucasfilm

Alex Pettyfer et Rachel Hurd-Wood auraient passé une audition, et nul doute qu’ils ne seront pas les seuls, ce qui fait potentiellement pas mal de jeunes acteurs à voir. Et encore, on ne parle que des rôles (supposés) des enfants de Luke, Leïa et Han Solo. Reste à trouver les Jedis, les méchants et discuter avec Mark Hamill, Carrie Fisher et Harrison Ford de leurs retours. Bref, de quoi faire pendant un bout de temps.

16h30 : coup de téléphone à Benedict Cumberbatch

“Dis donc, j’ai lu ton interview au Telegraph. C’était bien et t’as noyé le poisson comme il faut, sauf avec ton “On verra bien” lourd de sous-entendus. Du coup les gens se doutent de quelque chose, donc soit discret, on fera une annonce en bonne et due forme en temps voulu. Et quand on te parle de Star Wars, détourne l’attention sur Sherlock. D’ailleurs c’est quand la saison 3 ?”

16h45 : réunion avec George Lucas

Lors de son passage à Paris pour l’avant-première de Star Trek Into Darkness, J.J. Abrams avait précisé à quel point les fonds verts, c’était vraiment pas sa tasse de thé, donc on l’imagine mal se renier pour Star Wars VII. D’où l’importance de dire à George Lucas que c’était certes bien marrant de voir le making-of de l’épisode III, avec les acteurs qui parlent à des balles de tennis devant des fonds bleus, mais voilà quoi. Et puis ça ne dénaturerait en rien l’esprit de la saga, donc pas d’inquiétude George.

17h15 : texto à Benedict Cumberbatch

“Vraiment j’insiste : ne vends pas la mèche sur Star Wars. On prévoit un gros truc !”

17h45 : supervision du montage de “Almost Human”

Person of Interest mise à part, les dernières séries de J.J. Abrams n’ont pas été des franches réussites, Alcatraz et Undercovers passant à la trappe au bout d’une petite saison. D’où l’intérêt de montrer que ces accidents de parcours sont bel et bien derrière lui, en permettant à Almost Human de cartonner. Avec le combo “créateur de Fringe à ses côtés” + “SF” + “pitch intéressant (un flic fait équipe avec un androïde)”, les voyants semblent au vert, et il faut juste espérer que Karl Urban ne leur porte pas la poisse, vu le sort qu’il a connu en tête d’affiche (Pathfinder, Dredd).

18h30 : encore un texto à Benedict Cumberbatch

“Bon, si jamais tu me montres la saison 3 de Sherlock en avant-première, on peut s’arranger…”

18h40 : vision-conférence avec Tom Cruise pour “Mission : Impossible V”

“Bon, pour faire plus dingue que le Burj Khalifa de Protocole fantôme, va falloir se lever de bonne heure. Mais tu peux tenter de faire de la barre fixe sur les aiguilles de Big Ben. Ou alors escalader la Tour Eiffel à mains nues, comme le gamin de ce film français, Un Indien dans la ville. Non, non, celui avec Tim Allen c’est le remake, rien à voir.”

19h : visionnage du premier épisode de la saison 2 de “Revolution”

Malgré l’accueil globalement tiède de la première saison, Revolution passera la seconde dès le 25 septembre. Billy Burke, Tracy Spiridakos et Giancarlo Esposito seront de retour dans ce monde bouleversé par un blackout aussi violent que mystérieux, et accueilleront notamment des anciens de Desperate Housewives et Supernatural.

20h30 : relecture de “S” avec Doug Dorst

“S” ne sera donc pas un film, ni même une série, mais un livre co-écrit avec Doug Dorst. Même sur papier, le système Abrams ne changera pas beaucoup puisqu’il sera question d’un bouquin mystérieux unissant deux personnages entretenant une relation épistolaire. Début des explications le 29 octobre en librairie.

22h30 : appeler la Paramount

“Oui, on verra pour les droits de “S”. Mais attendons d’abord de voir si le livre se vend bien et s’il ne serait pas mieux de le décliner en série plutôt qu’en film. Il part à l’imprimerie en fin de semaine donc je vous envoie un exemplaire dès que je les reçois.”

