47 Meters Down : “Plus qu’un simple film de requins, c’est un vrai survival oppressant”, selon Claire Holt [INTERVIEW]

“47 Meters Down”, centré sur deux sœurs coincées dans une cage de plongée au fond de l’océan, sort ce jeudi 28 septembre en e-cinema. Claire Holt, l’une des deux stars du film, nous a parlé de ce thriller aquatique pas comme les autres.

Présenté en sélection officielle lors du dernier festival de Deauville, 47 Meters Down, réalisé par Johannes Roberts (The Door), plonge Mandy Moore (This is Us) et Claire Holt (The Originals) en plein cauchemar au fin fond de l’océan… où personne ne peut les entendre crier. En effet, dans ce survival horrifique aquatique, les deux comédiennes incarnent Lisa et Kate, deux soeurs en vacances au Mexique, qui se lancent le défi de plonger parmi les grands requins blancs, protégées par une cage. Mais rien ne se passe comme prévu et, subitement, le câble qui retient la cage au bateau cède. Les deux soeurs se retrouvent alors plongées au fond de l’océan, à 47 mètres de profondeur. Et tandis que les requins rôdent et que le danger peut surgir à tout moment, il leur reste, en plus, seulement une heure d’oxygène…

À l’occasion de la sortie ce jeudi 28 septembre de 47 Meters Down en e-cinema, l’actrice australienne Claire Holt, vue dans Aquarius et plus connue pour son rôle de Rebekah dans Vampire Diaries et The Originals, nous a accordé une interview durant laquelle elle est notamment revenue sur ce qui lui a particulièrement plu dans le scénario, sur l’originalité de ce film de requins pas comme les autres, et sur les conditions de tournage plutôt intenses.

AlloCiné : Qu’est-ce qui vous a tout de suite fait dire “oui” lorsque vous avez lu le scénario de 47 Meters Down ?

Claire Holt : J’ai trouvé le scénario vraiment exceptionnel. J’étais complètement prise dans l’histoire, je ne pouvais pas m’arrêter de tourner les pages. Je crois que ce qui m’a vraiment plu c’est que ça ne ressemblait à rien de ce que j’avais déjà pu voir à l’écran auparavant. Et même si je savais que le tournage allait probablement être épuisant, je me disais que si on y arrivait, le résultat allait être vraiment spécial.

Évidemment, le film est vendu comme un film de requins, mais c’est avant tout une histoire de survie. Est-ce que c’est aussi cet aspect qui vous a intéressé dans le projet ?

Absolument. C’est avant tout l’histoire de deux soeurs coincées au fond de l’océan, avec très peu d’oxygène pour survivre. Et il y a tout un tas de paramètres qui entrent en compte et qui vont plonger leurs vies en plein cauchemar. Il n’y a pas que la présence des requins. Elles n’ont plus qu’une heure d’oxygène, elles ont du mal à communiquer, la température de l’eau est glaciale et elles pourraient bien finir par mourir de froid. Ce sont tous ces obstacles qui font que, plus qu’un simple film de requins, c’est un vrai survival oppressant.

Mais ce qui est plutôt appréciable, et original, c’est que même pour les spectateurs qui chercheraient simplement l’adrénaline d’une film de requins, 47 Meters Down parvient à proposer quelque chose de plutôt novateur. La plupart des films de requins se passent finalement principalement à la surface de l’océan ou de la mer, alors que là les héroïnes passent la quasi totalité du film sous l’eau, avec une visibilité réduite…

Exactement, et c’est pour ça que je pense que le film est vraiment à part. 90% de l’action se déroule sous l’eau et en terme de cinématographie c’est donc très différent d’un film de requins traditionnel. Et le côté vraiment terrifiant de l’histoire vient du fait qu’on sait que ces deux jeunes femmes sont au fond de l’océan, à près de 50 mètres de profondeur, et qu’il n’y a aucune issue.

Comment s’est passé le tournage ? Qu’est-ce que vous pouvez nous dire sur cette expérience particulière ?

