Month: January 2020

Depuis quelques années, Jean-Luc Lahaye fait les gros titres des journaux: condamné en 2007 par la justice pour atteinte sexuelle sur une mineure de moins de 15 ans, il est depuis accusé des pires torts. Dans un livre en librairie le 15 avril prochain, il donne sa vérité sur ces polémiques.

“On m’a accusé de viol, de pédophilie, de corruption sur mineure, et bien que j’aie été jugé deux fois, ces mots me collent désormais à la peau.” Jean-Luc Lahaye avait besoin de faire le point sur le vrai et sur le faux des polémiques qui le poursuivent. Dans son nouveau livre Classé confidentiel publié aux éditions Carnets Nord, il se confie ouvertement sur ses faiblesses.

Les femmes, d’abord. Ex star des années 1980, Jean-Luc Lahaye réfute toutes les accusations qui font aujourd’hui de lui une personnalité souvent présentée comme sulfureuse. Mais le chanteur et animateur de 63 ans ne nie cependant pas tout en bloc: “J’aime les jeunes femmes. Je le redis, c’est ma faiblesse (…) J’ai toujours affirmé, clamé que j’aimais les filles plus jeunes que moi. Je ne l’ai jamais caché, ce n’est pas nouveau. Je ne pense pas que ce soit un péché, ni un crime. C’est peut-être une tare quand on a mon âge. Je ne sais pas. Je laisse le public me juger.”

L’animateur se défend d’être un danger pour les femmes qui croisent son chemin, mais au contraire un amoureux attentionné : “Même si ça peut paraître étonnant, je suis d’un romantisme achevé, je suis le plus grand des romantiques, je peux fondre sous le regard d’une fille, trembler à l’idée de la revoir, ou de ne pas la revoir. Je suis un éternel amoureux, même si je change souvent d’amour,” ajoute-t-il.

A ce penchant ne s’ajoute pas celui de l’alcool ni la drogue, mais la vitesse. Dans son livre, Jean-Luc Lahaye avoue avoir besoin de ce sentiment d’adrénaline que lui procure la conduite, jusqu’à parfois, et même souvent, mettre sa propre vie en danger.

Ce n’est pas la première fois que le chanteur prend la plume pour revenir sur sa vie et son passé. En 1985 déjà, il avait publié un livre autobiographique intitulé Cent familles, qui avait fait un carton en librairie.

Dans “Joe” de David Gordon Green, présenté hier à Venise, Nicolas Cage campe un ex-taulard bourru devenu travailleur acharné en forêt. Sa prestation a séduit les critiques, ce qui en fait un des prétendants logiques au Prix d’interprétation.

The Hollywood Reporter (David Rooney)

Soutenu par les performances, brutes et pourtant habilement dosées, de Nicolas Cage et Tye Sheridan, le film capture à la fois la rugosité et la compassion pour ses personnages en souffrance, qui sont les caractéristiques de l’écriture du romancier Larry Brown.

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ThePlaylist (Oliver Littleton)

Il n’y a là rien de vraiment nouveau, mais voilà une oeuvre puissante et nuancée, qui navigue avec assurance entre différents registres et genres, et contient une performance riche et encourageante de la part de Nicolas Cage, ainsi qu’une nouvelle et excellente prestation de son jeune partenaire Tye Sheridan

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Variety (Justin Chang)

Doté d’une barbe grisonnante, d’une légère bedaine et couvert de tatouages, Cage est plein d’énergie, imprévisible, une performance géniale qui permet à la pudeur fondamentale de Joe d’éclater au grand jour.

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Le Monde (Franck Nouchi)

Excellente réalisation de David Gordon Green (…), Joe a des chances de figurer au palmarès de la Mostra.

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Première (Gérard Delorme)

Ce mélange d’artifice et de réalisme râpeux est ce qui fait l’intérêt de ce film dont les forces l’emportent quand même largement sur les faiblesses.

