Bande-annonce Je ne suis pas un homme facile : le macho Vincent Elbaz propulsé dans un monde dominé par les femmes

Avec “Je ne suis pas un homme facile”, à découvrir dès le 13 avril sur Netflix, la réalisatrice Eléonore Pourriat nous invite à échanger les rôles entre hommes et femmes afin de pointer du doigt l’absurdité de notre société.

En 2010, Eléonore Pourriat mettait en ligne un court-métrage intitulée Majorité opprimée où les femmes sont au pouvoir et les hommes subissent humiliation sur humiliation. Le but ? Faire comprendre que les deux sexes sont égaux et mettre un terme à notre société patriarcale. Quatre ans plus tard, ce court film rencontrait un fort succès à l’internationale. Assez pour taper dans l’oeil de Netflix ? Car la réalisatrice revient cette année avec Je ne suis pas un homme facile, que le géant américain distribuera exclusivement à l’échelle mondiale.

Un beau coup de pub pour le cinéma français et pour cette anti rom-com qui se fait le prolongement dudit court-métrage : on y suit Damien, un Don Juan célibataire joué par Vincent Elbaz qui se retrouve propulsé dans une société matriarcale où il tombe amoureux d’Alexandra (Marie-Sophie Ferdane), femme puissante et croqueuse de jeunots.

Comme nous le montre cette bande-annonce, Je ne suis pas un homme facile s’amuse des codes avec malice, pour taper là où ça fait mal (les hommes sifflés dans la rue, obligés de porter des tenues moulantes, de s’épiler pour plaire, voire même de s’essayer aux prothèses…). Un long-métrage qui souhaite sensibiliser et faire réagir en utilisant l’humour… Dans le reste de la distribution nous retrouvons aussi l’actrice-humoriste Blanche Gardin et Pierre Bénézit (qui tenait l’un des rôles principaux du court-métrage).

Un film à découvrir le 13 avril sur Netflix.

This Trans Woman From Malda Will Finally Tie Knot After A Six-Year-Long Struggle

The wait is over for Jaya, who is set to begin a new life with Raju. What makes their union remarkable is that Jaya is a transgender and it will be the first such marriage in North Bengal after the Supreme Court verdict on IPC Section 377.

Jaya and Raju, who have been in a relationship for six years, placed their application before the marriage registrar on Tuesday and expect to get their certificate within a month.

However, the journey was never easy for Jaya, who was born ‘Joy’ into a farmer’s family in South Dinajpur’s Belbari village.

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Two Years After Demonetisation, MP’s First Cashless Village Goes Back To Being Cash Only

For Badjhiri, two years after it won the tag of first digital village in the state, it is back to square one. Cash transactions are the usual thing in the village again like it was before it became a ‘digital village’.

Badjhiri in Bhopal district was adopted by Bank of Baroda (BoB) immediately after demonetisation on November 8, 2016, claiming that it was the state’s first digital village.

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Bruce Lee : connaissez-vous l’histoire autour du Jeu de la mort, son film inachevé ?

Ressorti dans nos salles en version restaurée, “Le Jeu de la mort” est officiellement le dernier long métrage mettant Bruce Lee en scène. Mais connaissez-vous toute l’histoire de ce film marqué par la mort de la star pendant son tournage ?

Le 20 juillet 1973, la nouvelle prend les cinéphiles et amateurs d’arts martiaux de court : Bruce Lee meurt à l’âge de 32 ans dans des circonstances mystérieuses, même si la version officielle évoque un oedème cérébral. Outre de nombreux fans en deuil, il laisse également un film inachevé : Le Jeu de la mort. Un long métrage mis en scène par ses soins dont le tournage débute fin août 1972 et qu’il interrompt en octobre, afin de mettre Opération Dragon en boîte. Les prises de vues doivent alors reprendre moins d’un an plus tard, en septembre 1973, mais le destin condamne ce projet dont ne subsistent que cent minutes de rushes, prises ratées et scène au cours desquelles le Petit Dragon officie derrière la caméra incluses.

De ce long métrage, le plus ambitieux de la carrière de l’acteur, il ne resta longtemps qu’un fantasme et un pitch : celui de l’histoire d’Hai Tien, champion d’arts martiaux à la retraite contraint d’affronter une série d’adversaires dans une pagode de cinq étages, avec un maître par niveau. Un postulat dont on retrouvera des traces dans une poignée de jeux vidéo (les beat’em all type “Streets of Rage” et “Double Dragon” en tête) et au cinéma, l’exemple le plus récent et frappant, dans tous les sens du terme, étant The Raid, qui reprend notamment cette idée d’unité de lieux et de paliers à franchir.