La majorité des séquences du film ont été tournées à Londres, dans un immense bassin, durant 5 semaines. Cela correspond à toutes les scènes qui se déroulent au fond de l’océan. Et le reste du film, dont tous les extérieurs que l’on voit au début, a été tourné en République dominicaine. (…) C’était fatiguant et souvent assez effrayant de tourner toutes ces scènes sous l’eau. Sans parler du fait que c’était totalement nouveau pour moi. Je n’avais jamais rien fait de tel auparavant. Mais vu le planning assez fou de tournage que l’on avait avec Mandy [Moore], nous sommes vraiment très heureuses d’avoir tenu jusqu’au bout malgré ces conditions pas banales et nous sommes très fières de cette expérience.

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Ça ne vous a pas un peu rappelé le début de votre carrière de comédienne, lorsque vous interprétiez une sirène dans la série australienne H2O ?

Si, beaucoup (rires) ! Le fait de tourner sous l’eau, dans un bassin, m’était assez familier c’est vrai, car on tournait pas mal de scènes aquatiques dans H2O. Mais dans le cas de 47 Meters Down, le tournage était plus fatiguant car quasiment tout se passe sous l’eau, alors que dans H2O on avait seulement un jour ou une semaine de tournage aquatique par ci par là, c’était plus sporadique. Mais c’est clairement une expérience passée à laquelle j’ai pensé et qui d’une certaine manière m’a préparé à affronter le tournage de ce film.

Quel genre de préparation avez-vous dû suivre avant le tournage du film ?

Avec Mandy nous n’avions jamais fait de plongée donc nous avons dû suivre quelques cours d’initiation, ce qui en soi était déjà un challenge. Nous étions terrifiées et au début on se demandait vraiment dans quoi on s’était embarquées (rires). Et plus globalement, il fallait que je m’assure que ma condition physique était assez bonne pour supporter le rythme et les conditions de tournage. J’ai donc fait beaucoup de fitness, de cardio training, et j’ai aussi dû passer un test d’effort assez poussé, afin qu’un médecin puisse certifier à la production que j’étais capable d’incarner Kate et de venir à bout des 8 semaines de tournage.

Le film traite évidemment de la notion de peur. Quelle est votre plus grande peur dans la vie ?

Eh bien, pour être honnête, avant c’était les requins, vraiment (rires). J’étais complètement terrifiée par les requins. Mais maintenant que j’ai joué dans 47 Meters Down, je commence à me dire que ma plus grande peur est probablement de me retrouver privée d’oxygène.

Et maintenant que vous avez joué dans ce film, vous pourriez envisager d’aller plonger au milieu des requins ?

C’est marrant que vous me posiez la question car durant toute la tournée promotionnelle du film, Mandy a passé son temps à essayer de me persuader d’aller plonger avec elle dans une cage, au milieu des requins. Je lui ai évidemment répondu “non” à chaque fois, mais en y repensant, je me dis qu’elle est la seule personne avec qui je pourrais le faire. Le tournage nous a vraiment liées l’une à l’autre pour la vie. Donc si l’occasion se présente un jour, pourquoi pas…

Sans trop en révéler, on peut quand même dire que la fin du film est assez sombre, assez inattendue et assez bien amenée. Qu’avez-vous pensé de ce dénouement en lisant le scénario ?

En fait c’est la partie du scénario que je préfère. Et je peux même vous révéler que la fin initiale que nous avons tourné était encore plus “sombre”. Mais nous ne voulions pas que les gens soient complètement horrifiées et qu’ils quittent le cinéma en jettant des objets contre l’écran, donc Johannes a finalement opté pour une autre fin, qui est quelques degrés en dessous sur l’échelle des fins sombres et désespérées. Mais ça reste ma partie favorite du film, sans aucun doute.

Une suite, 48 Meters Down, avec de nouveaux personnages mais toujours réalisée par Johannes Roberts, est en préparation. Est-ce que vous êtes curieuse de voir ce qu’un second film sur le même thème peut donner ?

