Death Wish : de Stallone à Bruce Willis, retour sur la production mouvementée de ce remake

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A l’occasion de la sortie de “Death Wish”, vigilante movie réalisé par Eli Roth et emmené par Bruce Willis, retour sur la genèse de ce projet de longue date.

Remake d’Un justicier dans la ville (1974) porté par Charles Bronson et adapté librement du roman “Death Wish” de Brian Garfield, Death Wish d’Eli Roth est un projet de longue date à l’historique de production mouvementé. C’est en effet en 2006 que le long métrage, sorti cette semaine dans les salles françaises, est évoqué pour la première fois. A cette époque, Sylvester Stallone était pressenti pour incarner le personnage principal mais l’acteur renonça rapidement pour cause de divergences artistiques. Il voulait que le rôle-titre, Paul Kersey, soit un policier intègre au palmarès impressionnant, sans pour autant en faire un adepte des armes à feu.

En 2012, le projet a refait surface avec Joe Carnahan à la réalisation ainsi que Liam Neeson et Frank Grillo (avec lesquels il venait de travailler sur Le Territoire des loups) au casting. Finalement, le cinéaste a quitté le navire pour plusieurs désaccords avec la Paramount (comme par exemple le fait que le studio voulait Bruce Willis). Un certain Gerardo Naranjo (Miss Bala) l’a alors remplacé en ayant en tête de choisir Benicio Del Toro dans le rôle principal, lequel refusa la proposition, entraînant par la même occasion le départ du réalisateur. Aharon Keshales et Navot Papushado ont ensuite été annoncés à la mise en scène, avec Willis dans le rôle-titre, mais les auteurs de Big Bad Wolves se sont eux aussi désistés… Et c’est finalement Eli Roth qui a été choisi.

Durant ce long processus de production, les acteurs considérés pour se glisser dans la peau du héros du film ont été, en plus de Neeson et Del Toro, Russell Crowe, Matt Damon, Will Smith et Brad Pitt.

Joe Carnahan, ayant par le passé signé un premier jet du scénario qui n’a pas été conservé, a déclaré en décembre 2016 regretter que son histoire ait été à ce point réécrite : “Le tournage se déroule en ce moment, ils filment une version de mon scénario avec Bruce Willis à Montréal ou peut-être à Chicago, je ne suis pas sûr. (…) J’ai aperçu ce scénario, qui devait être une ré-invention du mien, et je serais bien moins sympa si je le commentais. Je pense qu’ils ont exactement ce qu’ils voulaient, et ce n’était pas ce qui m’intéressait. C’est vraiment un bon scénario”. 

Le réalisateur avait par ailleurs précisé, au même moment, qu’il comptait remanier son script pour en faire un film pourvu de son identité propre : “Ça ne fait pas un pli, et je pense attendre quelques années et revenir à ce script car je crois qu’en terme de film de genre et de vigilante movie c’était vraiment cool. Une bonne partie du film se déroulait à Los Angeles. C’était beaucoup plus proche d’un film de Michael Mann et d’un Collatéral que d’un film avec Bronson.”

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Voir les secrets de tournage de “Death Wish”

Un justicier dans la ville Bande-annonce VO

 

Three Killed In Grenade Attack On Religious Gathering By Bike-Borne Assailants In Amritsar

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Three people were killed and at least eight were injured in a blast at Adliwal village near Amritsar on Sunday. According to reports, the incident happened during a religious ceremony of Nirankari sect that was being held in Nirankari Bhawan. Sources said that two motorcycle-borne youth threw a grenade at the followers of the Nirankari sect.

“Some incident of grenade throwing has reportedly happened, the police force has been rushed to the spot. We are yet to get complete information,” said SPS Parmar, IGP, border range.Click Here: new zealand rugby team jerseys

Moustache, promo et mea culpa…. Henry Cavill revient sur l’expérience Justice League

Henry Cavill, l’interprète de Superman, est revenu sur l’expérience “Justice League”, évoquant au micro d’Empire “l’affaire” de la moustache, la promotion du film et l’accueil plutôt tiède réservé par le public.

