Another Self-Styled Godman, Daati Maharaj, Booked By CBI For Rape & Unnatural Sex

Daati Maharaj, a regular face on television, has been booked by the CBI or allegedly raping and having unnatural sex with an inmate of his ashram. The self-styled godman runs a temple in South Delhi.

The agency had taken over the investigation in the case on the instructions of the Delhi High Court.

On a complaint by a woman disciple, a case of rape and unnatural sex was filed against Daati Maharaj, his three brothers and a woman at Fatehpur Beri Police Station in South Delhi.

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UP DSP Pounces On An ‘Inter-Faith’ Couple With ‘Laathi’, Hurls Abuses At Them

Interfaith couples continue to live in terror. There is no respite for men and women who want to spend therest of their life with a person from another caste, religion or faith.

After Uttar Pradesh’s well-intentioned ‘Anti-romeo’ squads turned into irrational parading of scores of men, a video from the state harassing an interfaith couple has gone viral on social media.

The video posted by a journalist with Times of India, Piyush Rai shows a police officer, Deputy Superintendent of Police (DSP), Ashok Kumar Dixit not wearing his police officer uniform, hurling abuses and threats at a couple.

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Over the Moon : la légende de l’animation Glen Keane passe à la réalisation pour Netflix

Célèbre pour son remarquable travail au sein des studios Disney, Glen Keane réalisera pour Netflix le long métrage d’animation musical “Over the Moon” en collaboration avec les studios chinois Pearl Studios.

Glen Keane.

Si son nom vous est peut-être étranger, son travail n’a pas pu vous échapper. Cet animateur légendaire a en effet bercé l’enfance de tous les fans de Disney en donnant vie à des personnages tels que La Petite Sirène, la Bête, Aladdin et Raiponce, puis a continué à enchanter les afficionados de l’animation après son départ du célèbre studio avec des courts métrages tels que Duet ou Dear Basketball.

Alors que ce dernier – magnifique lettre d’amour au basketball signée Kobe Bryant – est nommé aux Oscars cette année, Glen Keane s’apprête à réaliser un long métrage pour la première fois de sa longue carrière.

Film d’animation musical racontant le voyage spatial de la jeune Fei Fei pour rencontrer la Déesse de la Lune, Over the Moon sera exclusivement dévoilé sur Netflix en 2020, et sera réalisé en collaboration avec les studios chinois Pearl Studios, notamment connus pour leurs précédentes collaborations avec Dreamworks et Universal. 

En attendant “Over the Moon”, retour en images sur la carrière de Glen Keane…

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Hier soir à la télé : vous avez aimé Les Choristes ? On vous recommande…

Hier soir sur France 2 était diffusé Les Choristes de Christophe Barratier. Vous avez aimé ? Alors, découvrez sans plus attendre nos trois recommandations qui devraient vous plaire tout autant.

Le film d’origine revisité par Christophe Barratier : La Cage aux rossignols. “Bien avant Les Choristes, il y avait La Cage aux rossignols – dont le film de Barratier est le remake -, une gentille bluette portée par le très populaire (dans les années 40-50) Noël-Noël. Gorgé de bons sentiments, le film ne sombre néanmoins jamais dans la miėvrerie grâce à une sincérité touchante et un amour de tous les personnages.” Vincent Garnier

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Gérard Jugnot, un homme au grand coeur : Monsieur Batignole. “Sans aucun doute la réalisation la plus ambitieuse de Gérard Jugnot. L’acteur cinéaste manie avec brio reconstitution d’époque, sincérité du propos et authenticité des personnages. Ce tendre récit d’un acte de courage sous l’Occupation allemande est également à (re)voir pour la prestation à contre-emploi de Jean-Paul Rouve, un rôle de collabo zélé qui lui valut le César du Meilleur espoir masculin en 2003.” Guillaume Martin

Monsieur Batignole Bande-annonce VF

Un autre film d’époque pour Christophe Barratier : Faubourg 36. “Lors de sa sortie en salles, cette fresque flamboyante sur le milieu du music-hall à l’époque du Front Populaire n’avait pas rencontré un succès comparable à celui du précédent long métrage de Christophe Barratier, « Les Choristes ». Et c’est bien dommage car l’entreprise avait été rondement menée, avec force ambition, authenticité et de jolis numéros musicaux. Gérard Jugnot, Kad Merad et Pierre Richard y vont de leur plus belle partition d’acteur, épaulés en cela par l’émoustillante révélation du film, Nora Arnezeder.” Guillame Martin

Faubourg 36 Bande-annonce VF

 

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The Room par Tommy Wiseau : “Pourquoi faire quelque chose de normal quand on peut faire quelque chose d’unique ?”