Oui, vraiment, car Johannes est un scénariste incroyable. Donc même s’il n’est pas forcément évident, au départ, d’arriver à décliner l’histoire de 47 Meters Down en franchise, je suis persuadée qu’il va parvenir à écrire un nouveau scénario incroyable. J’ai vraiment hâte de voir cette suite.

Les fans de Vampire Diaries et de The Originals, son spin-off, vous connaissent pour le personnage de Rebekah, que vous incarnez de manière plus ou moins régulière depuis 2011. Peut-on espérer vous voir reprendre votre rôle dans la saison 5 de The Originals, qui sera la dernière et qui sera diffusée en 2018 ?

Absolument. J’adore The Originals et j’adore interpréter Rebekah. C’est et ça restera l’un des grands plaisirs de ma carrière. Donc oui, je serai présente dans la dernière saison de la série.

Et évidemment, vous ne pourrez rien révéler à propos de l’intrigue de cette ultime saison ?

Vous avez bien deviné (rires). Je n’ai rien le droit de dire, désolée !

Vampire Diaries s’est arrêtée en mars après 8 saisons. The Originals prendra fin l’année prochaine. Quel regard portez-vous aujourd’hui sur cette expérience ?

Je suis incroyablement reconnaissante. Vous savez, au départ, Rebekah ne devait apparaître que dans 3 épisodes de Vampire Diaries. Alors je suis vraiment heureuse et fière d’avoir pu, en fin de compte, l’incarner durant aussi longtemps. C’est assez rare, dans une carrière, d’avoir la chance de jouer un personnage aussi génial durant une aussi longue période. Et puis nous avons des fans vraiment géniaux, qui nous soutiennent depuis tant d’années. J’ai vraiment de la chance. Et j’adore Joseph Morgan, Daniel Gillies, et tous ceux avec qui j’ai travaillé sur ces deux séries. Ça a été une aventure vraiment incroyable.

Avez-vous déjà d’autres projets dont vous pouvez nous parler ?

Oui, je vais bientôt tourner un film qui s’appelle Becoming, avec Toby Kebbell. Et également une nouvelle série, Doomsday, qui est censée entrer en production en janvier. Ce sont ces deux projets qui vont m’occuper durant les prochains mois.

La bande-annonce de 47 Meters Down, disponible en e-cinema dès ce jeudi 28 septembre :

47 Meters Down Bande-annonce VO

 

Charlotte de Turckheim : grand-mère de rêve pour Marcel, Anita et Abel

Depuis 2014, elle s‘est installée définitivement dans sa propriété d’Eygalières, le village où elle passait toutes ses vacances enfant. Charlotte de Turckheim se plaît à y réunir sa tribu et à organiser des vacances de rêve à ses trois petits enfants comme elle le raconte à Gala, ce jeudi 24 octobre en kiosque.

Connue comme le loup blanc à Eygalières, une bourgade de 1800 habitants devenue village des stars, où elle passait ses vacances lorsqu’elle était enfant, Charlotte de Turckheim a choisi de s’y marier, en 2012, avec Zaman, un bel Afghan devenu son troisième mari. La très populaire comédienne, blonde aux yeux rieurs et à la voix reconnaissable entre toutes nous ouvre les portes de sa propriété dans Gala, en kiosque ce jeudi 24 octobre. Elle vit désormais à l’année dans le mas provençal qu’avait acheté sa mère, Françoise, il y a un demi-siècle. Cette vie au pied des Alpilles, au milieu des champs de lavande et d’oliviers séduit particulièrement ses filles: Julia (Piaton, l’une des stars de Qu’est-ce que j’ai fait au Bon dieu?), Clara et Johanna, qu’elle a eues avec son ex-mari Jean-Marc Piaton, ainsi que Jeanne, la fille de Zaman qu’elle considère comme la sienne.