Six mois après la sortie en salles de Justice League, l’acteur britannique Henry Cavill s’exprime sur cette aventure super-héroïque qui a fait couler beaucoup d’encre. Au micro d’Empire, dans des propos rapportés par le site Comicbook.com, l’interprète de Superman revient ainsi sur “l’affaire” de la moustache, l’aspect promotionnel du film et l’accueil plutôt tiède réservé par le public.

Concernant le “Moustachegate” de Justice League (arborée pour Mission: Impossible – Fallout, la moustache de l’acteur fut ensuite effacée numériquement, de manière pas franchement heureuse, pour des reshoots de Justice League), Cavill déclare : “J’étais un peu surpris. Quand on a décidé de me laisser pousser la moustache, je ne pensais vraiment pas que les choses allaient ensuite se passer ainsi, que les reshoots de Justice League allaient être aussi importants.” 

Et Cavill de poursuivre : “J’étais alors en plein milieu d’un autre film, et changer de look pour Justice League, qui était censé être terminé, est devenu un vrai problème. Quand Mission: Impossible – Fallout sortira, vous réaliserez que porter une fausse moustache n’était pas possible. Vous vous direz que ça aurait peut-être tout gâché. Malheureusement, ces retouches numériques ont causé beaucoup de trouble quand Justice League est sorti, mais c’est comme ça. On ne peut pas gagner à tous les coups.”

Henry Cavill dit adieu à sa moustache, et ça le fait un peu déprimer

Henry Cavill s’est ensuite exprimé sur la promotion de Justice League, qui avait mis en avant son personnage de Superman alors que le mystère aurait du, selon lui, être conservé. “L’idée de m’inclure dans la promotion était un peu ridicule, et je pense honnêtement que tout le monde en a été conscient”, déclare le comédien à Empire, propos relayés par Comicbook.com. “Bien sûr que si je fais la promo, c’est que je suis dans le film. Les gens l’ont su et ça a changé leur conception du film. Pour le public, je voulais garder un peu de mystère. Aujourd’hui, c’est important qu’il y ait une part de mystère dans les films.”

Enfin, l’acteur de 35 ans ans revient brièvement sur l’accueil tiède réservé par le public à cette Justice League. “Je pense qu’il y a une place et un moment pour chaque chose”, déclare-t-il dans des propos toujours rapportés par Comicbook.com. “Il y a beaucoup de raisons pour lesquelles le public a réagi ainsi. On a tiré les leçons de nos erreurs.”

Justice League a réuni plus d’1,7 million de spectateurs dans l’hexagone, rapportant près de 658 millions de dollars de recettes dans le monde.

Henry Cavill porte la fameuse moustache dans “Mission: Impossible – Fallout” :

Mission Impossible – Fallout Bande-annonce (2) VO

 

Grenades Made By Pakistan Army Factory Could Have Been Used In Amritsar Blast That Killed Three

The grenade used to target the Nirankari congregation at Adliwal village near Amritsar was similar to the ones manufactured by the Pakistani army ordnance factory, the initial probe into the blast has suggested.

Punjab chief minister Captain Amarinder Singh on Monday said the attack had Pakistan’s signature.

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AFP

“Prima facie, this appears to be an act of terror by separatist forces, organised with the involvement of ISI-backed Khalistani or Kashmiri terrorist groups,” Singh said.

Les 3 meilleurs films de la semaine selon la presse (16.05.2018)

Pour vous aider à faire vos choix, voici les 3 films de la semaine les mieux notés par la presse sur AlloCiné !

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1er : Senses 5

Note moyenne presse* : 4.0 / 5 

Senses 5
De Ryusuke Hamaguchi

Note moyenne de la presse :

4,0

Critiques Presse

Critiques spectateurs

“Par-delà ses beautés diverses, “Senses”, le superbe film/série de Ryusuke Hamaguchi, présente quelque chose comme une méthode approfondie d’apprentissage du regard et de l’écoute, comme si l’on y atteignait soudain, pour la première fois depuis trop longtemps, un état de pleine conscience.” Par Jérémy Piette (Libération)

“OVNI cinématographique ou naissance d’un auteur ? Le film de Ryusuke Hamaguchi est en tout cas un bel objet filmique, délicatesse de narration, et dont la (relative) longueur renforce le pouvoir d’attraction.” Par Gérard Crespo (aVoir-aLire.com) 