23h30 : dernier texto à Benedict Cumberbatch

“Je te surveille…”

A lire aussi…

J.J. Abrams : l’homme qui buzze, qui buzze…

Maximilien Pierrette

Le teaser de “S” :

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Exclu Gala – L’album photos de Marisa Bruni Tedeschi

A 86 ans, elle publie, à l’attention de Carla et Valeria, Mes chères filles, je vais vous raconter…, le récit d’une existence qui a traversé le XXe siècle et bien des turbulences amoureuses.

Son incroyable énergie ? La mère de Carla Bruni-Sarkozy la puise dans la musique – ancienne concertiste, elle pratique le piano deux heures par jour -, ses quatre petits-enfants et son nouveau métier d’actrice. Présente sur la Croisette pour le film La pazza gioia, de Paolo Virzi (en lice à la Quinzaine des réalisateurs) dans lequel elle a un tout petit rôle, cette Turinoise de mère française et de père italien a traversé la guerre, connu des amours fulgurantes, vécu dans un somptueux château et fréquenté l’Elysée. Dans Mes chères filles, je vais vous raconter… (Robert Laffont), cette femme libérée déroule ses souvenirs, marqués, entre autres, par la douleur d’avoir perdu, il y a dix ans, son fils Virginio. Une vie terriblement romanesque, dont elle ne cache rien. Ou si peu de choses…

Gala : Dans votre livre, vous vous livrez sans tabous. Pourquoi faire de telles confidences, aussi intimes ?

Marisa Bruni Tedeschi : Tout est vrai. Je n’ai rien inventé. Je voulais raconter ma vie à mes filles, dans les moindres détails car elles ignorent encore beaucoup de choses sur moi. Naturellement, certains passages peuvent choquer. Mais tant pis, à quatre-vingt-six ans, je crois que je peux dire ce que je veux ! J’ai été une grande amoureuse, j’allais toujours au bout de mes sentiments. J’aimerais d’ailleurs connaître à nouveau de grandes passions, mais vu mon âge… Finalement, le plus difficile, est de réaliser, en vieillissant, qu’un beau jour, celles-ci n’appartiennent plus qu’au passé. Je suis veuve depuis vingt ans. A mon âge, que puis-je faire ? Aimer un jeune, c’est beaucoup trop tard. Et un vieux, non. Je n’ai plus envie de passer du temps à soigner quelqu’un et à l’avoir dans les pieds !

Gala : Vous vous mariez à vingt-et-un ans avec Alberto, un riche industriel et compositeur bourré de talent. Vous formiez un couple très libre, au point de vous pardonner vos infidélités respectives. C’est assez rare…

M. B. T. : Alberto, qui avait quinze ans de plus que moi, était un homme exceptionnellement intelligent et ouvert d’esprit. Nous étions profondément amoureux et on se pardonnait tout ! Il m’a apporté une culture qui me faisait défaut quand je l’ai épousé. Mon mari était un grand collectionneur d’objets d’art et d’antiquités. Il était aussi très fantasque, son imagination était sans limite. Ma fille aînée, Valeria, qui est actrice et réalisatrice, tient beaucoup de lui. Lorsque je lui ai avoué être tombée follement amoureuse du pianiste Arturo Benedetti Michelangeli, Alberto a tout de suite compris qu’il valait mieux me laisser libre. Quand Michelangeli m’a quittée, j’ai énormément souffert. Mon mari a été extraordinaire. Il m’a soignée de mes blessures…

Gala : Le jour où vous croisez la route d’un certain Maurizio, dix-neuf ans, sa beauté vous bouleverse. Au point de faire un enfant avec lui. Carla, l’enfant de l’amour, naît en 1962…

M. B. T. : Et mon mari l’élèvera et l’aimera comme sa propre fille ! Jamais je n’ai songé à divorcer. J’aimais mon époux et Maurizio était tellement jeune ! Moi, j’avais trente-cinq ans, j’étais mère de deux enfants. A l’époque, dans les familles bourgeoises, les secrets étaient bien gardés. Mes trois enfants ignoraient tout de cette situation. Avant de mourir, en 1996, Alberto a souhaité nous libérer de ce secret. Valeria, l’aînée des filles, a été informée la première. Ensuite, j’ai tout expliqué à Carla, qui avait vingt-huit ans…

Gala : Pour elle, ce fut un choc ?