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Télérama (Louis Guichard)

[le personnage] est émouvant quand l’acteur se contente d’être un présence massive, échouée, avec un regard légèrement vitreux. Mais à la troisième quinte de toux au milieu d’une phrase, voilà revenues les pires simplifications de la méthode Actors Studio.

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A l’est d’Eden

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Le 30 novembre 2013, c’est Roger Rodas qui conduisait la Porsche qui a percuté un arbre à 160 km/h sur une route de Santa Clarita. A ses côtés, le célèbre acteur Paul Walker trouvait la mort sur le coup. Après le drame et le deuil, cette semaine on a appris que la fille de la star, Meadow Walker, allait percevoir la somme de 10,1 millions de dollars, de la famille du conducteur, en compensation.

Depuis deux ans et demi elle n’a cessé de se battre pour obtenir réparation, après la tragique disparition de son père, Paul Walker. La jeune Meadow, 17 ans, fille unique de l’acteur de Fast and Furious, va finalement obtenir gain de cause.

Le jour où son père a trouvé la mort, dans un accident de voiture, c’est son ami et ancien conseiller financier, Roger Rodas, qui était derrière le volant. La famille de ce dernier a donc décidé d’allouer une coquette somme à l’orpheline, pour régler leurs affaires à l’amiable. Le chèque qui s’élève à 10,1 millions de dollars (et qui est tiré de l’héritage du défunt) ne serait pourtant pas suffisant, s’il on en croit les déclarations de ses avocats.

Dans les colonnes du magasine People, on peut ainsi lire que la compensation « ne couvre qu’une fraction de ce que son père aurait gagné comme star de cinéma internationale si sa vie n’avait pas tragiquement coupé court ». Le gros lot, Meadow Walker espère pourtant le décrocher auprès d’un plus gros poisson.

Elle a en effet engagé une action en justice contre Porsche. L’adolescente (et ses avocats) accusent le constructeur allemand de défaillances, assurant que son père aurait pu survivre à son grave accident de voiture s’il avait pu se dégager de sa ceinture. Mais alors que le constructeur allemand vient tout juste de remporter une première victoire devant les tribunaux, ce lundi 4 avril – ils ont estimé que l’enseigne n’était pas responsable de la mort des passagers – ce combat s’avère plutôt difficile pour Meadow.

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Interviewées par le site web “The Daily Beast”, Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos ont détaillé les conditions de tournage particulièrement éprouvantes de “La Vie d’Adèle”, avant d’affirmer qu’elles refuseraient de tourner une nouvelle fois avec Abdellatif Kechiche… Un drôle de revirement après les louanges cannoises.

On pensait le Kechiche Bashing éteint. En réalité, le feu ne faisait que couver, il reprend aujourd’hui de la vigueur avec les déclarations de Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos au sujet des conditions de tournage de La Vie d’Adèle – Chapitres 1&2.

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Dans une interview accordée au site web The Daily Beast, les deux comédiennes sont revenues sur les méthodes de travail de leur réalisateur, évoquant ses colères…

“La scène de rencontre, c’est un vrai coup de foudre. Dans le film, ça ne dure pas plus de 30 secondes, mais le tournage nous a pris une journée entière, et nous avons dû faire 100 prises au total. A la fin, je me souviens que ma tête tournait, mais je ne pouvais pas m’asseoir. Kechiche a explosé de rage parce que j’ai ri lors d’une prise. Il était si furieux qu’il a jeté le combo sur la chaussée, hurlant qu’il ne pouvait pas travailler dans ces conditions.” (Léa Seydoux)

et ses méthodes musclées pour donner aux scènes le réalisme voulu…

“On a tourné [une scène de dispute] à 3 caméras, et on a joué sans s’arrêter pendant 30 minutes. Je devais la [Adèle Exarchopoulos] pousser contre une porte en verre et lui hurler dessus « Casse-toi maintenant ! ». Adèle a claqué la porte et s’est coupée, il y avait du sang partout, et elle pleurait, son nez coulait. Et Kechiche a dit « On n’a pas fini. On la refait ».” (Léa Seydoux)

LA question : “Accepteriez-vous de travailler à nouveau avec Abdellatif Kechiche ?”