Rencontre avec Tommy Wiseau, le créateur de “The Room” (“le film le plus génialement nul du cinéma”), et son acteur Greg Sestero, avec qui AlloCiné a tenté de percer le mystère et les secrets de la réalisation de ce film devenu culte.

Gilet noir, lunettes noires et longue crinière en désordre, quatre ceintures autour du bassin et un bracelet clinquant : tel était Tommy Wiseau lorsqu’AlloCiné l’a rencontré au Forum des Images à Paris. Détendu, en mal de confidences, il était en compagnie de Greg “Sestosterone” Sestero, son acteur et ami aux cheveux blonds. Ensemble, ils ont évoqué le tournage de The Room, le film “le plus génialement nul de l’histoire du cinéma” comme le résume Greg lui-même. Les deux hommes nous ont ainsi confié certains des secrets de fabrication de The Room et leur ressenti sur le phénomène qui accompagne le film partout où il est diffusé. Ce soir, c’est au Grand Rex que ça se passe. Rencontre.

Allociné : Ce n’est pas la première fois que vous venez présenter The Room à Paris, vous étiez déjà présents au Nouveau Latina à Paris (devenu depuis Le Luminor, ndlr) il y a environ 5 ans. Désormais, vous remplissez le Grand Rex et ses 2800 sièges. Que pensez-vous de tout ça ?

Greg Sestero : C’est vraiment incroyable. Il y a 5 ans, on a fait 2-3 shows, ce qui est génial mais revenir 5 ans plus tard dans cet immense cinéma à Paris, et voir tous ces gens, c’est extraordinaire. Je me souviens que la dernière fois qu’on est venu, on est passé devant le Grand Rex alors qu’il y avait l’avant-première de Spring Breakers dans lequel joue James Franco. On regardait ce qui se passait et maintenant, on y est.

Comment expliquez-vous le succès de “The Room” depuis sa sortie en 2003 ?

G.S. : Je pense que le seul moyen de durer dans ce milieu, c’est d’avoir le soutien du public. On ne peut pas acheter ça. Quand vous avez un film que les gens aiment, c’est inestimable.

Tommy Wiseau : Il y avait aussi un engagement de ma part. Avec The Room, j’ai changé 4 fois d’équipe car les gens n’étaient pas respectueux envers le film, ils étaient très négatifs. The Room n’a pas été conçu dans le même moule que les films hollywoodiens. C’est aussi pour ça qu’on en parle encore aujourd’hui. Je suis très heureux que le film soit montré en France et dans le monde entier. Je voudrais remercier le public français, il nous supporte, nous encourage et c’est ce dont nous, les acteurs, les producteurs, … avons besoin. Comme Greg l’a dit, on ne peut pas acheter ça. Les gens apprécient que vous ayez une vision.

Pouvez-vous nous parler de cette version du scénario dans laquelle Johnny était un vampire ?

T.W. : C’est une rumeur. A vrai dire, sur le tournage, je parlais avec Greg des fonds verts et je lui disais que ce serait chouette d’avoir une voiture volante vampire, et Greg l’a retranscrit dans son livre (The Disaster Artist, en librairies). Mais ça n’a jamais été mon intention de mettre des vampires, j’en ai eu l’idée mais j’ai changé d’avis car je ne voulais pas de CGI, d’effets spéciaux dans The Room. Je voulais que ça sonne vrai, si vous vous penchez sur les personnages, ils sont réels. Ça aurait été un film totalement différent.

G.S. : Tommy avait une idée pour un film que j’aimais vraiment, avant The Room, qui se serait appelé Le Vampire d’Alcatraz.

T.W. : Je l’ai écrit d’ailleurs. (rires) 

Comment avez-vous collaboré au montage avec Eric Chase ?