M. B. T. : Le fait que je l’avais eue avec un autre homme ne la choquait pas du tout. En revanche, elle m’a reproché de lui avoir si longtemps caché la vérité. Elle avait raison ! Un autre de mes regrets est le silence que j’ai laissé s’installer entre mon mari et mon fils Virginio. Ces deux-là n’arrivaient pas du tout à communiquer. J’avais tellement peur des conflits ! Alberto parlait fort, faisait des scènes alors que Virginio était très introverti. J’aurais dû le laisser affronter Alberto. Quand mon fils est tombé malade – il était atteint du sida -, il n’a jamais voulu en parler à son père. Je pense que c’est une erreur car son père l’aurait compris, soutenu et aimé. Alberto est décédé sans savoir que son fils était gravement malade…

Gala : Aujourd’hui, Carla est-elle proche de son père biologique ?

M. B. T. : Leur première rencontre s’est très bien passée. Carla est allée chez lui, au Brésil. Elle a une demi-sœur, Consuelo, dont elle est très proche. Quand Maurizio vient à Paris, il loge chez elle. C’est un homme discret, très affectueux.

Gala : Carla et Nicolas l’ont invité à leur mariage, le 2 février 2008. Comment l’avez-vous vécu ?

M. B. T. : Très bien. J’avais revu Maurizio quelques fois déjà. Au mariage, mon gendre le présentait comme le père de Carla. Un monsieur s’est approché de moi : « Oh, je croyais que votre mari était décédé. » Je lui ai répondu : « Oui, mais celui-là, c’est l’autre ! » La mère de Nicolas était à côté de moi. Je lui ai dit : « Vous savez Dadou, c’est un peu compliqué, cette situation. » Elle m’a répondu : « Mais non, j’en ai vu d’autres ! » On en a beaucoup ri, toutes les deux !

Gala : Comment Carla vous a-t-elle parlé pour la première fois de Nicolas Sarkozy ?

M. B. T. : Elle m’a raconté l’avoir rencontré à un dîner. Elle le trouvait fascinant. Trois jours après, un samedi, elle est passée chez moi déposer son fils Aurélien, car elle devait sortir. On a sonné à la porte. C’était Nicolas qui souhaitait me connaître. Il s’est assis dans le canapé. Ma sœur Gigi était avec moi. Je crois qu’il voulait savoir où il mettait les pieds ! Je m’entends très bien avec mon gendre, mais nous ne parlons jamais de politique. Nous passons nos vacances ensemble dans ma maison du Cap Nègre. Là-bas, chaque matin, avant de travailler, il part à vélo sur la colline. Il nage beaucoup avec Carla. Pendant le Tour de France, il est collé à la télé et commente la course comme un expert. A Paris, Nicolas m’invite souvent à déjeuner. Je le trouve extrêmement attentionné à mon égard, comme il l’est aussi avec sa mère.

Gala : Votre meilleur souvenir sous la présidence de votre gendre ?

M. B. T. : Le voyage d’Etat en Angleterre. Pour la première fois, sous la Ve République, un Président emmenait sa belle-mère dans ses bagages ! A l’aéroport, quand j’ai vu ma fille en première dame, monter dans la voiture de la reine où l’attendait le prince Charles, j’étais très très émue.

Gala : Vos quatre petits-enfants tiennent une très grande place dans votre vie…

M. B. T. : C’est vrai. Je m’occupe beaucoup d’Aurélien, le fils de Carla qui a quinze ans. Un gosse incroyable, passionné de paléontologie et très actif sur YouTube où il se filme en train de parler de l’évolution de l’homme, des animaux, de tas de sujets qui l’intéressent. Je l’accompagne souvent à des colloques de youtubeurs et à des salons. Etre une nonna connectée, c’est épuisant ! Giulia, sa petite sœur, a quatre ans. Entre ses cours de danse classique, de dessin, ses sorties au parc et ses dessins animés préférés, la fille de Carla et Nicolas est rarement disponible pour jouer avec moi ! Ma fille Valeria a adopté deux enfants. Oumi, originaire du Sénégal, qui a sept ans, et un petit Noé de deux ans, qui, lui, vient du Vietnam. Valeria les emmène le plus souvent possible sur les tournages. Pendant les vacances scolaires, je prends le relais et je les emmène au Cap Nègre.