Les petits enfants aussi se réjouissent de passer du temps avec leur grand-mère et leur “boba”, ainsi qu’ils appellent Zaman. Marcel, 5 ans, Anita, 3 ans, les enfants de Clara, et Abel, le petit dernier de 2 ans, fils de Julia, ont en effet droit à des vacances de rêve quand ils vont à Eygalières : “ je leur ai organisé une colo, avec escalade, kayak et stage de poney… J’avais engagé un moniteur et une nounou. Ou alors je les emmène dormir à la belle étoile dans les Alpilles…” Comme le mas de Charlotte de Turckheim se situe en pleine campagne, les petits enfants peuvent aller “chercher les oeufs au poulailler, cueillir les framboises ou s’amuser avec les courses d’escargots.”

Mais en bonne passionnée de son métier, Charlotte de Turckheim sait également jouer de ses talents pour faire “hurler de rire” ces petits bouts de chou: “Ils adorent quand j’imite la grosse poule Monique ou le petit asticot qui en a une trouille bleue.” Et autres histoires merveilleuses qui font de la comédienne de 64 ans une grand-mère rêvée.

Retrouvez notre article sur Charlotte de Turckheim en famille dans Gala en kiosque ce jeudi 24 octobre en kiosque.

Crédits photos : Sandrine Gomez

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Star Wars 8 : les préventes sont ouvertes en 3D, 4DX, IMAX, et ICE

Etre parmi les premiers à découvrir “Les Derniers Jedi” : c’est possible avec l’ouverture des préventes en salles premium pour l’épisode 8 de la saga Star Wars.

Quoi ?

Les préventes pour Star Wars – Les Derniers Jedi, dans les salles 3D, IMAX, 4DX et ICE

Quand ?

Les réservations sont ouvertes dès ce mardi 10 octobre. A noter que les séances 2D seront accessibles en préventes à partir du 15 novembre.

Comment ?

Les places sont à acheter sur www.starwars.fr, pour découvrir l’épisode 8 à partir de 10 heures le mercredi 13 décembre.

La nouvelle affiche de “Star Wars – Les Derniers Jedi”

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Sophie Darel, 75 ans : “Le sexe, c’est meilleur en vieillissant”

En promotion pour son livre Objectif 100 ans en pleine forme, publié aux Editions Ramsay, Sophie Darel a décidé de lever le voile sur sa vie intime, elle qui partage sa vie avec son mari Jack Anaclet depuis près de quatre décennies.

Sophie Darel n’est pas du genre à faire la fine bouche lorsqu’il s’agit d’évoquer des sujets intimes. Alors qu’elle publiait récemment son nouveau livre intitulé Objectif 100 ans en pleine forme (Ed. Ramsay), l’animatrice s’est longuement épanchée dans un entretien accordé à Ici Paris sur un thème parfois considéré tabou : la sexualité des seniors, qu’elle évoque également dans son ouvrage. “En tout cas, à nos âges, le sexe, ça compte encore ! Je dirais même que c’est meilleur en vieillissant. (…) Bien sûr, on ne peut plus faire les mêmes acrobaties queRocco Siffredi, mais il faut continuer à plaire, à séduire l’autre, c’est une forme de respect de soi et des autres“, a-t-elle expliqué.

Puis de nuancer : “Le sexe compte bien sûr, mais il faut quand même autre chose pour vivre avec la même personne aussi longtemps. Et avec Jack, nous entamons notre 39e année de vie commune“. Plus épanouie que jamais dans sa vie personnelle mais également dans sa vie professionnelle, Sophie Darel, décidément sans filtre, est également revenue sur les mouvements #MeToo et #Balancetonporc, auxquels elle n’adhère pas du tout. “Je ne comprends pas toutes ces femmes qui attendent trente ans pour soudainement accuser et dénoncer leur violeur. Au risque de choquer, j’en ai un peu ras la touffe du mouvement Balance ton porc, MeToo et compagnie“, a affirmé celle qui révélait elle-même avoir été victime d’une agression sexuelle d’un célèbre animateur, dont elle ne compte pas divulguer l’identité “parce que c’est trop tard“.