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The Raid Bande-annonce VF

Et tandis que beaucoup rêvent de voir ce Jeu de la Mort, le metteur en scène d’Opération Dragon Robert Clouse se charge de le réaliser. Quitte à remanier (pour ne pas dire saccager) tout ce qui avait été fait auparavant, à commencer par le scénario : exit le champion d’arts martiaux à la retraite Hai Tien au profit de Billy Lo, star du cinéma d’action qui refuse de travailler pour le Syndicat du Crime de Hong Kong et reçoit une balle en plein visage. Laissé pour mort, il doit en réalité subir une lourde opération de chirurgie esthétique, ficelle scénaristique XXL bien pratique car permettant de recouvrir le visage du personnage principal de bandages, avant de lui coller une barbe bien fournie.

Pour le spectateur, le jeu consiste alors à deviner sur quels plans il ne s’agit pas de Bruce Lee, ce qui s’avère assez facile : Robert Clouse n’a conservé que quinze des quarante minutes dans lesquelles il apparaissait. Le reste du temps, il s’agit d’une doublure pas franchement ressemblante, Kim Tai Chung, cachée sous des bandages ou une barbe, quand elle n’est pas filmée de loin et/ou de dos, voire dans la pénombre, avec ou sans lunettes fumées. La palme du trucage le plus voyant revient cependant à cette scène où le visage du Petit Dragon a été collé sur le visage de son remplaçant, à une époque où ce type d’effet spécial était aussi rare que facile à rater.

Sorti en France le 23 août 1978, Le Jeu de la Mort devient un objet de fascination à plus d’un titre. Parce qu’il s’agit tout d’abord des quinze dernières minutes dans lesquelles Bruce Lee apparaît au cinéma. Ou plutôt les dix dernières, auxquelles quatre minutes de plans issus d’autres films (dont La Fureur du Dragon et son célèbre combat contre Chuck Norris) ont été ajoutées. Sans vergogne aucune, le long métrage intègre des images de son vrai enterrement pour les besoins des fausses obsèques de Billy Lo, alors qu’il est laissé pour mort. Mais c’est aussi parce qu’il constitue le chef-d’oeuvre de la “Brucesploitation” qu’il fascine autant.

Comme le nom peut le laisser deviner, la “Brucesploitation” regroupe tous ces films d’arts martiaux à petit budget qui ont voulu faire du Bruce Lee à la place de Bruce Lee, après la mort tragique de ce dernier. Et ce quitte à prendre un nom qui ressemble au sien, histoire que l’illusion soit totale. Presque totale. Car si certains s’en sortent sur le plan phonétique, il ne faut pas longtemps pour démasquer les imposteurs que sont Bruce Li, Bruce Le, Bruce Ley, Bruce Lai, Brute Lee, Bruce K. L. Lea, Lee Bruce ou encore ce Bronson Lee, qui tente au passage de surfer sur la popularité post-Justicier dans la ville de Charles Bronson, en associant moustache et arts martiaux. Autant d’aspirants héritiers dont Escale à Nanarland vous présente les visages.

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Malgré son scénario grandement modifié (et qui a alimenté les rumeurs selon lesquelles Bruce Lee avait été assassiné par les Triades, comme son personnage dans le film), Le Jeu de la Mort est aussi célèbre pour de bonnes raisons… qui s’étendent sur une bonne dizaine de minutes : celles dans lesquelles la star d’Opération Dragon est présente, avec son célèbre survêtement jaune. Il s’agit des combats contre Dan Inosanto, Ji Han-Jae et – surtout – Kareem Abdul-Jabbar, basketteur qui culmine à 2m18, soient 41 centimètres de plus qu’un Petit Dragon qui n’a jamais aussi bien porté son surnom.

Un affrontement mythique, initialement envisagé comme le dernier du film original et dont la pop culture n’a pas tardé à s’emparer. Avec beaucoup de respect et cette idée de passage de flambeau du côté de Jackie Chan (dont l’avènement mettra fin à la Brucesploitation) qui le diffuse sur un écran et s’en sert pour vaincre ses deux ennemis géants dans Niki Larson en 1993. Ou de façon parodique, comme lorsque Rush Hour 3 rejoue la scène en inversant le rapport de force (l’afro-américain Chris Tucker et son 1m85 y viennent aux mains avec le basketteur asiatique Sun Ming Ming, haut de 2m36), ou que Ramzy Bedia enfile son plus beau déguisement de Kareem Abdul-Jabbar pour se défaire d’un adversaire dans La Tour Montparnasse infernale.