T.W. : Nous nous disputions souvent, comme avec le reste de l’équipe, merci pour cette question. On ne partageait pas la même vision. Beaucoup de gens ont tenté de torpiller mon projet en changeant le scénario, … Après que The Room est sorti, certains ont dit que le scénario n’existait pas, que tout était improvisé, que je n’étais pas là.

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G. S. : Les gens ont tenté d’uniformiser le film, notamment le monteur qui nous disait “coupez telle scène parce qu’il faut que ça soit comme ceci, ou comme cela”. Mais ils sont totalement passés à côté du film. Pourquoi faire quelque chose de normal quand on peut faire quelque chose d’unique ? Je suis content que Tommy se soit accroché et ait fait le film à sa manière.

T.W. : Comme la scène où on joue au foot, vous vous souvenez ? [L’équipe technique] me demandait pourquoi on faisait cette scène. Je leur répondais juste : “faites votre boulot”. Je veux faire les choses à ma manière. Les gens critiquent mon projet mais eux-mêmes n’ont jamais rien fait. Ce manque de respect dans leur façon de travailler m’a vraiment choqué. C’est pourquoi je suis content que vous me posiez cette question. Pour moi, les membres d’une équipe sont des outils au service d’une vision. Si vous m’engagez en tant qu’acteur, je ne vais pas donner mon avis sur tout, sauf si on me le demande. Je suis quelqu’un de simple, je veux juste que les gens s’amusent. Ne vous prenez pas trop au sérieux. S’il y a un message dans The Room, c’est que vous pouvez être une meilleure personne que Johnny, Lisa ou Mark.

Tommy Wiseau, une foule en délire et des petites cuillères : The Room au Grand Rex comme si vous y étiez

“The Room” est-il basé sur une histoire vraie ?

T.W. : Oui ! Je me suis inspiré de personnes réelles, j’ai changé leurs noms. Je voulais montrer ce qu’il y a derrière les mots, à savoir les relations. Je pense qu’on peut changer le monde. Respect = succès. Je veux avoir du succès mais il faut le créer en étant respectueux.

A propos de The Disaster Artist, avez-vous été consultant pour le film ?

G.S. : Oui, j’ai pas mal travaillé avec James Franco, je lui ai donné des informations, … Mon but était de faire le meilleur film possible. James est très attentif aux détails. Mais je les ai laissés faire leur propre film. Il était entre de bonnes mains, c’était une très bonne expérience. 

Vous êtes peut-être déçus d’avoir été interrompu par James Franco sur la scène des Golden Globes. Qu’auriez-vous aimé dire ? 

G.S. : The American Dream is alive.

T.W. : Si plus de gens s’aimaient, le monde serait meilleur. Je suis américain, j’en suis fier. Regardez The Room, amusez-vous bien. 

La bande-annonce de “The Disaster Artist”, qui revient sur les coulisses de tournage de “The Room”, en salles le 7 mars prochain :

The Disaster Artist Bande-annonce (2) VO

 

Spirou et Fantasio : mais que raconte la BD ?

“Les Aventures de Spirou et Fantasio” sort en salles ce mercredi. L’occasion de ressortir les albums de leurs étagères et de se faire un petit point sur ces personnages phares de la BD franco-belge.

1. Les Aventures de Spirou et Fantasio
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En salles le 21 février.
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© Sony Pictures Releasing France

Comme il y a des “classiques” du cinéma ou de la musique, il y a les incontournables de la bande-dessinée. Spirou et Fantasio en fait partie. A l’occasion de la sortie en salles des Aventures de Spirou et Fantasio, retour sur une BD mythique, à ranger aux côtés d’Astérix et de Tintin.

QUI SONT SPIROU ET FANTASIO ?

En 1936, l’éditeur Dupuis fonde Le Journal de Spirou, destiné à promouvoir ses bandes dessinées. Il est demandé au dessinateur Rob-Vel, aidé de son collaborateur Luc Lafnet et de sa femme Blanche Dumoulin, de concevoir le personnage. Spirou (qui signifie “écureuil” et “facétieux” en wallon) devient donc le groom de l’hôtel Le Moustic et le héros symbole du journal, de la même façon que Tintin le sera plus tard pour Le Journal de Tintin. C’est aussi à cette époque que Spirou fait la rencontre de Spip, un écureuil qu’il sauve et qui devient son fidèle compagnon.