Si elles reconnaissent qu’Abdellatif Kechiche est un génie, elles sont catégoriques sur le sujet. Pour Léa Seydoux, la réponse claque : “Plus jamais”. Adèle Exarchopoulos, elle, se montre plus nuancée (diplomate ?) : “Je ne pense pas”.

Même si les propos incendiaires contre Abdellatif Kechiche s’accumulent, et deviennent quasiment une figure imposée lorsqu’il s’agit de parler du cinéaste, ces déclarations surprennent tout de même tant elles prennent le contrepied des interviews cannoises des deux comédiennes. On vous laisse en juger en images avec cette vidéo réalisée par nos soins sur la Croisette.

Notre ITW de Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos à Cannes :

La Vie d’Adèle – Chapitres 1&2

Vincent Garnier avec The Daily Beast

Invité à se confier sur Le Divan de Marc-Olivier Fogiel, Lambert Wilson s’est remémoré avec émotion les dernières heures de la comédienne Marie Trintignant, décédée en 2003. Il était présent à son chevet, et ses proches lui ont même demandé de chanter pour elle.

Alors qu’« elle passait de l’autre côté », il l’a accompagnée en chantant. Lambert Wilson est revenu sur les dernières heures de la comédienne Marie Trintignant, morte en 2003 sous les coups de son compagnon, Bertrand Cantat. Interviewé mardi 12 avril par Olivier Fogiel dans Le Divan, l’acteur s’est remémoré ces souvenirs douloureux, et a révélé qu’il était présent jusqu’à la fin.

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Le drame avait secoué la France entière. Marie Trintignant avait été hospitalisée pendant l’été pour un œdème cérébral, causé par les coups de son compagnon, à l’époque toujours leader de Noir Désir. Elle était rapidement tombée dans le coma. C’est là que Lambert Wilson, ami de la jeune femme, lui avait rendu visite. « J’ai passé une première nuit à chanter pour elle à l’hôpital de Vilnius » a-t-il raconté à Fogiel. Un geste qui avait beaucoup ému Nadine Trintignant, la mère de Marie. « Quand les dernières heures, les dernier moments s’annonçaient, elle m’a fait revenir à l’hôpital, à Paris cette fois, s’est souvenu l’acteur. Elle m’a dit : ‘elle aimait tellement quand tu chantais.’ »

Le comédien est alors retourné au chevet de Marie Trintignant, et s’est mis à chanter. Pendant sept heures d’affilée, il ne s’est arrêté que pour s’assoupir de temps en temps. « Curieusement, l’oxygénation du sang remontait » a-t-il ajouté, précisant que les médecins ne pouvaient expliquer le phénomène. L’acteur, visiblement très ému, a alors avoué avoir eu une sorte de révélation : « J’ai alors compris ce que c’était d’accompagner les gens dans ce passage, qui ne me fait pas peur du tout. » Avant d’ajouter : « J’ai accompagné Marie (…). On peut dire que j’ai vraiment été là. »

Découvrez plusieurs photos du tournage du nouveau long métrage de l’Américain Larry Clark (“Kids”, “Ken Park”), “The Smell of us”, tourné cet été à Paris avec des comédiens français. Sortie prévue courant 2014.

© Sébastien Bossi

© Sébastien Bossi

© Sébastien Bossi

© Sébastien Bossi

Un extrait de “Marfa girl”, le dernier film de Larry Clark

Marfa Girl

NTM, le retour? Pendant quelques minutes, hier soir, à l’Olympia à Paris, les nostalgiques des premières grandes heures du rap français ont cru vivre un rêve. Venus assister au concert de JoeyStarr et Nathy, pour leur projet Caribbean Dandee, ils ont vu apparaître quelques minutes Kool Shen en fin de concert. Le temps de chanter trois morceaux, ils ont fait revivre le célèbre groupe NTM. Renversant!