Un ennemi qui revêt ce survêtement jaune et noir devenu iconique et auquel Quentin Tarantino et Uma Thurman rendent un hommage flamboyant grâce au premier volume de Kill Bill, sorti l’année du trentième anniversaire de la mort de Bruce Lee, en 2003. Désormais indissociable du Jeu de la Mort et de son défunt interprète, la combinaison avait à la fois un côté pratique (car assez souple pour ne pas gêner l’artiste dans ses mouvements) et symbolique : en plus de bien souligner le fait que son personnage ne pratiquait aucune forme connue d’arts martiaux, elle lui permettait aussi de mettre en avant sa pensée selon laquelle “il n’est pas nécessaire de porter l’uniforme traditionnel pour être un combattant efficace.”

Une tenue que vous pouvez admirer dans toute sa splendeur sur grand écran, grâce aux salles qui diffusent Le Jeu de Mort, ressorti en version restaurée au même titre que Big Boss, La Fureur de vaincre et La Fureur du Dragon. Mais pas dans la suite tournée huit ans après la mort de Bruce Lee et dont la bande-annonce promet son retour “pour un dernier lever de rideau dramatique”, “en action dans des scènes jamais dévoilées auparavant.” Il s’agit en réalité de séquences mettant Kim Tai Chung en scène, auxquelles ont été ajoutées quelques images du Petit Dragon pour faire croire à sa présence dans ce long métrage qui renoue avec les bon vieux trucages du premier opus : personnage principal de dos puis dans la pénombre, lorsqu’il a bien pris soin de casser l’ampoule qui éclaire la pièce avant de se retourner. Encore une fois, on y voit que du feu. Ou presque.

Dans la brume, Les Dents de la mer…: ne regardez pas ces films si…

Vous êtes incommodé par la fumée, enceinte, affamé, sur la paille ? Amoureux de la mer, de l’avion ou parisien dans l’âme ? Attention ! Il y a des films que vous ne devez absolument pas regarder …

Incommodé, allergique à la fumée ? Ou même fumiphobe (oui ça existe!) ? Evitez…

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Dans la brume

Un film haletant…

Un couple dans un appartement parisien. Dans cet appartement, une bulle dans laquelle vit leur fille, atteinte d’une maladie incurable. Hors de cet appartement, une brume étrange qui décime les passants et envahit peu à peu la ville. Comment y survivre et surtout comment libérer leur fille doublement menacée de mort ? Sous ses allures de The Mist à la française, ce film de science fiction emmené par un Romain Duris héroïque, vous embarque dans une course contre la montre aussi palpitante qu’oppressante.

… et pour vos bronches quelque peu étouffant

Le moindre nuage de fumée vous indispose? La claustrophobie vous guette? Evitez de plonger aux côtés de Duris et Kurylenko dans cette mise en abîme de l’enfermement parisien “à tous les étages”. Omniprésente dans le film comme sur le plateau, la fumée a d’ailleurs donné des sueurs froides aux comédiens eux-mêmes, évoluant constamment sous masques à gaz et dans une atmosphère confinée, indistincte, suffocante….

Allez jetez tout de même un oeil à la bande-annonce :

Dans la brume Bande-annonce VF

 

Medical Shocker! Doctors Make Peon Stitch Wound Of Injured Patient In Haryana Hospital

In a shocking case of medical apathy, a Class IV employee at a government hospital in Rohtak, Haryana was seen attending a patient.

In a video, which was shot by a friend of injured patient, the peone is seen stitching the patient’s wound, while there was doctors around.

The incident happened in the Rohtak Civil Hospital late on Saturday night, when Joginder Kumar, a resident of Kripal Nagar was rushed for treatment after he hurt his hand.’

Muslims In Ayodhya Fear For Their Lives Ahead Of VHP & Shiv Sena Rallies; May Migrate Out Of City

Three Muslim plaintiffs in the Ram Janmbhoomi-Babri Masjid title suit have claimed that their community members were feeling unsafe and insecure and may be thinking of leaving the city. The development comes as Vishwa Hindu Parishad and the Shiv Sena have proposed to carry out massive rallies in Ayodhya.

While the VHP plans to hold a “sant sammelan” in Ayodhya on November 25, the Shiv Sena has slated the same day for holding a massive rally to be addressed by its supremo Uddhav Thackeray, who would reach here a day earlier to felicitate over 100 Hindu seers.

The right-wing outfits have claimed that Hindus in massive numbers would come out and participate in the rally.

PTI

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Box-office US : Dwayne Johnson et les monstres de Rampage s’installent en tête

Le film de monstres “Rampage – Hors de contrôle”, emmené par Dwayne Johnson, s’installe en tête du box-office US avec 34,5 millions de dollars de recettes. Le thriller horrifique “Sans un bruit” se maintient remarquablement en deuxième position.