En 1943 apparaît Fantasio, journaliste habillé en “zazou” et un peu gaffeur, qui deviendra le meilleur ami de Spirou. Trois ans plus tard, Franquin reprend à 100% les rênes du personnage, et va donner à Spirou son univers tel qu’on le connaît majoritairement aujourd’hui. Sans Franquin, il n’y aurait ni Marsupilami, ni Champignac ni Zorglub ! C’est aussi avec Franquin que les histoires courtes des débuts sont rallongées en véritables aventures scénarisées, dont la majorité plus tard éditées en album. C’est aussi Franquin qui fait de Spirou non plus un simple garçon d’ascenseur mais un journaliste habillé en groom.

DES AVENTURES VARIEES A LA JAMES BOND

Les premières aventures de Spirou et Fantasio à voir le jour en album sont des histoires abracadabrantes (nos héros doivent récupérer les plans d’un robot qui s’il tombe en de mauvaises mains pourrait permettre de dominer le monde) ou très classiques (une course de chevaux, un match de boxe). Mais dès le tome 2 édité par Dupuis, les personnages découvrent le comte de Champignac et dès le tome 4 la Palombie, pays fictif situé en Amérique latine dans lequel ils rencontrent le Marsupilami. Ils y retourneront dans nombre d’albums et ce premier pas marquant dans l’exotisme impactera durablement la série.

La plupart des épisodes se situent dans une ville ou un pays étrangers souvent inventés pour l’occasion. La Vallée des sept Bouddhas, Bretzelburg, Kōtyō ou l’île de Tora Torapa en sont la meilleure preuve. Par ailleurs, la série a un côté “pulp” en faisant côtoyer à Spirou et à Fantasio un dinosaure (Le Voyageur du Mésozoïque), des extraterrestres (Du cidre pour les étoiles) ou des scientifiques bâtissant un vaisseau spatial (La ceinture du grand froid).

L’aspect “James Bondien” sera surtout présent lorsque Spirou et Fantasio feront face au redoutable Zorglub et à ses plans machiavéliques. Grandiloquent et sûr de lui, il est l’incarnation du méchant des films James Bond tel qu’on se le représente lorsqu’on veut le caricaturer. Et l’utilisation des nouvelles technologies ou d’inventions futuristes contribuent à en faire parfois des récits d’espionnage à la 007, mais permettent aussi  un renouveau perpétuel de la série, qui réussit ainsi toujours à surprendre.

Chaque aventure se suffit à elle-même, mais il arrive que des histoires se déroulent sur plusieurs albums, comme l’intrigue autour de Kodo le tyran ou la “trilogie de la boîte noire” (qui débute avec La ceinture du grand froid).

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LE JOURNAL DE SPIROU ET GASTON

Dans la bande dessinée, Spirou et Fantasio sont journalistes et travaillent dans un journal baptisé Le Moustique (qui existe réellement en Belgique) puis deviennent les secrétaires de rédaction fictifs du Journal de Spirou (qui lui est bien réel). Les deux journaux appartenaient au groupe Dupuis, expliquant la façon dont les personnages sont aisément passés de l’un à l’autre. C’est ainsi que dans les pages du Journal de Spirou, on peut voir Spirou et Fantasio en lien avec une rédaction et des dessinateurs fictifs.

C’est dans ce contexte imaginaire qu’apparaît le personnage de Gaston Lagaffe, d’abord en “trollant” les pages du journal. Certaines d’entre elles étaient légèrement vandalisées par ce personnage sans nom à la présence inexpliquée. Créé par Franquin, Gaston a ensuite des interactions avec Fantasio surtout, Spirou un peu, toujours pour commettre bourde sur bourde. Le succès sera tel auprès du public que Gaston aura bientôt sa propre série de BD à succès.

UN UNIVERS PROPRE

Comme Tintin ou Astérix, Spirou et Fantasio a su développer un monde de personnages récurrents que l’on retrouve au gré des albums, que cela soit des vilains comme la Murène ou des bons gars tels les pilotes Martin et Roulebille ou le Champignacien Célestin Dupilon. Mais parmi les plus célèbres, on retiendra ceux qui ont trouvé leur popularité propre comme le Marsupilami (animal rare de Palombie possédant une queue préhensile immense) ou Gaston Lagaffe.