Gala : Séjourner dans cette maison, où Virginio a vécu avant sa mort, n’est pas trop douloureux ?

M. B. T. : Virginio était très attaché à cet endroit. Il avait restauré lui-même toute la maison pour la laisser dans son jus Art déco. Là-bas, Virginio est encore présent partout. Carla et Nicolas occupent sa chambre où une grande photo de mon fils est accrochée au mur. Il était marin dans l’âme et passait des heures à regarder la mer. La perte d’un enfant, vous savez, on ne la surmonte jamais. On la traîne.

Crédits photos : Sebastien Valente/E-PRESS PHOTO

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Cannes 2016 – « Paresseux » les producteurs?

L’ambiance est aux accords. Ça signe à tout va. Hier c’est Le Film Français qui nous l’annonçait, sous la plume toujours un peu austère mais si concise de Laurent Cotillon : le second volet des Assises du cinéma a accouché d’un accord «essentiel” pour la vie économique des “films de la diversité” (dans notre langage peuple : les productions indépendantes) mais aussi des spectateurs, « qui auront un meilleur accès à ces films ». Pour faire synthétique, dans les villes de moins de 50 000 habitants, on aura la possibilité de voir la prochaine Palme d’or décernée à un Roumain (et si, pourquoi pas) et pas seulement Captain America. Avant-hier les deux principaux syndicats de Producteurs (UPF et APC) ont annoncé aussi leur prochain mariage dans le but entre autres, je cite “d’oeuvrer au rassemblement des forces vives” face au phénomène de concentration croissant de quelques grands opérateurs”. En français moins soutenu: vade retro Netflix. C’est fondé. Même si, comme concluait un vieil ami attaché de presse : “que les producteurs commencent par lire déjà tous les scénarios qu’ils reçoivent. La plupart font preuve d’une telle paresse…”

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“Avengers 2”, “Need For Speed”, “Quai d’Orsay”… Les bandes-annonces à ne pas rater !

Tous les samedis, découvrez les cinq bandes-annonces qui ont fait le buzz cette semaine ! Au menu : la nouvelle comédie de Valérie Lemercier, l’adaptation du jeu vidéo “Need For Speed”, un huis clos théâtral signé Polanski, le retour des “Avengers” et le dernier film-événement de Bertrand Tavernier.

The Avengers : Age of Ultron – Sortie le 29 avril 2015

De Joss Whedon avec Chris Evans, Robert Downey Jr., Mark Ruffalo…

Les Avengers affrontent le grand méchant Ultron…

 

Need for Speed – Sortie le 16 avril 2014

De Scott Waugh ave c Aaron Paul, Dominic Cooper, Scott Mescudi…

Tobey Marshall et Dino Brewster partagent la passion des bolides et des courses, mais pas de la même façon… Parce qu’il a fait confiance à Dino, Tobey s’est retrouvé derrière les barreaux. Lorsqu’il sort enfin, il ne rêve que de vengeance.

 

Quai d’Orsay – Sortie le 6 novembre 2013

De Bertrand Tavernier ave c Thierry Lhermitte, Raphaël Personnaz, Niels Arestrup…

Arthur Vlaminck, jeune diplômé de l’ENA, est embauché en tant que chargé du “langage” au ministère des Affaires Étrangères. En clair, il doit écrire les discours du ministre Alexandre Taillard de Vorms ! Mais encore faut-il apprendre à composer avec la susceptibilité et l’entourage du prince, se faire une place entre le directeur de cabinet et les conseillers qui gravitent dans un Quai d’Orsay où le stress, l’ambition et les coups fourrés ne sont pas rares… Alors qu’il entrevoit le destin du monde, il est menacé par l’inertie des technocrates.