2ème : En Guerre
Note moyenne presse* : 3.9 / 5
 

En Guerre
De Stéphane Brizé

Note moyenne de la presse :

3,9

Critiques Presse

Critiques spectateurs

“Stéphane Brizé, s’éloignant du documentaire et défiant le simplisme idéologique toujours en embuscade, décuple la force d’une mise en scène qui certes ne s’embarrasse pas de doutes. Jusqu’à un épilogue choc qui, lui, n’a pas fini de faire parler.” Par Christophe Caron (La Voix du Nord)

“Stéphane Brizé raconte tout en disséquant. Sans caricaturer. Sans pointer personne du doigt. Juste accuser un état de fait, constater un drame humain. Et avec le talent inouï de faire du cinéma avec la réalité sans jamais trahir celle-ci.” Par Christophe Carrière (L’Express) 

3ème : Manhattan stories
Note moyenne presse* : 3.3 / 5

Manhattan stories
De Dustin Guy Defa

Note moyenne de la presse :

3,3

Critiques Presse

Critiques spectateurs

“Si Manhattan stories n’échappe pas à certains tics du cinéma indépendant américain et se révèle inégal, il charme néanmoins par sa chronique tendre d’une journée émaillée de moments embarrassants et finalement d’événements marquants dans un New York automnal joliment filmé.” par Corinne Renou-Nativel
(La Croix)

“Une mini-comédie humaine pleine de saveur dont l’immédiateté et la finesse font une des meilleures chroniques récentes de la vie new-yorkaise.” par Vincent Ostria (L’Humanité)

* Selon les notes presse du baromètre AlloCiné, à la date du vendredi 18 mai 2018, et pour des films sortis le 16 mai ayant au moins 10 critiques.

Spider-Man Homecoming : Jake Gyllenhaal sera-t-il le méchant de la suite ?

Après avoir failli incarner Spider-Man dans le deuxième long métrage réalisé par Sam Raimi, Jake Gyllenhall pourrait… affronter l’Homme-Araignée, dans la suite de “Homecoming” où il incarnerait le méchant Mysterio face à Tom Holland.

À force de se tourner autour, Spider-Man et Jake Gyllenhaal devaient bien finir par se rencontrer un jour. Et ce sera peut-être dans la suite d’Homecoming puisque l’acteur, nommé aux Oscars pour sa performance dans Le Secret de Brokeback Mountain, est en négociations pour incarner le méchant Mysterio face à Tom Holland, dans le long métrage attendu le 10 juillet 2019 dans nos salles, comme le rapporte The Hollywood Reporter. Il succéderait ainsi à Michael Keaton, le Vautour du premier volet (qui peut toujours réapparaître car envoyé en prison à la fin du récit), et intégrerait enfin une aventure de l’Homme-Araignée sur grand écran.

Car Jake Gyllenhaal a bien failli prêter ses traits à Peter Parker en remplaçement de Tobey Maguire, blessé au dos et pas certain de pouvoir rempiler pour le Spider-Man 2 de Sam Raimi. Alors compagnon de Kirsten Dunst, interprète de Mary Jane Watson, l’acteur avait même entamé sa préparation physique lorsque le titulaire du rôle a officialisé son retour et conservé la tenue rouge et bleue jusqu’en 2007. Son ex-futur remplaçant a quant à lui flirté avec les super-héros à plusieurs reprises, et notamment Batman puisqu’il a été l’un des candidats pour évoluer devant la caméra de Christopher Nolan, alors que des bruits de couloir plus récents parlent de lui pour succéder à Ben Affleck.

Mais c’est bien chez Marvel et Spider-Man qu’il pourrait faire ses premiers pas dans le genre, en permettant à l’un de ses adversaires iconiques de faire ses débuts en chair et en os, sur grand écran. Jadis évoqué pour être de Sinister Six, projet avorté de spin-off sur le groupe de méchants homonyme, Mysterio est né sur papier en juin 1964. Il a depuis endossé plusieurs identités et également affronté Daredevil, mais ses pouvoirs sont restés les mêmes puisque ce spécialiste des effets spéciaux est passé maître des illusions et s’est révélé être un ennemi particulièrement retors et insaisissable.