N’ayant pas eu droit à des albums “solo”, on trouve aussi parmi les personnages très récurrents le comte Pacôme Hégésippe Adélard Ladislas de Champignac, Zantafio (le cousin maléfique de Fantasio), le maire de Champignac ou la journaliste Seccotine. Zorglub a depuis 2017 sa propre bande-dessinée, dont le premier tome s’appelle Zorglub : La Fille du Z

L’APPROPRIATION DU PERSONNAGE

Le plus intéressant avec le cas Spirou et Fantasio, c’est la façon dont de multiples auteurs se sont appropriés cet univers. Si les origines des personnages sont dues à plusieurs dessinateurs, la série elle-même n’est pas limitée à l’oeuvre de Franquin. Après lui, Fournier, Tome et Janry, Morvan et Munuera entre autres développeront les héros et leur monde.

Tome et Janry créeront notamment les personnages de Vito Cortizone, Cyanure ou Aurélien Champignac (le descendant du comte). Ils lanceront aussi une série à part centrée sur le Petit Spirou, dans laquelle le jeune garçon, déjà habillé en groom, est montré provocateur et intéressé par les mystères de la sexualité. Cette série marque aussi le retour au format histoires courtes des débuts.

Désormais, Spirou et Fantasio poursuit sa course, et possède même une collection “Spirou vu par” et des “one-shots” qui permettent à des auteurs-dessinateurs différents de donner leur version de Spirou, en étant libre d’ignorer la chronologie ou la cohérence requises par la série principale. Le message est clair : Spirou appartient à tout le monde, et chacun est libre de se l’approprier. Et cela vaut aussi pour l’adaptation cinématographique qui sort demain sur les écrans.

Toutes les adaptations de BD en développement par le cinéma français :

Les Gardiens de la Galaxie : Mark Hamill va-t-il intégrer le troisième film ?

Poussés l’un vers l’autre par un fan enthousiaste sur Twitter, James Gunn, réalisateur des “Gardiens de la Galaxie 3” et Mark Hamill, légendaire interprète de Luke Skywalker, auraient accepté de se rencontrer pour parler d’un rôle éventuel.

Voilà ce qui peut se passer lorsqu’un fan particulièrement passionné formule ses rêves les plus fous dans un tweet à l’attention de James Gunn… Et si Mark Hamill 
spoiler:
(aujourd’hui plus ou moins retraité de la saga Star Wars)

repartait à l’aventure dans une autre galaxie lointaine, très lointaine ? Celle de Rocket Racoon, de Groot et de Star-Lord… 

“@JamesGunn, Pourriez-vous me faire la faveur énorme de trouver un rôle à @HamillHimself dans Les Gardiens de la Galaxie 3 ? Ça serait tellement génial que ça pourrait bien me tuer, mais je suis prêt à prendre le risque. Merci,” a ainsi demandé un certain Ian Fee au réalisateur, actuellement en train de travailler sur le troisième opus. 

Le réalisateur, très actif sur Twitter, ne s’est pas privé de répondre que Mark Hamill habitant tout près de chez lui à Malibu, il était tout à fait prêt à le recevoir pour en discuter autour d’un café. Ce à quoi l’acteur, lui aussi très présent sur le réseau social, a répondu qu’il en serait très heureux, “en tant que bon voisin et acteur au chômage.”

Gunn et Hamill ont ensuite convenu de se contacter via messages privés pour s’échanger leurs coordonnées. Reste à savoir si ce petit café à Malibu aura bien lieu entre Luke Skywalker et le réalisateur des Gardiens de la Galaxie, et s’il en ressortira quelque chose. 

Après tout, c’est dans des circonstances tout aussi improbables que Mark Hamill avait réussi à décrocher le rôle de Luke dans les années 70, sous les conseils de son ami Robert Englund, futur interprète de Freddy Kruegger dans Les Griffes de la nuit. Sachant également que Mark Hamill avait lui-même demandé à incarner vocalement un client du casino de Canto Bight dans Les Derniers Jedi, on peut tout à fait envisager qu’il acceptera de tenir un nouveau rôle secret (et extraterrestre) dans le film de James Gunn. 