100 % cachemire – Sortie le 11 décembre 2013

De Valérie Lemercier avec Valérie Lemercier, Gilles Lellouche, Marina Foïs…

Aleksandra et Cyrille forment un couple de Parisiens très chanceux, très en vue, et très tendance. Dans ce foyer 100% cachemire et sans enfant, va faire irruption Alekseï, un petit garçon russe de sept ans…

La Vénus à la fourrure – Sortie le 13 novembre 2013

De Roman Polanski avec Emmanuelle Seigner, Mathieu Amalric

Seul dans un théâtre parisien après une journée passée à auditionner des comédiennes pour la pièce qu’il s’apprête à mettre en scène, Thomas se lamente au téléphone sur la piètre performance des candidates.

 

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Dominique Farrugia: « Les personnes handicapées ont leur place dans le cinéma français »

En marge du festival de Cannes, trois trophées seront remis ce soir dans le cadre du « festival du cinéma positif ». Dominique Farrugia présidera cette remise de trophées. L’ex-Nul souffre de sclérose en plaques depuis de nombreuses années, et estime que les films « positifs », notamment les comédies mettant en scène des personnes handicapées, peuvent être vecteurs de changements, et remettre « au coeur de la vie » de nombreuses personnes souffrant de handicaps.

L’idée originale vient de Jacques Attali. Celui qui parle à l’oreille des puissants n’a pas que des mauvaises idées. Avec la fondation Positive Planet, il est présent depuis 6 ans maintenant au Festival de Cannes. Et pour la première fois cette année, cette fondation remettra des trophées à des films jugés « positifs ».

D’après lui, les films, et même les acteurs, parmi lesquels Leonardo Di Caprio et son combat pour le climat, peuvent s’inscrire dans une démarche de changement des mentalités. D’où la création de ce festival des films positifs, pour, dit-il, « mettre en avant tout ce qui participe au ‘cinéma positif’, c’est-à-dire tous ceux qui, en créant leurs propres œuvres, pensent aussi à les rendre utiles aux générations suivantes. »

Trois catégories: climat, démographie, technologie. 36 films sélectionnés, dont La loi du marché de Stéphane Brizé avec Vincent Lindon, Fatima de Philippe Faucon, et le documentaire de Cyril Dion et Mélanie Laurent, Demain.

Défendre un cinéma « positif », « utile », voilà bien un objectif qui convient parfaitement à Dominique Farrugia. L’ex- Nul est le premier président de ce nouveau festival. Ce rôle lui tient à coeur et le concerne directement. L’humoriste, producteur et réalisateur n’a pas été épargné par la vie, et il se bat contre la sclérose en plaques depuis de nombreuses années. Le cinéma positif lui fait du bien. Dans le Huffington Post, il explique pourquoi.

« J’ai une sclérose en plaques depuis 23 ans. Je suis obligé la plupart du temps de me déplacer en fauteuil roulant. Quand j’ai vu le film Intouchables faire 20 millions d’entrées alors qu’il mettait en scène un tétraplégique, j’ai compris que les personnes handicapées avaient dorénavant leur place dans le cinéma français. »

D’après lui, Intouchables a remis les handicapées « au coeur de la vie des autres ». Et il parle de lui, quand il confie à nos confrères du Huffington Post:

« La sclérose en plaques est le premier cas d’invalidité chez les moins de 25 ans après les accidents de la route. Je peux vous dire que cette maladie vous tire vers le bas, hors de la vie. Tous ceux qui en souffrent se réfugient derrière les ordinateurs pour occuper leurs journées. Quand des comédies mettent en scène des gens qui vous ressemblent, c’est très fort. »

Il défend un cinéma français avec plus de rôles comme celui de François Cluzet. En évoquant Coup de foudre à Notting Hill, dans lequel une actrice handicapée est partie intégrante de l’intrigue sans « qu’aucun commentaire ne vienne appuyer » sa maladie, il montre que le chemin est encore long dans le cinéma français, par rapport à celui de ses voisins européens, mais que le « cinéma positif » peut contribuer à changer les mentalités, et faire du bien à ceux qui souffrent.