Que Jake Gyllenhaal s’empare ou non du rôle, Mysterio semble très bien parti pour enfin s’illustrer sur grand écran, dix ans après l’abandon du Spider-Man 4 de Sam Raimi dans lequel il devait avoir les traits de Bruce Campbell. Et il marcherait ainsi dans les traces du Vautour de l’épisode précédent, confirmant ainsi que l’idée du réalisateur Jon Watts et ses scénaristes est d’opposer à Peter Parker des antagonistes qui se reposent sur la technologie plus que sur des super pouvoirs. Un héros qui sera de nouveau incarné par Tom Holland dans une aventure qui devrait entraîner le jeune homme en Europe… une fois qu’il sera remis des événements d’Avengers 3 et 4.

Avengers: Infinity War Bande-annonce VO

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Décès de Pierre Bellemare : au cinéma, c’était le patron de OSS 117

Grand homme de télévision et de radio, Pierre Bellemare s’était également illustré au cinéma, notamment dans “OSS 117 : Rio ne répond plus” et “Les Tuche”.

1. Pierre Bellemare (1929-2018)
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© Coadic Guirec / Bestimage

Homme de radio et de télévision au timbre inoubliable, écrivain à succès à travers ses innombrables recueils de dossiers et histoires extraordinaires, Pierre Bellemare s’est éteint ce samedi 26 mai à l’âge de 88 ans. Durant plus de six décennies, il aura marqué les ondes et le télé-achat de son empreinte, tout en s’offrant quelques apparitions savoureuses sur grand écran.

Pierre Bellemare dans OSS 117 : Rio ne répond plus

 

En 2009, il est ainsi le supérieur d’Hubert Bonisseur de la Bath dans OSS 117 : Rio ne répond plus (dont nous vous proposons un extrait savoureux dans le player ci-dessus). Deux ans plus tard, il s’offre une courte apparition en maire de Bouzolle dans Les Tuche, où il se plaint de chaussettes sales accrochées sur l’arbre de Noël municipal. En 2015, il apparaissait dans Plus Belle La Vie où il trinquait en terrasse du Mistral avec Wanda Legendre. Notons également ses petits rôles chez Raoul Ruiz (Trois vies et une seule mort), Yves Robert (Alexandre le bienheureux) et dans le documentaire musical Cherchez l’idole.

Pierre Bellemare s’était également essayé à l’écriture de scénario avec Match contre la mort (1959), dans lequel un jeu télévisé (qu’il anime à l’écran) tourne au thriller quand le fils d’un couple de candidats est enlevé et que la rançon doit être gagnée dans le cadre du jeu.

 

 

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Mon Ket : comment François Damiens a-t-il pu filmer autant de gens à leur insu ?

A l’occasion de la sortie de “Mon Ket”, première réalisation de François Damiens, gros plan sur le dispositif de caméra cachée au cœur de cette comédie déjantée.

Pour la comédie Mon Ket, son premier long métrage en tant que réalisateur, François Damiens a opté pour un dispositif particulier mais qu’il connaît bien : tourner le film sous forme de sketchs en caméra cachée. Un principe favorisant l’authenticité des situations, et accentuant leur aspect comique, comme le comédien belge l’explique : “Ça donne souvent de très grands moments, partant du principe que l’on ne peut pas être plus juste, plus réel que ce qu’on est dans la vie… Je trouvais intéressant de pousser l’exercice à un récit de long métrage.”

1. UNE GRANDE MAJORITÉ DE GENS PIÉGÉS 

Il y a trois types d’acteurs dans Mon Ket : les comédiens professionnels, les amateurs et les gens piégés par les caméras qui n’ont jamais joué de leur vie. La première catégorie est composée de Damiens et Tatiana Rojo (qui incarne sa femme), la seconde de Mattéo Salomone (le fils), Christian Brahy (le parrain) et Nancy Sluse (la deuxième femme) et pour finir la troisième, la plus nombreuse, qui englobe tous les autres. En ce qui concerne Rojot, Salomone, Brahy et Sluse, le réalisateur leur a donné quelques vagues indications sur ce qui allait se passer pendant le tournage de leurs scènes. Mais tous les anonymes ne savaient rien. 