Crédits photos : BESTIMAGE

Jurassic Park : 5 choses à savoir sur le T-Rex

Etes-vous bien sûr de tout savoir sur le plus célèbre dinosaure de “Jurassic Park” ? En moins de 5 minutes, découvrez autant d’anecdotes incroyables sur le T-Rex…

Sa vision est basée sur le mouvement, le bruit de son pas fait trembler la terre, pour le créer, John Hammond et Steven Spielberg ont littéralement dépensé sans compter, il a mangé une chèvre, un galliminus, un raptor et un avocat, croqué un chaoticien et bousillé une jeep, mais savez-vous vraiment tout ce qu’il y a à savoir sur lui ? 

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Clara Morgane éliminée de Danse avec les stars : pourquoi ce n’est pas si surprenant

Coïncidence ? Avant d’être éliminée de Danse avec les stars, Clara Morgane se disait fatiguée. Les téléspectateurs auraient-ils écouté ses mots ?

Les internautes ont été soufflés ! Ce samedi 26 octobre, TF1 diffusait un nouveau prime de la dixième saison de Danse avec les stars et l’élimination s’est jouée entre deux stars qui dansaient plutôt très bien : Ladji Doucouré et Clara Morgane. Après un face à face haut de gamme, c’est à la surprise générale la favorite de l’émission qui a été éliminée : Clara Morgane. Sur les réseaux sociaux, l’incompréhension était totale d’autant plus qu’elle est première dans le classement du jury, pourtant, et si les téléspectateurs avaient écouté les récentes déclarations de la star qui se disait fatiguée ?

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Dans une interview accordée à Télé Loisirs quelques heures avant son élimination, celle qui dansait avec Maxime Dereymez avait fait part de son épuisement. “Pas tout le monde serait capable de faire ça. Avec le rythme de l’émission, c’est pratiquement surhumain,” avait-elle noté. Et de continuer, “Je sais que j’ai beaucoup de lacunes, cela me procure un sentiment d’effondrement. Si on me parle de ma fille qui me manque ou de mon mari, je peux pleurer à tout moment. (…) Je suis à fleur de peau, je ne suis pas moi-même.” Clara Morgane paraissait donc très fragile ces derniers jours et les téléspectateurs ont peut-être souhaité sauvé Ladji, qui n’avait pas évoqué une grande fatigue…

Éliminée oui, mais “dégoûtée”. Sur Instagram, celle qui a perdu huit kilos durant DALS a partagé de nombreux messages d’internautes dépités et dégoûtés de son départ surprise dans sa story laissant penser qu’elle souhaitait continuer l’aventure.

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Shazam : Warner a trouvé qui jouera le super-héros DC

Zachary Levi, connu pour les séries “Heroes” et “Chuck” tiendra le rôle principal du film “Shazam!” adapté de DC Comics.

Warner a trouvé son super-héros surhumain ! Selon THR, le film Shazam a trouvé l’acteur qui incarnera le super-héros éponyme en la personne de Zachary Levi ! Levi est connu des fans du genre super-héroïque pour la série Heroes Reborn, et des amateurs de pop culture pour le show Chuck, dont il tenait le rôle principal. Il est plutôt spécialisé dans la comédie.

Levi incarnera donc Billy Batson qui, en prononçant le mot SHAZAM, est frappé par un éclair magique et se transforme en un être surhumain et ultra-puissant. Il devient alors le protecteur de Fawcett City et affronte de nombreux super-vilains dont Black Adam.

Shazam est réalisé par le Suédois David F. Sandberg (Dans le noir, Annabelle 2) et le film se tournera l’année prochaine. Il est notamment produit par Peter Safran, qui vient de terminer Aquaman. Il s’agit du prochain film DC à entrer en tournage. En attendant, l’univers s’enrichira avec la sortie de Justice League le 15 novembre prochain :

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Adele métamorphosée, les secrets de sa perte de poids

Elle a beau être l’une des plus grandes chanteuses de ces dernières années, Adele a aussi des complexes : son poids. L’artiste a décidé de suivre un régime alimentaire et des exercices physiques afin de retrouver la ligne. Amincie et rayonnante, elle se sent aujourd’hui bien dans sa peau.