« Il est intéressant de constater qu’un mouvement de prise de conscience globale aille vers plus de positivisme et un poil moins de dérision. »

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Une conviction qui devrait l’aider à remettre les prix avec sagesse ce mercredi soir, à Cannes, lors de cette soirée du cinéma « positif ».

Cyril Hanouna annonce la fin des Enfants de la télé

Jeudi soir, dans l’émission Touche pas à mon poste, Cyril Hanouna a annoncé l’arrêt sur TF1 du programme culte Les enfants de la télé, présenté par son meilleur ennemi, Arthur.

Vu le niveau de tension depuis quelques semaines entre Arthur et Cyril Hanouna, on est en droit de penser que l’annonce faite dans Touche pas à mon poste jeudi soir est un nouvel épisode dans la guéguerre médiatique que se livrent les deux animateurs. En effet, comment ne pas voir une nouvelle pique portée à Arthur lorsque Cyril Hanouna annonce dans Touche pas à mon poste l’arrêt de l’émission culte de TF1, Les enfants de la télé.

L’information émane de Thierry Moreau qui, avant d’être chroniqueur de TPMP, est surtout le patron de Télé 7 Jours. «Ils arrêtent Les enfants de la télé» affirme-t-il en parlant de TF1. Le journaliste rappelle que l’émission est née «en 1994 sur France 2» avant de passer sur la chaîne privée. Cyril Hanouna précise de son côté: «Le mauvais score de la dernière a eu raison». Elle accueillait l’équipe des Visiteurs 3 et n’a séduit que 2,9 millions de téléspectateurs, largement insuffisant pour un prime time sur TF1.

«21 saisons c’est énorme» commente malgré tout Cyril Hanouna qui ajoute: «je pense qu’ils ont fait trois saisons de trop». Lorsqu’il demande leur avis à ses chroniqueurs, la plupart estiment que c’est une bonne idée d’arrêter Les enfants de la télé. Julien Courbet estime en revanche que c’est une mauvaise idée, mais que l’émission «était trop récurrente». Il déplore également que le concept ait dérivé, que les images d’archives ne soient plus au cœur des Enfants de la télé qui était «devenue une émission promo», en recevant les équipes des grandes comédies populaires françaises qui sortaient en salles.

La bataille que se livrent Arthur et Cyril Hanouna n’est pas près de cesser.

Crédits photos : IBO/SIPA

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Alessandra Sublet, Cyril Hanouna… Leur hommage à Emmanuel Maubert

Dix jours après son malaise cardiaque au Festival de Cannes, Emmanuel Maubert est décédé comme l’a annoncé son producteur hier soir sur Twitter. Cette terrible annonce a eu l’effet d’une bombe dans le milieu des médias : journalistes et animateurs ont multiplié les hommages sur les réseaux sociaux.

Emmanuel Maubert était un journaliste aimé de tous pour son professionnalisme et sa grande gentillesse. L’annonce de son accident avait provoqué une vague de messages de soutien à son attention sur les réseaux sociaux, l’encourageant à tenir bon dans cette épreuve. L’annonce de son décès a été un terrible coup dur pour ses collègues de télévision et de radio.

Parmi les proches de l’animateur, la chef Babette de Rozières a été particulièrement choquée de la disparition de son ami. Celle qui avait tenu au courant les internautes de l’état de santé du journaliste ces derniers jours s’est effondrée. “Manu est parti au ciel, il m’a laissé, comment est-ce possible”, a-t-elle tweeté. L’animatrice Alessandra Sublet qui lui avait rendu visite à l’hôpital lui a elle rendu hommage en postant un magnifique cliché en noir et blanc de l’animateur. Très émue, elle s’est aussi exprimée sur Europe , la voix tremblante et le souffle coupé : “ Il y a deux jours, on avait le sentiment qu’il était encore là (…) On avait un espoir tellement énorme.