“Cela représente tout de même environ 25 personnes qui n’étaient au courant de rien, filmées à leur insu et dont il a fallu gérer les réactions, évidemment totalement improvisées ! Rien n’était classique dans ce projet : le scénario ne faisait pas plus d’une trentaine de pages et les dialogues étaient juste au stade de quelques idées jetées sur le papier avec Benoît Mariage… Je n’ai jamais emmené ce scénario avec moi sur le tournage car j’avais exactement en tête depuis trois ans ce que je voulais faire. Je voulais garder de la fraîcheur…”, raconte le cinéaste.

Damiens et son équipe ont rencontré 600 personnes et tourné pas loin de 650 heures pour ne garder que quinze personnes au final.

2. CHANGEMENT DE LOOK POUR PASSER INCOGNITO

L’une des contraintes les plus évidentes liées au dispositif voulu par Damiens provient de la notoriété propre à ce dernier. Ainsi, pour éviter de se faire reconnaître lors du tournage et parvenir à piéger les gens, le metteur en scène se faisait maquiller durant quatre heures et ce chaque jour : prothèses dentaires, décolleurs d’oreilles, faux ventre, fausses cuisses, etc. Un rituel nécessaire mais très contraignant qui, en plus, n’était pas idéal pour la peau, dans la mesure où les solvants utilisés étaient en contact avec les yeux et la bouche. Damiens ajoute : 

“C’est en effet le gros écueil de la caméra cachée : quand vous êtes reconnu, vous devez jeter la prise à la poubelle et quand vous pensez avoir été reconnu, ça fausse le jeu et ça plombe la scène… C’est comme raconter une blague à quelqu’un en se demandant s’il ne connaît pas déjà la chute ! Et puis autre élément important : dans les caméras cachées, si je jouais un guichetier de péage refusant d’ouvrir la barrière ou piquant une carte bleue, c’est moi qui menait la situation. Là, j’étais en quelque sorte le client, soumis à la réaction des piégés qui pouvaient ou pas jouer le jeu. Je dirais que 8 fois sur 10 ça a bien fonctionné pour Mon Ket…”

3. UN DISPOSITIF TECHNIQUE LOURD À INSTALLER

La présence de caméras cachées n’a pas pour autant facilité les choses pendant un tournage qui a, au final, nécessité un dispositif particulièrement lourd à mettre en oeuvre. Damiens a ainsi dû gérer une équipe pouvant dépasser les quarante personnes et composer avec une logistique très pesante : l’installation des caméras (il y en avait sept pour chaque scène) et des micros bien sûr, mais aussi le fait que les personnes piégées ne devaient pas se croiser quand l’équipe de tournage était contrainte de refaire une séquence qui n’avait pas fonctionné… Le metteur en scène développe :

“Il faut donc faire de vrais et longs repérages, discuter avec les responsables des lieux, (comme ceux de l’hôpital par exemple) qui, au premier rendez-vous, sont très sympathiques mais qui changent vite d’humeur en se rendant compte du dispositif à installer ! Au final, j’ai pu compter sur une équipe formidable et compréhensive, composée de mes collaborateurs habituels, avec qui je travaille en caméra cachée depuis une dizaine d’années, et des techniciens de cinéma. Il a parfois fallu arrondir les angles mais après quelques soirées, tout le monde a fini par se parler et bien se connaître !”

Voir les secrets de tournage de “Mon Ket”

Petite leçon de caméra cachée avec François Damiens

 

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Wildlife Near Greater Noida Is In A Vulnerable Condition, Officials Demand Smooth Shifting

The forest office of Gautam Budh Nagar has written to Yamuna Expressway Industrial Development Authority (YEIDA), asking it to be sensitive towards the wildlife present at the site earmarked for the Jewar airport project. Though there is no official figure, environmentalists say the area is a habitat for animals like blackbucks, nilgai and peacocks.

The forest department claims that physically relocating the animals is not an option but YEIDA has to take care to ensure smooth migration of the animals from the project site to other areas during construction of the airport at Jewar.

wildlifedestination/Representational Image

Le Book Club en 5 vidéos : comment ce film porté par Jane Fonda et Diane Keaton est-il né ?