Une chose est certaine, si Mark Hamill hérite finalement d’un personnage dans le troisième opus des Gardiens de la Galaxie, le dénommé Ian Fee pourra sabrer le champagne. Quant à tous les autres fans, rien ne les empêchera plus de suggérer leurs ajouts de casting directement aux réalisateurs, sur Twitter.

En attendant d’en savoir plus, (re)découvrez 5 anecdotes surprenantes sur Luke Skywalker…

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120 BPM : une plongée dans le passé militant de Robin Campillo

Vibrant hommage au combat mené par l’association de lutte contre le Sida Act Up, “120 battements par minute” est aussi pour le cinéaste Robin Campillo l’occasion de se replonger -douloureusement- dans ses années militantes au sein du collectif.

“Robin Campillo raconte l’histoire de héros qui ont sauvé de nombreuses vies” déclarait Pedro Almodovar, la voix étranglée par l’émotion, à propos de 120 battements par minute, qui repartira auréolé du Grand Prix du Jury au dernier Festival de Cannes, et vient de triompher aux César avec 6 récompenses, dont celle du meilleur film. “On peut penser que le film est un hommage aux gens qui sont morts mais c’est aussi un hommage à ceux qui ont survécu et qui tiennent encore aujourd’hui, et auxquels je pense énormément ce soir, qui ont toujours des traitements lourds et sont dans des situations précaires parce que lorsqu’ils étaient militants, ils ont mis leur vie entre parenthèses” lâchait le cinéaste sur la scène du palais du festival, en reçevant sa récompense.

Bouleversant récit au moins en partie autobiographique d’une période traumatique, celle des terribles années sida au début des années 1990, le film de Robin Campillo est aussi l’occasion pour le cinéaste de se replonger -douloureusement- dans ses années militantes au sein de l’association Act Up.

Le doute et l’incertitude

En 1984, Robin Campillo rentre à l’IDHEC où il rencontre Laurent Cantet, avec qui il collabore depuis la fin des années 1990 comme monteur et scénariste de L’emploi du temps, Entre les murs ou Foxfire confessions d’un gang de filles. A sa sortie de l’école, Campillo fait son tout premier film (court) pour le musée du Louvre. On est au début des années 1980, où l’on commence tout juste à parler en France de la maladie du sida. “En 1983, le mot “sida” entre en France. En 1982, dans les articles de Libé, on parle encore d’un mystérieux “cancer gay” racontait le cinéaste en mai dernier au journal Libération.

Avec le sida, je ne pouvais plus me projeter dans le cinéma. Je suis entré dans une période hivernale. Tous les gens que j’adorais, et ce n’était pas très original, c’était les cinéastes de la Nouvelle Vague ou les Straub, ne me paraissaient pas du tout opérants, complètement étanches à ce qui était en train de se passer. Moi, je ne savais plus vraiment ce que je voulais faire. Je ne me situais plus dans une généalogie du cinéma mais plutôt dans cet événement encore difficile à discerner, et qui produisait des noms et des images d’une totale étrangeté, […] les premières apparitions de malades rendus méconnaissables par les atteintes de la maladie comme Kenny Ramsauer, que l’on voit dans un documentaire diffusé sur la chaîne ABC en 1983 et dont les photos d’anniversaire tragique avec son ami sont reprises dans un numéro de Paris Match. Les images de cinéma sont quand même un peu balayées par celles qui vont circuler à cette époque, et qui évoquent on ne sait quel mauvais film de science-fiction sur une catastrophe spectaculaire” se souvient Campillo, dans une nouvelle interview accordée au journal et publiée ce lundi.

Militantisme novateur et radical

Si Robin Campillo envisage un temps de rentrer au sein de l’association Aides, avant tout portée sur l’assistance aux malades, il est surtout frappé par cette forme de militantisme de guérilla adoptée par Act Up. Alors qu’il travaille sur le montage de sujets pour le journal télévisé de France 3, il découvre en effet en mars 1992 les images filmées où l’association s’en prend, lors d’un Zap (c’est-à-dire une interpellation) au docteur Bahman Habibi, qui était alors le directeur médical et scientifique du CNTS (le Centre National de Transfusion Sanguine). Ce dernier était impliqué dans le scandale de l’affaire du sang contaminé qui défraya la chronique. Pris à partie par les militants d’Act Up aux cris “d’assassin !”, ils lui jetèrent du faux sang à la figure et l’ont menotté sur la scène de l’amphithéâtre de l’hôpital de la Salpêtrière, devant 300 personnes. Des images chocs qui marquent Campillo, séduit par ce militantisme à la fois novateur et radical.