Ce sont des équipes entières qui sont allées au travail le coeur lourd ce matin. Tous les journalistes et techniciens de C à vous mais aussi de Touche à pas à mon poste et d’Europe 1 se souviennent d’un homme bon et joyeux, qui leur manquera beaucoup à en croire les tweets et messages d’affection sur internet. “ Très très triste ce soir, on perd une personne formidable. Emmanuel Maubert va terriblement nous manquer. Grosse pensée pour sa famille,” a écrit Cyril Hanouna. La date de l’enterrement du journaliste n’a pas encore été communiquée mais ils seront sûrement très nombreux à vouloir lui faire un dernier adieu.

Crédits photos : Patrice Falour/Starface

Oscar Pistorius est au plus mal

Le grand sportif qu’était Oscar Pistorius va de plus en plus mal. Il vit une descente aux enfers depuis cette fameuse veille de Saint-Valentin 2013 ou il a tiré quatre balles sur sa compagne. Les menaces proférées à son encontre ne vont pas arranger son état dépressif.

L’athlète paralympique multi-médaillé a vu son ultime recours rejeté par la justice sud-africaine la semaine dernière.Une nouvelle qui aurait « brisé » un Oscar Pistorius sur le point de se faire hospitaliser, selon le psychologue Jonathan Scholtz. Le Sud-africain est assigné à la résidence de son oncle à Prétoria depuis sa sortie de prison en 2015. De plus, sa carrière sportive très prometteuse est anéantie depuis l’incident. Le destin de l’athlète ne cesse de s’acharner puisque depuis la semaine dernière, la famille de l’ancien champion a reçu d’inquiétants messages.

Arnoldus Pistorius, cousin d’Oscar, a reçu des SMS anonymes très inquiétants comme il le confie lors d’une interview accordée à City Press. La famille Pistorius serait victime d’un maître chanteur qui menace Oscar Pistorius. L’expéditeur a tout d’abord proposé de révéler que le parquet avait « payé un témoin pour accabler l’accusé » en échange d’argent. Une info dont il assurait avoir « la preuve à 100% ». Seulement, le refus immédiat d’Arnoldus Pistorius n’a pas vraiment plu au maître chanteur.Il est alors devenu vraiment agressif et a proféré des menaces contre Oscar et des membres de la famille. Il y avait des menaces selon lesquelles il allait s’arranger pour qu’Oscar soit violé en réunion et tabassé en prison”, a déclaré la porte-parole de la famille, Anneliese Burgess.

Les menaces de cet anonyme ont été prises très au sérieux par le sportif et sa famille qui ont immédiatement porté plainte dans un commissariat de la banlieue de Pretoria. Une enquête a d’ores et déjà été ouverte par la police pour « intimidation ». On dirait que le cauchemar n’est pas près de s’arrêter pour Oscar Pistorius…

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Les fugitifs – Roxane, la fille de Gérard Depardieu, en couple avec une femme

Ce soir, France 3 diffuse Les fugitifs avec Gérard Depardieu. Roxane, l’une des ses filles, moins connue et plus discrète, a récemment levé le voile sur sa vie privée.

Dans la famille Depardieu c’est rare qu’on fasse dans la demi-mesure. Qu’il s’agisse de Gérard, le père, ou de Julie, la fille, chacun a sa personnalité, très affirmée, et l’on n’oubliera jamais les coups de gueule du regretté Guillaume. Si elle est moins connue, côté caractère, Roxane, 24 ans, née de l’union du monstre sacré et Karine Silla, n’a rien à envier à ses aînés. Elle l’a fait savoir dans les colonnes du magazine Marie Claire en mars 2016.

Pour se démarquer du reste de la famille, et en l’occurrence de sa mère, qui cumule les activités d’écrivain, scénariste, réalisatrice et actrice, Roxane mise sur le sport, “la boxe”. Autre divergence: son orientation sexuelle, “En plus, je suis en couple avec une femme (NDLR: une certaine Chantelle à en croire les réseaux sociaux).” Pour elle, pas question de s’exhiber, mais sereine, elle s’assume, s’affirme et refuse entraves et jugements. “Personne ne me dira ce que je dois faire. Jamais. Je suis une fille libre.”