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Quand des actrices mythiques se retrouvent dans un film pour parler 50 Nuances de Grey, ça donne “Le Book Club”, le 6 juin au cinéma. Retour sur la genèse du projet.

De quoi ça parle ?

Quatre amies de toujours se retrouvent, comme chaque semaine, au sein de leur club de lecture, lorsque l’une d’entre elles propose de découvrir ‘’50 nuances de Grey’’ ! Elles ont réussi leur vie et elles comptent bien continuer à en profiter, et vivre de nouvelles expériences ! Célibataire depuis peu, Diane va connaître le coup de foudre. La toujours séduisante Vivian retrouve un amour passé. Sharon découvre les sites de rencontre sur internet. Et Carol essaie de redonner du piment à son couple. En ravivant la flamme ou en vivant une nouvelle aventure amoureuse, chacune d’elles va écrire le nouveau chapitre de sa vie. Peut-être le meilleur…

Le Book Club EXTRAIT VO "18 années de bonheur"

Dans notre société, comme à Hollywood, on fait face à un jeunisme exacerbé, c’est-à-dire cette idée selon laquelle, passé un certain âge, on ne sert plus à grand-chose. Oublions la société. Si vous pensez que s’ouvre un nouveau chapitre de votre vie, le seul obstacle que vous aurez à franchir, c’est votre mentalité“. C’est de ce postulat qu’est parti Bill Holderman, réalisateur, co-scénariste et producteur du Book Club. Un thème qu’il connaît bien puisqu’il a signé le scénario de Randonneurs Amateurs sorti en 2014 dans lequel Robert Redford et Nick Nolte nous prouvent qu’on n’est jamais trop vieux pour vivre de nouvelles aventures. Malheureusement, son idée de film se heurte à des producteurs qui souhaitent un casting plus jeune. Holderman insiste malgré tout pour avoir un groupe de sexagénaires, incarnées par des actrices légendaires. A l’aide de sa co-scénariste et co-productrice Erin Simms, il peut lancer l’aventure Le Book Club.

Le Book Club EXTRAIT VO "Notre nouveau livre"

Quand le duo rédige le scénario, la trilogie érotique 50 Nuances de Grey est un succès en librairie mais n’a pas encore été adaptée au cinéma. C’est Erin Simms elle-même qui a eu l’idée de mettre en scène des femmes d’un certain âge lisant ce roman lorsque Bill Holderman a offert à sa mère la saga littéraire de E.L. James pour la fête des mères. Et pour éviter toute mésentente avec l’auteure, les scénaristes préfèrent d’abord limiter la mention des livres dans le scénario… avant d’avoir l’accord d’E.L. James, qui l’a même adoré !

Le Book Club EXTRAIT VO "Rendez-vous"

Durant le processus d’écriture, Bill Holderman n’avait qu’un nom en tête : Diane Keaton. Il avoue même avoir écrit le film pour elle ! Fort heureusement pour lui, l’actrice a accepté sans aucune hésitation… ce qui n’a pas été le cas de Jane Fonda, plus difficile à convaincre. Lorsque le duo lui propose un personnage de femme forte et sexuellement épanouie malgré son âge, elle accepte. Le casting du Book Club est d’ailleurs assez incroyable puisqu’on y compte l’oscarisée Mary Steenburgen, Candice Bergen (nommée aux Oscars) mais aussi Craig T. Nelson (cité aux Golden Globes), Andy Garcia (nommé aux Oscars), Don Johnson (lauréat d’un Golden Globe), Richard Dreyfuss (acteur oscarisé), Ed Begley Jr (cité aux Golden Globes) … Une belle distribution pour un premier long-métrage ! 

Le Book Club EXTRAIT VO "Vol au-dessus de l'Arizona"

Après plusieurs années de développement, Le Book Club sort enfin au cinéma, plus précisément le 6 juin en France. Un timing parfait selon Jane Fonda, qui a expliqué dans notre interview (à découvrir ci-dessous) : “Les mouvements Me Too et Time’s Up vont amener à des changements majeurs, même s’il est trop tôt pour le voir. Ce n’est pas surprenant que le Book Club sorte maintenant, il y a un public pour ce film et un besoin de films centrées sur des femmes.”

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Bienvenue au Book Club !