Pendant de nombreuses années, Adele a été complexée par son poids. La chanteuse avait même confié que cet embonpoint avait été un frein à sa carrière. “Même quand je signais un contrat, la plupart de l’industrie savait que si quelqu’un osait dire : “Perdre du poids” ils ne travailleraient pas avec moi”, avait-elle confié dans People en 2012. Il y a quelques mois, celle qui avait été opérée des cordes vocales, a décidé de se reprendre en main et de suivre un régime sans sucre accompagné par un entraînement sportif intensif.

Grâce à Joe Wicks, un influenceur d’Instagram, aussi connu sous le nom de The Body Coach, la chanteuse a commencé à faire ses exercices à la maison. Elle a aussi engagé Dalton Wong, l’entraîneur de son amie proche Jennifer Lawrence. En parallèle, Adele prendrait régulièrement des cours de pilates avec Ayda Field, la femme de Robbie Williams. Une activité qu’elle affectionne particulièrement.

Aujourd’hui, Adele affiche une impressionnante perte de poids de 18 kilos en moins. La chanteuse a d’ailleurs blagué sur sa perte de poids sur Instagram il y a quelques jours :“Avant je pleurais, maintenant je transpire”. Selon le magazineHollywood life, Adele a été aperçue en train de dîner à Malibu, en Californie, ce vendredi 25 octobre, dans une très jolie robe qui dévoilait sa nouvelle silhouette.“Elle ne fait pas ça pour perdre du poids. Elle veut rester en forme pour s’occuper de son fils. Et même si c’est parfois difficile pour elle de garder une routine d’entrainement, elle s’y tient”, a confié une source au magazine People.

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I used to cry but now I sweat ? #gingermckenna Happy birthday to one of the kindest and funniest people I’ve met @champagnepapi ?

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Séparée de son compagnon Simon Konecki depuis avril dernier, Adele a décidé de prendre soin d’elle. Maman d’un petit garçon, Angelo, 7 ans, l’artiste aux quinze Grammy Awards est désormais,une femme épanouie !

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Harcèlement : Ellen Page accuse Brett Ratner de l’avoir humiliée sur le tournage d’X-Men 3

Plus de dix ans après les faits, Ellen Page a pris la parole pour s’élever contre Brett Ratner, dont elle point du doigt le comportement humiliant et homophobe à son encontre, sur le tournage de “X-Men – L’Affrontement final”.

Accusé de harcèlement sexuel et de mauvaise conduite par plusieurs actrices, Brett Ratner pourrait voir le contrat de co-financement qui lie sa société Ratpac à la Warner rompu par le studio. Et tandis que Gal Gadot menace de ne pas reprendre son rôle d’Amazone de DC Comics dans Wonder Woman 2 dans le cas contraire, les propos d’Ellen Page devraient eux aussi peser dans la balance. L’actrice nommée aux Oscars pour Juno a en effet pointé du doigt le comportement du réalisateur-producteur pendant le tournage d’X-Men – L’Affrontement final sur Facebook, le temps d’un long texte dont nous avons traduit les cinq premiers paragraphes (à lire sous la publication).

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“‘Tu devrais la baiser pour la faire réaliser qu’elle est gay.’ C’est ce qu’il m’a dit pendant l’accueil du casting et de l’équipe technique d’X-Men – L’Affrontement final, avant le début du tournage. J’avais dix-huit ans. Il s’est tourné vers une femme qui se tenait près de moi, de dix ans mon aînée, m’a pointée du doigt et a dit : ‘Tu devrais la baiser pour la faire réaliser qu’elle est gay.’ C’était le réalisateur du film, Brett Ratner.