La liberté, une valeur familiale qu’elle avait déjà défendue dans une interview accordée au Point suite à la publication de sa lettre ouverte, lorsqu’en 2012 son père avait été taxé d’exilé fiscal. “Il nous a appris la liberté dans ce qu’elle a de plus pur et de plus extrême.”

Crédits photos : VILLARD/NIVIERE/SIPA

Tippi Hedren, muse d’Alfred Hitchcock, l’accuse d’agression sexuelle

Elle fut l’une des muses d’Alfred Hitchcock. Après Grace Kelly et Kim Novak, Tippi Hedren a incarné la « blonde hitchcokienne ». Fantasmes à l’écran du réalisateur, ces femmes blondes, à la beauté froide, représentaient pour lui « les meilleures victimes ». Une victime vient justement de prendre la parole, 35 ans après la mort du réalisateur de Psychose. Le New York Post vient en effet de publier des extraits de l’autobiographie que s’apprête à publier Tippi Hedren et dans laquelle elle revient sur l’obsession malsaine que lui vouait Hitchcock.

Alfred Hitchcock découvre Tippi Hedren en 1961 dans une publicité pour des boissons amincissantes. Deux ans plus tard, l’actrice de 32 ans tient le premier rôle de l’un de ses films emblématiques : Les oiseaux. Pour la jeune femme, ce film et le contrat qu’elle vient de signer sont une promesse. Mère célibataire, sa fille Mélanie n’a alors que cinq ans, elle enchaîne les petites productions et les contrats de mannequin. L’aventure se transforme pourtant rapidement en cauchemar. En 2012, le téléfilm The Girl produit par HBO, revenait sur le tournage des Oiseaux et le comportement pervers d’Hitchcock envers son actrice principale, incarnée à l’écran par Sienna Miller. Tippi Hedren déclarait à l’époque dans une interview au Telegraph : « Être un objet d’obsession pour quelqu’un est une chose horrible. C’était une forme de harcèlement. Il avait fait analyser mon écriture, il me faisait suivre, et j’ai peu à peu eu l’impression d’être engloutie par lui. »

Dans son autobiographie à paraître, intitulée Tippi, a memoir, l’actrice désormais âgée de 86 ans revient pour la première fois en détail sur cette expérience traumatisante. Dans les extraits publiés par le New York Post Tippi Hedren évoque une obsession qui aurait débuté avant même le début du tournage des Oiseaux, lorsque le réalisateur lui aurait à plusieurs reprises demander de « le toucher. » Les moindres faits et gestes de l’actrice faisaient l’objet d’une attention maniaque de la part d’Hitchcock qui va alors jusqu’à sommer Rod Tayler, son partenaire à l’écran, de ne pas sympathiser et de ne pas toucher celle qu’il appelle « The girl ». Mais le réalisateur va aller plus loin et profiter d’un moment seul avec Tippi Hedren dans sa limousine pour se jeter sur elle et tenter de l’embrasser. Elle écrit : « Ce fut un moment terrible, vraiment terrible. » À une époque où le terme de harcèlement sexuel n’existe pas encore et où ces comportements sont odieusement tolérés, Tippi Hedren choisit de se taire. Elle ajoute, réaliste : « Et puis, lequel d’entre nous était le plus précieux pour le studio, lui ou moi ? »

La situation se détériore encore en 1964 sur le tournage de Pas de printemps pour Marnie. L’actrice évoque alors une agression sexuelle qui aurait eu lieu dans sa loge, à laquelle Hitchcock avait accès grâce à une « porte secrète » qu’il avait fait installer : « Il était pervers (…) Et plus je me suis défendue, plus il est devenu agressif. » Tippi Hedren précise n’avoir jamais cédé aux avances du réalisateur et l’avoir payé de sa carrière. Si elle tourne une cinquantaine de films après Pas de printemps pour Marnie, elle ne rencontrera plus jamais le même succès. Mais la mère de l’actrice Mélanie Griffith ne s’est pas laissée détruire par le maître du suspense : « Il a peut-être ruiné ma carrière. Mais je ne lui ai jamais donné le pouvoir de ruiner ma vie. »

Crédit photo : Bettman /Getty Images

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