C’est en 1992 que Campillo adhère au mouvement. Une adhésion qui lui permet, selon ses dires, “de [se] reprendre en main”, alors qu’il est “écrasé par la peur d’être malade, complètement tétanisé, y compris esthétiquement”. Mener ces actions, parfois musclées, marque de fabrique de l’association, avait pour Robin Campillo un côté électrisant. Mais la peur se tenait aussi en même temps là, toute proche.  “On pouvait avoir un peu honte selon la manière dont ca se passait. Mais il y avait production en commun d’une image saisissante, marquante, et on se manifestait tels les héros de feuilletons à la manière des Vampires de Louis Feuillade; quelque chose qui évoque les groupes clandestins avec toute une mythologie subversive”.

Picketing (rassemblement), Die-in comme celui, géant, qui fut organisé rue de Rennes à Paris à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida en 1994… Ce militantisme transgressif, théâtralisé, qui ne craint pas de choquer, se retrouve même jusque sur le logo symbole d’Act Up, le fameux triangle rose. Référence évidente au symbole porté par les détenus désignés comme homosexuels dans les camps de concentration nazis. Différence sensible : le triangle rose de l’association pointe vers le haut, alors que le triangle “historique” pointait vers le bas. “Act Up faisait rejaillir toute la colère accumulée dans la traversée des années 80 avec le sentiment qu’en tant que gay, nous étions les victimes d’une épidémie sans précédent, et néanmoins inaudibles et invisibles en tant que minorité” se souvient le cinéaste.

“Dès que l’épidémie est apparue, je me suis dit qu’il fallait faire un film là-dessus. Mais quel film ? Ce n’est pas un bon objet de cinéma à priori. On fait quoi, on parle de quoi ? Le virus ?” s’interroge Robin Campillo. Ce n’est qu’à 42 ans que le cinéaste signe son premier long, Les Revenants. Un film au titre déjà prémonitoire. Il mettra finalement plus de vingt ans pour accoucher de cette douloureuse, rageuse et intime histoire d’Act Up. Le projet d’une vie en somme.

120 battements par minute Bande-annonce VF

 

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Bande-annonce A la dérive : Shailene Woodley et Sam Claflin perdus en plein océan

Inspiré d’une histoire vraie, le nouveau long métrage de Baltasar Kormákur (Everest), A la dérive se dévoile à travers une première bande-annonce.

Après avoir gravi l’Everest, le réalisateur islandais Baltasar Kormakur part A la dérive. Dans son nouveau long métrage adapté d’une histoire vraie (comme l’était Everest), le metteur en scène plonge Shailene Woodley et Sam Claflin en plein cauchemar. Les deux acteurs, habitués aux blockbusters pour adolescents (Divergente pour elle, Hunger Games pour lui), partagent ici l’affiche d’un film plus intimiste

A la dérive raconte l’histoire d’un couple de navigateurs pris dans l’ouragan le plus violent qui se soit jamais abattu sur l’Océan Pacifique. Après la tempête, Tami revient à elle pour découvrir que son fiancé Richard a été gravement blessé, que leur bateau est détruit et qu’ils n’ont plus aucun moyen de naviguer, ni de communiquer. A 2500km de la côte la plus proche, elle va devoir se battre pour sauver sa vie et celle de l’homme qu’elle aime.

Inspiré du roman écrit en 1998 par la survivante Tami Oldham d’après son incroyable mésaventure de 1983, le film montre la manière dont la jeune femme s’est battue pour survivre. Après avoir bricolé un mat de fortune, pompé l’eau hors du voilier et navigué à l’aveugle elle regagna la terre au bout de 42 jours. 

Lors d’un entretien avec USA Today, le metteur en scène affirme que ce qu’il a particulièrement interessé dans le scénario de ce survival est que le personnage central soit une femme, ce qui n’est quasiment jamais le cas dans ce genre d’histoire. Une particularité qui a également plu à la comédienne Shailene Woodley, qui a d’ailleurs appris à naviguer pour les besoins du film.

A la dérive sortira dans nos salles le 4 juillet prochain.

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