1. N°5 – Contrôle parental : 10,29 millions de dollars de recettes
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© Universal Pictures International France

Dwayne Johnson à nouveau en tête du box-office US. Après avoir cartonné avec Jumanji : Bienvenue dans la jungle, la star hollywoodienne débarque à nouveau en tête du classement avec le film de monstres Rampage – Hors de contrôle, crédité de 34,5* millions de dollars de recettes. Un démarrage correct, supérieur à celui enregistré par Hercule (29,8) en 2014, mais qui ne devrait toutefois pas lui permettre de rentabiliser son budget de 120 millions de billets verts.

Box-office américain du 13 au 15 avril 2018 : le Top 10

Rang (Rang précédent) Film Recettes (en dollars) Total US (en dollars)

1 (Nouveauté)
Rampage – Hors de contrôle
34 500 000
34 500 000
2 (1er)
Sans un bruit
32 600 000
99 635 885
3 (Nouveauté)
Action ou vérité
19 080 000
19 080 000
4 (2e)
Ready Player One
11 205 000
114 607 798

5 (3e)
Contrôle parental
10 295 000
36 927 670

6 (4e)
Black Panther
5 342 000
673 797 522

7 (10e)
L’Ile aux chiens
5 000 000
18 450 864
8 (6e)
I Can Only Imagine
3 837 220
74 988 485

9 (5e)
Acrimony
3 700 000
37 875 477

10 (7e)
Chappaquiddick
3 025 000
11 006 383

Le véritable gagnant du week-end est sans conteste Sans un bruit, qui aura pu espérer jusqu’au bout chiper la place de leader aux monstres de Rampage. Avec 32,6* millions de dollars de recettes supplémentaires, le thriller horrifique emmené par Emily Blunt ne perd que 35,1% de fréquentation et cumule désormais près de 100 millions de billets verts en dix jours d’exploitation. Une bonne nouvelle pour la Paramount, le film étant en bonne boie pour devenir le plus gros succès du studio depuis Star Trek Sans limites et ses 158,8 millions.

Dans le reste du classement, notons la solide performance d’Action ou vérité, nouvelle production horrifique du producteur Jason Blum, qui engrange 19* millions de dollars de recettes. Alors que le Ready Player One de Steven Spielberg approche des 115 millions de billets verts et que L’Ile aux chiens de Wes Anderson en cumule plus de 18, l’aventure super-héroïque Black Panther poursuit son impressionnant parcours. Avec 5,3* millions de dollars de dollars de recettes supplémentaires pour son neuvième week-end d’exploitation, le long métrage cumule désormais près de 674 millions de billets verts.

La bande-annonce de “Rampage – Hors de contrôle” :

Rampage – Hors de contrôle Bande-annonce (2) VO

* Les chiffres mentionnés dans l’article sont des estimations, publiées dimanche soir par la société spécialisée Exhibitor Relations et annoncés par le Film français.

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Jurassic World 2 : Spielberg promet une bonne dose de frissons

Steven Spielberg, producteur du long métrage “Jurassic World: Fallen Kingdom”, en salles au mois de juin prochain, promet une bonne dose de frissons aux spectateurs.

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Qu’attendre de Jurassic World: Fallen Kingdom, en salles le 6 juin prochain ? Alors que la bande-annonce finale du long métrage est tombée ce mercredi, le producteur Steven Spielberg a livré quelques informations au micro du site Entertainment Weekly, promettant aux spectateurs une bonne dose de frissons.

Steven Spielberg s’attaque à l’adaptation du comics DC Blackhawk

“Jurassic World: Fallen Kingdom possède un troisième acte merveilleusement et délicieusement effrayant”, déclare ainsi Spielberg, dont le Ready Player One est actuellement à l’affiche. “Le réalisateur Juan Antonio Bayona sait comment créer la terreur, mais il sait également comment l’orchestrer de manière à ce que les spectateurs ne se sentent pas brutalisés. Il a cette capacité à la retenue. Mais quand il s’agit d’y aller à fond, il sait très bien comment faire.”

Jurassic World: Fallen Kingdom est la suite de Jurassic World, sorti en salles en juin 2015 et succès massif au box-office mondial avec 1,67 milliards de dollars de recettes dans le monde. Chris Pratt et Bryce Dallas Howard sont de retour au générique.

La bande-annonce finale de “Jurassic World: Fallen Kingdom” :

Jurassic World: Fallen Kingdom Bande-annonce VO

 

Hindus & Muslims Set An Example Of Harmony, Come Together To Face The Deadly Cyclone Gaja

For years, these hamlets were termed sensitive due to clashes over caste and religion. Now, Cyclone Gaja, a natural disaster, has forced people of different faiths to put their past behind and come together in a spirit of brotherhood.

Pictures of members of the Tamil Nadu Thowheed Jamath, an Islamic organisation, having lunch at a Hindu temple in Muthuppettai, testifies to this new-found syncretism.

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BCCL