J’étais une jeune adulte et n’avais pas encore fait mon coming-out par moi-même. Je savais que j’étais gay tout en ne le sachant pas, façon de parler. Je me suis sentie violée lorsque c’est arrivé. J’ai baissé la tête et regardé mes pieds, et je n’ai rien dit en constatant que personne ne le faisait non plus. Cet homme, qui m’avait engagée dans le film, a lancé nos mois de tournage avec cette requête horrible et pas remise à cause, à un événement professionnel. Il m’a ‘outée’ en public sans considération pour mon bien-être, un acte que nous reconnaissons tous comme étant homophobe. J’ai ensuite continué à le voir dire des choses dégradantes aux femmes sur le plateau. Je me souviens de l’une d’elles se dirigeant vers le moniteur, alors qu’il faisait un commentaire sur sa ‘chatte molle’.

On m’a volé plus que mon autonomie en ce qui concerne mon abilité à me définir moi-même

Nous avons tous le droit de prendre conscience de notre orientation sexuelle de façon privée et comme bon nous semble. J’étais jeune et, bien que travaillant comme actrice depuis longtemps, j’ai été isolée de plusieurs façons, forcée de grandir sur les plateaux et non en compagnie des miens. Cet ‘outing’ public et agressif m’a laissée avec un sentiment persistant de honte, ce qui est l’un des effets les plus destructeurs de l’homophobie. Rendre une personne honteuse de ce qu’elle est est une manipulation cruelle, destinée à opprimer et réprimer. On m’a volé plus que mon autonomie en ce qui concerne mon abilité à me définir moi-même.

Le commentaire de Ratner a plusieurs fois résonné dans mon esprit au fil des ans, lorsque je faisais face à de l’homophobie ou devais surmonter des sentiments de réticence et d’incertitude au sujet de l’industrie [cinématographique] et de mon avenir en son sein. La différence, c’est qu’aujourd’hui je peux m’affirmer et me servir de ma voix pour contre-attaquer cette attitude insidieuse queerophobe et transophobe qui sévit à Hollywood et au-delà. J’espère qu’avec la position qui est la mienne, je pourrais aider les gens qui ont du mal à être acceptés tels qu’ils sont à grandir. Les jeunes gens vulnérables et qui n’ont pas les avantages que j’ai sont souvent dépréciés et ont le sentiment qu’ils n’ont aucune solution pour vivre la vie qu’ils ont joyeusement été destinés à mener.

Les agresseurs veulent que vous vous sentiez petit et peu assuré

J’ai eu une altercation avec Brett à un moment. Il me mettait la pression devant beaucoup de personnes pour que j’enfile un T-Shirt avec l’inscription “Team Ratner” dessus. J’ai refusé et il a insisté. Et j’ai répondu ‘Je ne suis pas dans ta Team.’ Plus tard lors de cette même journée, les producteurs du film sont venus me voir dans ma loge pour me dire que je ne ‘pouvais pas lui parler de la sorte.’ J’étais ainsi réprimandée alors qu’il n’avait pas été puni ou viré pour le comportement ouvertement homophobe et abusif dont nous avons tous été les témoins. J’étais une actrice que personne ne connaissait. J’avais dix-huit ans mais pas les outils nécessaires pour gérer ce genre de situation.

Je suis actrice professionnelle depuis l’âge de dix ans. J’ai eu la chance de pouvoir travailler avec beaucoup de collaborateurs honorables et respectueux, aussi bien devant que derrière la caméra. Mais le comportement que je décris est omniprésent. Ils (les agresseurs) veulent que vous vous sentiez petit et peu assuré, pour que vous ayez le sentiment d’avoir une dette envers eux, ou que ce sont vos actions qu’il faut blâmer pour leurs avances inopportunes.”

La comédienne cite également des accusés célèbres comme Bill Cosby ou Roman Polanski, et rappelle les injustices envers bon nombre de victimes, “et tout particulièrement les femmes de couleur, trans, queer et indigènes, réduites au silence par leur situation économique et une méfiance profonde d’un système judiciaire qui acquitte les coupables malgré des preuves accablantes et continue d’oppresser les gens de couleur.” Et elle considère sa participation au To Rome with Love de Woody Allen comme “la plus grosse erreur de [sa] carrière” : “J’ai honte de l’avoir fait. Il me fallait encore trouver ma voix, je n’étais pas ce que je suis aujourd’hui et j’ai ressenti de la pression car ‘bien sûr que tu dois dire oui à ce film de Woody Allen.'”