JoeyStarr n’est pas qu’un simple acteur,ni même juste une star de la télévision. Non, dans le coeur de nombreux trentenaires (et plus), il est avant tout l’un des papes du rap français. Avec son compère Kool Shen, ils ont révolutionné cette musique, dès leurs débuts en 1988, jusqu’à leur dernière reformation en 2008, et les concerts qui ont suivis. Leur dernière scène commune date de 2010, au Parc de Princes, pour un concert resté dans les annales. Et depuis? Plus rien. Ensemble, plus aucune collaboration, quelques rares textos pour une amitié vieille de près de trente ans, mais rien de plus.

Que ne fut pas la surprise des fans venus hier assister au concert de JoeyStarr et Nathy, à l’Olympia. Après avoir écouté de nombreux titres de leur album commun Caribbean Dandee, celui qui ne laisse pas traîner (son) fils a fait monter sur scène son ancien camarade de jeu, et dans le même temps la température dans la salle de spectacle. Avant le concert, il avait d’ailleurs annoncé la bonne nouvelle sur son compte facebook.

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On a un invité ce soir. Ca vous rappelle quelque chose ou quoi ?!?

Posted by JoeyStarr onMonday, April 18, 2016

Sur les coups de 22h, comme à la belle époque, les deux membres de NTM ont remis la fièvre pendant quelques minutes dans une salle de l’Olympia survoltée. Avant cela, quelques titres avaient déjà réveillé les ardeurs du public. JoeyStarr, maître du clash et bête de scène, s’était entouré d’un ensemble guitare-basse-batterie-dj pour l’accompagner. Des accents rock qui entraînaient de nombreux premiers invités, tels que Oxmo Puccino, ou Louisy, l’ancienne chanteuse des L5 (ex-Popstar). Les tubes de NTM s’enchaînent, Ma Benz, Passe le oinj’, manière de rappeler au 1500 spectateurs présents les origines du maître de la soirée.

Jusqu’à l’apothéose, et cette reformation du duo pour 3 morceaux, dont une version mémorable de Seine-Saint-Denis Style mixé avec Smells Like Teen Spirit de Nirvana. Un moment qui donnait « des bulles au ventre » de JoeyStarr. Ce retour très années 90 est à consommer sans modération, grâce à cette vidéo publiée par un journaliste du Parisien.

A l’Olympia, NTM s’est reformé… quelques minutes .par leparisien

Après Nicolas Cage lundi, c’est à son partenaire de “Volte/Face”, John Travolta, que le Festival de Deauville a rendu hommage ce vendredi. Très ému, le comédien a même fait des remerciements en français ponctués par un “Je t’aime” envers le public.

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© Maximilien Pierrette – Allociné

Hommages du 39ème Festival de Deauville : suite et fin. Après Cate Blanchett, Nicolas Cage, Gale Anne Hurd et Larry Clark, John Travolta était ce vendredi la cinquième et dernière personnalité honorée par cette édition. Un hommage rendu par Lionel Chouchan, co-fondateur de la manifestation, qui a entamé son discours par une confession : “Si je suis sur cette scène, c’est parce que je suis devenu un fan total, une groupie”, a-t-il avoué devant les 1500 spectateurs présents. “Ça a commencé en 1976 avec Carrie au bal du diable, puis ça a empiré en 1977 avec La Fièvre du samedi soir et en 1978 avec Grease.”

“Un acteur d’une espèce rare”

Cette année-là, l’acteur “entre Fred Astaire et Robert Mitchum, ou entre Humphrey Bogart et John Wayne”, avait d’ailleurs fait son premier déplacement sur les planches. Revenu à plusieurs reprises depuis, John Travolta s’est donc vu honorer… en même temps qu’il a honoré le festival : “C’est un hommage que vous nous rendez plus qu’un hommage que nous vous rendons”, a déclaré Lionel Chouchan à celui qu’il considère comme “un acteur d’une espèce rare.” Quelqu’un capable de “mettre son nom, son talent, son cœur et son avion au service de causes humanitaires”, et dont la filmographie compte quelques pièces de choix.