Anthony Edwards attaque, Rebel Wilson témoigne

En parallèle de ce long texte poignant, d’autres voix se sont élevées pour dénoncer le harcèlement sexuel à Hollywood. Et notamment celles d’Anthony Edwards, qui accuse le producteur Gary Goddard de l’avoir agressé quand il avait douze ans (des faits que le principal intéressé nie) ; ou Rebel Wilson, qui raconte grâce à une série de tweets la façon dont elle a fait face à des avances “de la part d’un homme de pouvoir”, tandis que “ses amis tentaient de filmer l’incident avec leurs iPhones”, puis les menaces dont elle a fait l’objet alors qu’elle refusait de soutenir la star qui avait mal agi avec elle.

Réputée pour son franc parler, l’actrice a quand même subi la loi du silence après cette agression, dont elle ne précise pas la date. Mais grâce à la libération de la parole causée par l’explosion de l’affaire Harvey Weinstein, il y a un mois maintenant, elle a pu s’exprimer et conclut son récit avec un avertissement : “Si je suis témoin de ce type de comportement, que cela arrive à moi-même ou quelqu’un que je connais, je ne serais plus polie.”

Cécilia Attias regrette la médiatisation de son couple avec Nicolas Sarkozy : « On a ouvert trop de portes »

Dès son investiture à la présidence de l’UMP, Nicolas Sarkozy a fait le choix d’exposer sa vie privée. S’il a confié dans son dernier livre « Passions » qu’il referait sans doute les choses différemment, Cécilia Attias semble elle aussi regretter la médiatisation de son couple, comme elle l’a expliqué, ce mardi 29 octobre, sur LCI.

Nicolas Sarkozy a choisi de vivre dans la lumière non pas seul, mais avec sa famille. Dès son investiture à la présidence de l’UMP, en 2004, l’homme politique décide d’exposer les siens et notamment son fils, âgé de sept ans à l’époque, dont le visage a été projeté sur grand écran lors de son investiture, comme l’a rappelé Audrey Crespo-Mara qui recevait Louis Sarkozy et Cécilia Attias, ce mardi 29 octobre, sur LCI. Interrogée sur la médiatisation du couple qu’elle formait avec Nicolas Sarkozy, l’ancienne Première dame a déclaré : « On revient au problème de la transparence. Il y a un moment donné, il faut savoir où mettre le curseur, en dire suffisamment mais rester très pudique et garder ses distances », a-t-elle expliqué.

« Il n’y a pas eu assez de pudeur à ce moment-là ? », s’interroge Audrey Crespo-Mara, en s’adressant à son invitée. Cette dernière poursuit alors son explication : « Ce n’est pas une question de manque de pudeur, je pense qu’on a ouvert trop les portes à ce moment-là, effectivement », a estimé la mère de Louis Sarkozy. Dans son livre Passions, paru en juin dernier aux éditions de L’Observatoire, l’ancien président de la République semblait partager cet avis. Au sujet de la médiatisation de son couple avec Cécilia, il écrivait : « Si c’était à refaire, sans doute ne le referais-je pas ».

Cécilia Attias a également mal vécu son divorce, très médiatisé, avec Nicolas Sarkozy en 2007. Elle estime que le fait que sa famille soit dans la lumière, et par conséquent scrutée en permanence, a eu des répercussions sur ses enfants : « La culpabilité est encore plus forte pour moi parce que je les ai quand même pas mal exposés. Et puis quand je suis partie, il y a eu une exposition immense, mon départ et mon divorce ont eu des répercussions importantes pour eux », expliquait celle qui a aujourd’hui refait sa vie à New York, le vendredi 25 octobre, sur le plateau de C à Vous.

Crédits photos : Bestimage

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