“Bonne nuit Deauville. Je t’aime !”

Chauffés à blanc par les extraits de Pulp Fiction, La Fièvre du samedi soir, Grease ou Volte/Face, calés au sein du montage rétrospectif qui lui était consacré, les spectateurs ne se sont pas faits prier pour réserver à John Travolta la plus belle standing ovation de ce Festival. Et c’est d’un “Je t’aime” retentissant, et en français dans le texte, que le comédien a remercié le public. “Merci pour votre dévotion, qui est ma motivation pour continuer à faire des films”, a-t-il ensuite poursuivi, toujours dans la langue de Molière, avant de lancer la projection de Killing Season, non sans prendre le temps de poser avec son trophée, et de conclure avec un “Bonne nuit Deauville. Je t’aime.” Encore en français, oui.

Maximilien Pierrette

Cate Blanchett émue à son hommage…

… Nicolas Cage aussi…

… et Larry Clark en profite pour parler de son prochain film

John Travolta inaugure sa cabine de plage…

© Maximilien Pierrette – Allociné

© Maximilien Pierrette – Allociné

© Maximilien Pierrette – Allociné

© Maximilien Pierrette – Allociné

… et traque Robert De Niro dans Killing Season

Call it charity or a marriage of generosity and public cause, a retired headmistress has donated an acre of land worth Rs 4 crore for constructing government school buildings in Erode district. What is unique in her act is that it follows two similar gestures over two decades in the form of land for building hostels and a donation to upgrade a school.

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K Ponmanidevi, 80, wife of late Kumaranataraja Varadappan of Nallagoundampalayam village near Chitthode, started her career as a teacher in a government school in the district in 1964. After serving as a teacher for 32 years, she retired in 1996 as the headmistress of a government high school in Modachur in Gobichettipalayam taluk.

Inscrit sur Snapchat depuis peu de temps, Usher n’a pas perdu une minute pour y provoquer le buzz. Très fière de ses attributs, la star pose nue et déchaîne les passions.

Rappeur à succès et producteur de talent, Usher n’a plus vraiment besoin de faire parler de lui. Mais à 38 ans, son caractère taquin le rattrape. En phase avec son époque, il est inscrit sur tous les réseaux sociaux et plus récemment sur Snapchat. L’application permet d’envoyer des photos éphémères à ses contacts mais évidemment le petit jeu pour la presse est de réussir à capturer certains de ces clichés, parfois coquins. Usher l’a bien compris et c’est entièrement nu qu’il a inauguré son compte.

En introduction, le rappeur a fait faire, en vidéo, un tour de sa jolie maison californienne. Une visite très sage qui s’est prolongée jusque dans la salle de bain. Là, en direct depuis sa douche, l’interprète de My Boo en duo avec Alicia Keys, a immortalisé sa manière à lui de “se défouler” sous la douche. C’est ainsi qu’il commente sa pose suggestive dont la partie la plus intime est masquée par un smiley, un peu comme nous, sous le choc. Très à cheval sur l’hygiène, le séduisant Usher a offert à ses fans une longue session dans sa salle de bain. Après la douche, le jeune marié s’est filmé en train de se brosser les dents.

La star, pygmalion de Justin Bieber, a peut-être pris des leçons de la part de son élève. Le jeune Canadien qui ne s’embarrasse pas de pudeur, a lui aussi posé nu sur Snapchat il y a quelques mois. Alors qu’il croyait envoyer la photo en privé à certains de ses amis, le cliché très coquin de Justin, son membre en main, a inondé la Toile… Mauvais buzz ou nouvelle chance de se faire remarquer? Le blondinet ne s’est finalement pas privé de recommencer quelques jours plus tard sur Instagram.

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